3.49 AVERAGE


El sexto libro cronólogico de Nothomb donde narra el reencuentro luego de 16 años con Rinri, su amor de juventud contado en [b:Ni de Eva ni de Adán|6517761|Ni de Eva ni de Adán|Amélie Nothomb|https://i.gr-assets.com/images/S/compressed.photo.goodreads.com/books/1546092311l/6517761._SY75_.jpg|1560183] y su adorada niñera Nishio-san, contada en [b:Metafísica de los tubos|71530|Metafísica de los tubos|Amélie Nothomb|https://i.gr-assets.com/images/S/compressed.photo.goodreads.com/books/1170780526l/71530._SY75_.jpg|69274] le sirve a Nothomb para volver a recordar su infancia y redescubrir Japón.

Typical for the latter autobiographical work of Nothomb, this is mainly a book with her being awkward and cute with not much of a point or story.

J'avais vu le documentaire sur Amélie Nothomb partant au Japon sur les traces de son enfance. Mon père m'a offert ce livre et, à ma grande surprise, il s'agissait d'une retranscription pure et simple de ce reportage.
Sans véritable intérêt, donc. Lisez-le si vous n'avez pas vu le documentaire (sur YT) ou passez votre chemin.

Un récit très court mais très émouvant sur son voyage au Japon, sur les traces de son enfance, dans un pays ravagé puis reconstruit après un séisme et un tsunami.

Париж е единственият град в света, където не е нужно да си щастлив.
emotional inspiring reflective sad fast-paced

'Qu'est-ce qu'une caméra peut percevoir de ce qui se passe en moi? Elle capte les remous à la surface du lac. Je reste dans mes grands fonds, là où aucune lumière n'arrive jamais."

3 1/2 stars. This is one of her Japanese novels. More a novella where Amélie puts herself, as she does, inside the narrative. As always, or almost always, Amélie is not a reliable narrator. Sometimes it works, sometimes it doesn't, this time it kinda does. Japan usually agrees with me.

Un court récit (difficile de traiter de roman une oeuvre aussi clairement autobiographique), touchante (particulièrement dans sa première partie) et très authentique. Pour une fois, je n'ai pas eu l'impression qu'Amélie Nothomb se cachait derrière un tas de masques.

Je l'ai aimé davantage que les livres les plus récents qu'elle a publié, sans doute parce que ce n'est pas un roman mais plutôt un court récit autobiographique de son retour au Japon - un journal de bord, pratiquement. Le ton est assez drôle et un peu grandiloquent, comme l'Amélie Nothomb que j'aime toujours, et quand on a lu ses livres précédents, on est content de "revoir" certains personnages comme sa nounou, son ex-fiancé, de découvrir ce qu'ils deviennent. Il ne manquait que Fubuki (Stupeur et tremblements) que j'aurais aimé "revoir".