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adventurous
dark
fast-paced
Plot or Character Driven:
Plot
Trošku předvídatelné, trošku ploché postavy ale celkově se to četlo dobře a na odreagování dobrý. V něčem lepší než některé slabší holovky.
To zdecydowanie nie moje klimaty, a już zupełnie nie pomogło słuchanie "Syna" w audio, bo mamy tutaj mnóstwo norweskich nazwisk, które nie pomagały mi w zapamiętaniu postaci i częste przeskakiwanie między wątkami. Sama tajemnica też mnie nie ruszyła, po prostu sobie była.
2,5
2,5
dark
tense
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
adventurous
dark
mysterious
fast-paced
"La star de la Série Noire étale un talent arrivé à complète maturité. Le fils est un pur régal"
Le Figaro Littéraire
"Un roman magistral." Le Parisien
Alors là, ça donne envie, hein ? Dès la quatrième de couverture, on nous promet un livre de grande qualité, on se dit qu'on va frissonner, s'émerveiller, se creuser la tête, suffoquer devant le suspense insoutenable que va mettre en place l'auteur. On a presque hâte.
Ben oui, presque, parce que si vous êtes comme moi, vous n'aimez pas la majorité des thrillers/polars. Parce que vous avez l'impression de lire toujours la même chose, écrit toujours de la même manière. Mais à Noël, un ami de la famille m'a offert quatre romans policiers, et comme on ne crache jamais sur les cadeaux, je me suis laissée convaincre par le premier titre, un peu attirée par les sirènes des "on-dit" qui encensent un énième auteur scandinave de roman noir. Alors, voilà : Le fils de Jo Nesbø.
Vraiment, cette fois-ci, promis, j'ai essayé d'être impartiale, de ne pas me laisser entraîner par mes préjugés. Et pourtant, dès les premières pages, l'affaire était mal engagée. Déjà au bout de 60 je savais que je n'allais pas aimer, mais alors au bout de 150 je me suis simplement forcée à continuer simplement pour pouvoir dire "ça y'est, j'ai lu un Jo Nesbø" (comme je l'ai fait pour Lévy et Musso).
J'ai trouvé le début du livre un peu chaotique. C'est joli de vouloir écrire moderne en enchaînant les dialogues, mais c'est un peu mieux quand il y a une mise en contexte maîtrisée... J'ai dû relire deux ou trois fois certains dialogues pour réussir à imaginer les scènes, et traitez-moi de fainéante si vous voulez, mais ce n'est pas ce que j'attends d'un livre, encore moins d'un polar censé être un réel page-turner. Et alors je ne parle même pas de l'échec cuisant pour tenter d'insuffler du suspense à l'ouvrage pendant une trentaine de pages... pour simplement parler d'un pistolet. Non seulement on devine dès les premières lignes de quoi il s'agit, mais il devient très agaçant de lire les réactions des protagonistes à ce sujet, comme si on regardait un film de série B qui essaie de se prendre au sérieux.
Rapidement, les personnages sont posés, et le narrateur virevolte de l'un à l'autre pour nous donner l'impression d'un gigantesque puzzle qui finira par se montrer dans son intégralité à la fin. C'est une manière de faire qui marche plutôt bien en général, mais à la longue ça ne devient pas très original...
Parlant des personnages, au moins, on n'est pas dépaysé ! Tous les clichés du polar sont là, il n'y a aucune surprise, rien d'intéressant. Et puis comme d'habitude, il y a une histoire d'amour. Bâclée. Mention spéciale au méga méchant tout droit sorti d'un film de James Bond... et au flic torturé, à la jeune fliquette aussi crédule qu'une agnelle, au méchant-pas méchant, aux personnages corrompus, à certaines scènes vraiment mal écrites...
Enfin, le twist final est un peu surprenant dans le sens où Jo Nesbø fait beaucoup beaucoup d'efforts pour nous tromper en nous amenant sur la piste d'un des personnages, mais la révélation est finalement très... plate.
Et la fin... On dirait la fin d'un policier hollywoodien qui te dit que tu as payé 10€ ta place de ciné et qu'on te demandera la même chose d'ici deux ans pour le deuxième opus, puis rebelote quelques années plus tard pour le troisième, puis peut-être même jusqu'au dix-huitième si vraiment le filon fonctionne.
