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lighthearted
relaxing
medium-paced
Plot or Character Driven:
Plot
Strong character development:
No
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
N/A
Flaws of characters a main focus:
No
3.
This series is absolutely adorable. The art is a typical '90s style--elegant yet simple. This story is a wonderful fantasy!
Primer libro que leo entero en japonés, haber visto el anime antes me ha servido para saber qué pasaba cuando no entendía qué ponía
adventurous
challenging
emotional
funny
hopeful
inspiring
lighthearted
mysterious
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Complicated
Flaws of characters a main focus:
No
Plot or Character Driven:
Plot
Loveable characters:
Yes
A reread, this time with my daughter. Almost too much sugar. It's weird seeing this character again in the original series, after having read Tsubasa Resevoir Chronicle - too...young and innocent and narratively simple! Like it's a kids' manga! Wait...
¡Hola lectores! ¿Como andan?
Les cuento que he visto varios animes, y me encantan, pero nunca había leido un manga hasta ahora. Hoy voy a reseñar el primer volumen de Sakura card captor que abarca los capítulos del 1 al 5.
Sakura Kinomoto es una niña japonesa que está cursando el cuarto grado de la escuela primaria, juega al futbol, y que gusta de un chico más grande que ella que se llama Yukito, amigo de su hermano. Sakura tiene una muy mejor amiga llamada Tomoyo, que siempre la está acompañando en sus aventuras. Además tiene una especie de gatito/osito como mascota, que se llama Kerochan, pero que en realidad es un ser mágico que la ayudará a capturar las cartas que amenazan al mundo.
En este primer tomo conocemos a la familia de Sakura, y su amor platónico por Yukito, además de como va enfrentando a sus enemigos y atrapando las primeras cartas/clow y como va combinando sus aventuras de super heroína con la vida normal de una niña de 10 años japonesa.
Me encantó leer este manga, es divertido, lindo y me dan ganas de comprame todo el merchandising que hay jejeje.... admito que soy fan desde hace años de Sailor Moon, y que nunca le había prestado atención a Sakura, porque me parecía medio salame, pero bueno las cosas cambian jejeje.
Mi Puntaje: 4 Marinas
Les cuento que he visto varios animes, y me encantan, pero nunca había leido un manga hasta ahora. Hoy voy a reseñar el primer volumen de Sakura card captor que abarca los capítulos del 1 al 5.
Sakura Kinomoto es una niña japonesa que está cursando el cuarto grado de la escuela primaria, juega al futbol, y que gusta de un chico más grande que ella que se llama Yukito, amigo de su hermano. Sakura tiene una muy mejor amiga llamada Tomoyo, que siempre la está acompañando en sus aventuras. Además tiene una especie de gatito/osito como mascota, que se llama Kerochan, pero que en realidad es un ser mágico que la ayudará a capturar las cartas que amenazan al mundo.
En este primer tomo conocemos a la familia de Sakura, y su amor platónico por Yukito, además de como va enfrentando a sus enemigos y atrapando las primeras cartas/clow y como va combinando sus aventuras de super heroína con la vida normal de una niña de 10 años japonesa.
Me encantó leer este manga, es divertido, lindo y me dan ganas de comprame todo el merchandising que hay jejeje.... admito que soy fan desde hace años de Sailor Moon, y que nunca le había prestado atención a Sakura, porque me parecía medio salame, pero bueno las cosas cambian jejeje.
Mi Puntaje: 4 Marinas
!Attention, il s'agit d'une critique de la série complète!
Card Captor Sakura est un manga divisé en douze volumes. Il raconte l'histoire de Sakura Kinomoto, une petite fille de CM1, qui a laissé s'échapper des cartes magiques en ouvrant le livre de Clow. Elle est chargée de les retrouver par le gardien du livre, Kerberos, avant que leurs pouvoirs ne provoquent de catastrophes sur la ville.
J'ai personnellement découvert le manga par le biais de son adaptation en série télévisée que j'adorais regarder. Je me suis donc tournée vers le matériau original, curieuse de savoir comment l'histoire se déroulait dedans. La surprise fut grande.
En effet, le manga et l'anime ne suive pas du tout la même chronologie. Les aventures de Sakura sont bien plus courtes dans le manga et cela s'explique en partie par le fait qu'il y a beaucoup moins de cartes existantes dans le manga. De plus, leur capture ne s'effectue pas toujours de la même manière.
En soi, ce n'est pas un problème, car l'histoire permet de surprendre le lecteur, mais le manga en souffre un peu au niveau du rythme. Les péripéties étant moins nombreuses, le manga s'avère donc plus court. S'attardant beaucoup moins sur les personnages, leurs relations, et leur vie quotidienne, il dégage une impression de rapidité, comme si l'on ne découvrait que les grandes lignes. Certains protagonistes en ont une évolution un peu trop radicale, et certaines révélations arrivent assez brusquement sans que le mystère les précédant n'ait le temps de vraiment s'installer.
