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Ça veut écrire la suite de L'étranger à la manière du style présent dans La Chute, et ça finit par être aussi mouif que du Beigbeder.
challenging
reflective
medium-paced
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
a must-read right after you finish the stranger by Camus. this book gives a voice to the victims side of his story
I think it's very important to read this book following The Stranger by Albert Camus because you won't understand much about it if you don't.
This isn't a sequel. It was written as a homage to The Stranger but it reads more like a response to it instead. An old man rants at a bar about his struggle with finding answers as to how his brother was killed and why. It reads like an old man ranting which, if you've ever listened to an old man rant, can go into topics not important to the story at hand and can drag on.
There are very few paragraph brakes which I think was purposeful because it's supposed to read as a rant. However, this made the story hard for me to enjoy. It wasn't until I was done with the book that I realized that I did enjoy the story, just not how it was told. There are entire pages that could be ripped out and the story would not change.
However, this story has so much to offer. Especially if you're looking for literature about French occupied Algeria or the War of Independence. It's a beautiful tale of what life is like for Muslim Algerians in Algeria during the French Colonization.
I wouldn't describe this as an entertaining read but still a very important one.
This isn't a sequel. It was written as a homage to The Stranger but it reads more like a response to it instead. An old man rants at a bar about his struggle with finding answers as to how his brother was killed and why. It reads like an old man ranting which, if you've ever listened to an old man rant, can go into topics not important to the story at hand and can drag on.
There are very few paragraph brakes which I think was purposeful because it's supposed to read as a rant. However, this made the story hard for me to enjoy. It wasn't until I was done with the book that I realized that I did enjoy the story, just not how it was told. There are entire pages that could be ripped out and the story would not change.
However, this story has so much to offer. Especially if you're looking for literature about French occupied Algeria or the War of Independence. It's a beautiful tale of what life is like for Muslim Algerians in Algeria during the French Colonization.
I wouldn't describe this as an entertaining read but still a very important one.
mysterious
reflective
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
C'était sa langue à lui, C'est pourquoi je vais faire ce qu'on a fait dans ce pays après son indépendance : prendre une à une les pierres des anciennes maisons des colons et en faire une maison à moi, une langue à moi. Les mots du meurtrier et ses expressions sont mon bien vacant.
Ici, les meilleurs alcools, on les offre après la mort, pas avant. C'est la religion, mon frère, fais vite, dans quelques années, le seul bar encore ouvert le sera au paradis, après la fin du monde.
C’est simple : cette histoire devrait donc être réécrite, dans la même langue, mais de droite à gauche.
C'est-à-dire en commençant par le corps encore vivant, les ruelles qui l'ont mené à sa fin, le prénom de l'Arabe, jusqu'à sa rencontre avec la balle. J’ai donc appris cette langue, en partie, pour raconter cette histoire à la place de mon frère qui était l'ami du soleil.
Moussa était mon aîné, sa tête heurtait les nuages. Il était de grande taille, oui, il avait un corps maigre et noueux à cause de la faim et de la force que donne la colère. Il avait un visage anguleux, de grandes mains qui me défendaient et des yeux durs à cause de la terre perdue des ancêtres.
Moussa, Moussa, Moussa... j'aime parfois répéter ce prénom pour qu'il ne disparaisse pas dans les alphabets.
Chez nous, la mère est la moitié du monde.
C'est le dos de Dieu que tu regardes quand il n'y a plus de soleil pour t'aveugler.
"La mer vous mangera tous!"
À croire que son corps a été caché par Dieu en personne!
C’est la nuit. […] Il faut quelque chose d'infini, d'immense, je crois, pour équilibrer notre condition d'homme.
on ne tue pas un homme facilement quand il a un prénom.
Le vendredi? Ce n'est pas un jour où Dieu s'est reposé, c'est un jour où il a décidé de fuir et de ne plus jamais revenir.
J'ai tué pendant la nuit et, depuis, j'ai son immensité pour complice.
Hurler que Dieu est une question, pas une réponse, …
Je voudrais, moi aussi, qu'ils soient nombreux, mes spectateurs, et que leur haine soit sauvage.
Ici, les meilleurs alcools, on les offre après la mort, pas avant. C'est la religion, mon frère, fais vite, dans quelques années, le seul bar encore ouvert le sera au paradis, après la fin du monde.
C’est simple : cette histoire devrait donc être réécrite, dans la même langue, mais de droite à gauche.
C'est-à-dire en commençant par le corps encore vivant, les ruelles qui l'ont mené à sa fin, le prénom de l'Arabe, jusqu'à sa rencontre avec la balle. J’ai donc appris cette langue, en partie, pour raconter cette histoire à la place de mon frère qui était l'ami du soleil.
Moussa était mon aîné, sa tête heurtait les nuages. Il était de grande taille, oui, il avait un corps maigre et noueux à cause de la faim et de la force que donne la colère. Il avait un visage anguleux, de grandes mains qui me défendaient et des yeux durs à cause de la terre perdue des ancêtres.
Moussa, Moussa, Moussa... j'aime parfois répéter ce prénom pour qu'il ne disparaisse pas dans les alphabets.
Chez nous, la mère est la moitié du monde.
C'est le dos de Dieu que tu regardes quand il n'y a plus de soleil pour t'aveugler.
"La mer vous mangera tous!"
À croire que son corps a été caché par Dieu en personne!
C’est la nuit. […] Il faut quelque chose d'infini, d'immense, je crois, pour équilibrer notre condition d'homme.
on ne tue pas un homme facilement quand il a un prénom.
Le vendredi? Ce n'est pas un jour où Dieu s'est reposé, c'est un jour où il a décidé de fuir et de ne plus jamais revenir.
J'ai tué pendant la nuit et, depuis, j'ai son immensité pour complice.
Hurler que Dieu est une question, pas une réponse, …
Je voudrais, moi aussi, qu'ils soient nombreux, mes spectateurs, et que leur haine soit sauvage.
challenging
dark
informative
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Flaws of characters a main focus:
Complicated
challenging
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
Interesting viewpoint to see Camus’ The Stranger from the brother of the murdered “arab”. The story doesn’t just cling to this event but goes further, encompassing liberty and racism.
The storyteller is untrustworthy in a good sense, but the storytelling with lots of comments towards the fictional listeners and overly unruly monologues makes it a bit too pretentious.
The storyteller is untrustworthy in a good sense, but the storytelling with lots of comments towards the fictional listeners and overly unruly monologues makes it a bit too pretentious.