Bref, je n'aime pas les polars, et celui-ci rejoint la longue liste de ceux qui m'ont ennuyée. Du début à la fin, rien à garder.
Mais réjouissez-vous, le prochain, c'est un Harlan Coben !
Le Figaro Littéraire
"Un roman magistral." Le Parisien
Alors là, ça donne envie, hein ? Dès la quatrième de couverture, on nous promet un livre de grande qualité, on se dit qu'on va frissonner, s'émerveiller, se creuser la tête, suffoquer devant le suspense insoutenable que va mettre en place l'auteur. On a presque hâte.
Ben oui, presque, parce que si vous êtes comme moi, vous n'aimez pas la majorité des thrillers/polars. Parce que vous avez l'impression de lire toujours la même chose, écrit toujours de la même manière. Mais à Noël, un ami de la famille m'a offert quatre romans policiers, et comme on ne crache jamais sur les cadeaux, je me suis laissée convaincre par le premier titre, un peu attirée par les sirènes des "on-dit" qui encensent un énième auteur scandinave de roman noir. Alors, voilà : Le fils de Jo Nesbø.
Vraiment, cette fois-ci, promis, j'ai essayé d'être impartiale, de ne pas me laisser entraîner par mes préjugés. Et pourtant, dès les premières pages, l'affaire était mal engagée. Déjà au bout de 60 je savais que je n'allais pas aimer, mais alors au bout de 150 je me suis simplement forcée à continuer simplement pour pouvoir dire "ça y'est, j'ai lu un Jo Nesbø" (comme je l'ai fait pour Lévy et Musso).
J'ai trouvé le début du livre un peu chaotique. C'est joli de vouloir écrire moderne en enchaînant les dialogues, mais c'est un peu mieux quand il y a une mise en contexte maîtrisée... J'ai dû relire deux ou trois fois certains dialogues pour réussir à imaginer les scènes, et traitez-moi de fainéante si vous voulez, mais ce n'est pas ce que j'attends d'un livre, encore moins d'un polar censé être un réel page-turner. Et alors je ne parle même pas de l'échec cuisant pour tenter d'insuffler du suspense à l'ouvrage pendant une trentaine de pages... pour simplement parler d'un pistolet. Non seulement on devine dès les premières lignes de quoi il s'agit, mais il devient très agaçant de lire les réactions des protagonistes à ce sujet, comme si on regardait un film de série B qui essaie de se prendre au sérieux.
Rapidement, les personnages sont posés, et le narrateur virevolte de l'un à l'autre pour nous donner l'impression d'un gigantesque puzzle qui finira par se montrer dans son intégralité à la fin. C'est une manière de faire qui marche plutôt bien en général, mais à la longue ça ne devient pas très original...
Parlant des personnages, au moins, on n'est pas dépaysé ! Tous les clichés du polar sont là, il n'y a aucune surprise, rien d'intéressant. Et puis comme d'habitude, il y a une histoire d'amour. Bâclée. Mention spéciale au méga méchant tout droit sorti d'un film de James Bond... et au flic torturé, à la jeune fliquette aussi crédule qu'une agnelle, au méchant-pas méchant, aux personnages corrompus, à certaines scènes vraiment mal écrites...
Enfin, le twist final est un peu surprenant dans le sens où Jo Nesbø fait beaucoup beaucoup d'efforts pour nous tromper en nous amenant sur la piste d'un des personnages, mais la révélation est finalement très... plate.
Et la fin... On dirait la fin d'un policier hollywoodien qui te dit que tu as payé 10€ ta place de ciné et qu'on te demandera la même chose d'ici deux ans pour le deuxième opus, puis rebelote quelques années plus tard pour le troisième, puis peut-être même jusqu'au dix-huitième si vraiment le filon fonctionne.
Bref, je n'aime pas les polars, et celui-ci rejoint la longue liste de ceux qui m'ont ennuyée. Du début à la fin, rien à garder.
Mais réjouissez-vous, le prochain, c'est un Harlan Coben !
mysterious
tense
fast-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
adventurous
mysterious
tense
fast-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Complicated
Flaws of characters a main focus:
Yes
Interesting read, though the supporting characters weren't completely fleshed out. The love story was a bit of a stretch. The main character, Sonny, made the book, as a very smart, empathy-inducing Robin Hood type, despite his agenda.