433 reviews for:

Danse Macabre

Stephen King

3.57 AVERAGE

funny reflective slow-paced

For work reasons it took me waaaay too long to read this and so it started to feel like a chore towards the end. Either that or the content sort of dried up which I'm thinking it did a bit (we didn't need full synopses of classic horror books, Mr. King) but anyway the first half was very enjoyable. Only read if you're interested in the horror genre during its golden age.

A fascinating snapshot of the horror genre in 1980 from someone who was completely entrenched in it. I got a lot of movies I gotta watch.

patosud34's review

4.0

Le livre compte 20 nouvelles et voici ma petite critique pour chacune : 

Celui qui garde le ver : J’aime l’ambiance de cette nouvelle. Elle transpire le Mal. On a peur, on est sur nos gardes d’un bout à l’autre et on n’a qu’une envie, prendre nos jambes à notre cou. 

Poste de nuit : J'apprécie moins cette nouvelle car le comportement du personnage principal n'est pas logique. Il aurait donc fallu expliquer ses motivations. Même dans de l'horreur et dans le fantastique, il faut une logique.  Sinon l'auteur n'arrive pas à rendre tout ça crédible.  

Une sale grippe : La peur est différente ici car un virus est invisible. Alors comment s'en défendre ? L'atmosphère est celle d'une fin de l'humanité et pour tous,  la résignation semble la meilleure façon de profiter du temps qui reste.

Comme une passerelle : J’ai eu un mal fou à entrer dans cette histoire. Sans doute, juste pas mon truc, mais la plume du King ne m’a pas attrapée. 

La presseuse : Réussir à terrifier avec une machine relève de l'exploit. Mais ça fonctionne parfaitement.  Je ne serais jamais rentrée dans cette laverie. Trop la trouille. 

Le croque mitaine : Pendant toute la nouvelle, j'ai été suspendue à l'histoire du père me demandant s'il disait vrai ou était complètement fou et finalement je suis un peu déçue par la chute. 

Matière grise : Avec cette nouvelle, chacun à la possibilité de choisir qui frappe à la porte et donc la fin. 

Petits soldats, Poids lourds et La pastorale : Stephen King aime donner vie aux objets. Si je suis sensiblement effrayée par Poids lourds. L’idée d’être enfermé quelque part et de ne pouvoir en sortir sous peine de mort est selon moi terrifiante. Les deux autres histoires ne me touchent pas, car je les trouve un peu ridicules. 

Cours, Jimmy, cours… : J’aime cette histoire de fantômes qui viennent achever un crime. Elle est effrayante d’autant plus qu’elle laisse libre court à l’imagination du lecteur.

Le printemps des baies : Le brouillard est un élément que Stephen King aime et dont il sait parfaitement se servir pour nous foutre la trouille. Sur moi ça fonctionne parfaitement.

La corniche : J’aime cette histoire au retournement de situation improbable. Elle passe de douloureuse à jubilatoire, si vous vous projetez suffisamment. 

Desintox, inc. : Je trouve l’intrigue originale, mais j’ai du mal à adhérer à l’histoire car qui recommanderait une telle boîte ? 

L'homme qu'il vous faut : Je suis passée un peu à côté car je suis restée indifférente à ce récit. 

Les enfants du maïs : Je pense que c’est l’une des nouvelles les plus connues de toute l’histoire de la nouvelle. D’un côté, ce n’est qu’une bande d’enfants. D’un autre côté, c’est plutôt une horde armée d’enfants. Et il aurait été tellement simple de ne pas se laisser prendre au piège. Remonte en voiture bordel. 

Le dernier barreau de l'échelle : C’est finalement une belle histoire, une histoire de famille et de l’importance de pouvoir toujours compter sur les autres, en l'occurrence sur son grand frère. Et quand ce n’est plus le cas et bien il arrive ce qu’il doit arriver. 

L'homme qui aimait les fleurs : Je n'ai pas réussi à accrocher.

Un dernier pour la route : retrouver Jerusalem lot et ses vampires est toujours un plaisir.

Chambre 312 : Stephen King termine son recueil en jouant la corde de l'émotion et en traitant du sujet sensible de l'aide à finir sa vie dans la dignité. Réussi. 

Paused to return to library, did not borrow again and decided 6 months later I didn't want to finish it anymore. A bit too dry and expansive for me as the topic covers a wide genre and history.
primesinister's profile picture

primesinister's review

2.5
informative slow-paced

Definitely a good insight into Stephen king’s opinions of horror in the late 1970s and early 1980s… and I’m sure there are doctoral students out there salivating over this. But I don’t think the horror film genre is something I’ve explored enough for this to be interesting to me for 400 pages. 

justreadingabook's review

3.0

Love SK books.

emilio92's review

1.0

I barely read any of this and it was an uphill climb the entire time.

I love Stephen King but man does he come across as a know it all asshole in this book.

The first thing you read is an essay at the beginning where he praises The Blair Witch Project and The Last House On The Left remake, making you wonder how in the hell could this be the same guy who is a master of horror. Before the essay is over he's suggesting 21st century "horror" films, the most bizarre pick being Snakes On A Plane, which even as a "so bad it's good" pick is ridiculous.

After this 2010 essay the book is the original text that was writing by a cocky writer in his early 30s who already feels he's enough of a historian of the genre to write 400 pages about it.

The thing that really made me drop this book and give up is when he felt the need to mention that Frankenstein is the name of the monster's creator, not the monster itself.

That's the horror equivalent of the guy who thinks he's original and different because he recognizes that Die Hard is a Christmas movie.

We know........we fucking know.
slow-paced

An unimaginable amount of blathering wank.
informative lighthearted slow-paced