L'histoire en elle-même est intéressante à suivre. Certains pourrait regretter le manque de réels enjeux, mais en tant que lecture douce et sans prise de tête, ce manga remplit très bien son rôle. À noter tout de même que certains éléments sont plutôt problématiques, notamment la différence d'âge dans deux relations. Une chose qui a été partiellement corrigée dans l'adaptation.
D'un point de vue un peu plus technique, les dessins sont indéniablement beaux. Très fins et soignés, ils s'accordent bien avec le ton de l'histoire, sachant apporter délicatesse et dynamisme.
En revanche, la traduction française contient plusieurs maladresses. L'action se déroulant au Japon, l'appellation d'une personne dépend de sa proximité avec autrui. Ainsi, certains personnages s'appellent par leur nom de famille, tandis que d'autres s'appellent par leur prénom, à cela s'ajoutant également les suffixes “-chan”, “-kun”, “-san”, ou encore “-sama” indiquant également la relation entretenue avec la personne. La traduction française oublie complètement cela en se calquant sur notre culture, mais semble parfois se tenir à la version originale. Ainsi, certains personnages s'appellent par leur prénom, puis leur nom de famille, pour revenir au prénom sans raisons apparentes. On peut également observer des inconsistances dans l'écriture des noms.
Néanmoins, il est bon de constater qu'un choix intéressant a été fait concernant le personnage de Kerberos. Ce dernier possédant l'accent d'Osaka, la traduction a décidé de retranscrire ce dialecte différent en utilisant l'accent marseillais. Un choix qui peut diviser, mais qui s'avère plutôt judicieux vu le contexte.
Finalement, Card Captor Sakura est un bon manga pour passer un moment agréable. Il possède ses petits défauts, mais la lecture demeure divertissante. Je lui préfère tout de même son adaptation animée plus complète, et qui fait définitivement vibrer ma fibre nostalgique.
Card Captor Sakura est un manga divisé en douze volumes. Il raconte l'histoire de Sakura Kinomoto, une petite fille de CM1, qui a laissé s'échapper des cartes magiques en ouvrant le livre de Clow. Elle est chargée de les retrouver par le gardien du livre, Kerberos, avant que leurs pouvoirs ne provoquent de catastrophes sur la ville.
J'ai personnellement découvert le manga par le biais de son adaptation en série télévisée que j'adorais regarder. Je me suis donc tournée vers le matériau original, curieuse de savoir comment l'histoire se déroulait dedans. La surprise fut grande.
En effet, le manga et l'anime ne suive pas du tout la même chronologie. Les aventures de Sakura sont bien plus courtes dans le manga et cela s'explique en partie par le fait qu'il y a beaucoup moins de cartes existantes dans le manga. De plus, leur capture ne s'effectue pas toujours de la même manière.
En soi, ce n'est pas un problème, car l'histoire permet de surprendre le lecteur, mais le manga en souffre un peu au niveau du rythme. Les péripéties étant moins nombreuses, le manga s'avère donc plus court. S'attardant beaucoup moins sur les personnages, leurs relations, et leur vie quotidienne, il dégage une impression de rapidité, comme si l'on ne découvrait que les grandes lignes. Certains protagonistes en ont une évolution un peu trop radicale, et certaines révélations arrivent assez brusquement sans que le mystère les précédant n'ait le temps de vraiment s'installer.
L'histoire en elle-même est intéressante à suivre. Certains pourrait regretter le manque de réels enjeux, mais en tant que lecture douce et sans prise de tête, ce manga remplit très bien son rôle. À noter tout de même que certains éléments sont plutôt problématiques, notamment la différence d'âge dans deux relations. Une chose qui a été partiellement corrigée dans l'adaptation.
D'un point de vue un peu plus technique, les dessins sont indéniablement beaux. Très fins et soignés, ils s'accordent bien avec le ton de l'histoire, sachant apporter délicatesse et dynamisme.
En revanche, la traduction française contient plusieurs maladresses. L'action se déroulant au Japon, l'appellation d'une personne dépend de sa proximité avec autrui. Ainsi, certains personnages s'appellent par leur nom de famille, tandis que d'autres s'appellent par leur prénom, à cela s'ajoutant également les suffixes “-chan”, “-kun”, “-san”, ou encore “-sama” indiquant également la relation entretenue avec la personne. La traduction française oublie complètement cela en se calquant sur notre culture, mais semble parfois se tenir à la version originale. Ainsi, certains personnages s'appellent par leur prénom, puis leur nom de famille, pour revenir au prénom sans raisons apparentes. On peut également observer des inconsistances dans l'écriture des noms.
Néanmoins, il est bon de constater qu'un choix intéressant a été fait concernant le personnage de Kerberos. Ce dernier possédant l'accent d'Osaka, la traduction a décidé de retranscrire ce dialecte différent en utilisant l'accent marseillais. Un choix qui peut diviser, mais qui s'avère plutôt judicieux vu le contexte.
Finalement, Card Captor Sakura est un bon manga pour passer un moment agréable. Il possède ses petits défauts, mais la lecture demeure divertissante. Je lui préfère tout de même son adaptation animée plus complète, et qui fait définitivement vibrer ma fibre nostalgique.
Il voto si riferisce ai primi 6 volumi. Questa edizione è composta da 12.