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3.54 AVERAGE
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adventurous
emotional
funny
hopeful
inspiring
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
No
adventurous
informative
inspiring
fast-paced
Plot or Character Driven:
Character
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Complicated
An interesting fictional twist to a real footnote in history. Mr. Fergus did an honorable job of extrapolating on the real life Cheyenne request for 1000 White Women (with good intent based on their culture) and the real biases and powerlessness women faced in US culture that would lead them to considering escape from "civilized culture" to an adventure in indigenous culture.
The story and characters were compelling especially in their evolution then the return that strikes the heart of the realitiy of the lack of understanding of other's cultures.
I definitely am sharing this book.
The story and characters were compelling especially in their evolution then the return that strikes the heart of the realitiy of the lack of understanding of other's cultures.
I definitely am sharing this book.
adventurous
emotional
hopeful
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Complicated
J'ai mis un petit moment à mettre le doigt sur ce qui me dérangeait tant que ça dans le style d'écriture de ce roman. Après coup c'est le cadet de mes soucis avec ce livre mais voilà : C'est écrit comme une fanfiction.
Certains dialogues sont franchement lunaires, et les événements extrêmement traumatiques s'enchaînent comme une indigestion après un sandwich pas frais : le lendemain on n'en parle plus, on s'en fout tout va bien. Il y a près de dix viols dans ce livre. Pas une fois on ne prend le temps de vraiment plonger dans la psyché des victimes. C'est à peu près traité avec autant d'attention que le fait qu'un prêtre aime faire du pain. Une des rares fois où une victime souligne qu'elle préférerait être morte que d'avoir été violée par un groupe, une des autres victimes lui répond "oh arrête tes jérémiades". Jérémiades. Prononcé par une autre victime quasiment juste après les faits. Et dans tout le groupe personne n'est choqué. Moi oui.
J'ai cru que j'allais hurler quand j'ai vu le passage disant qu'une des femmes un peu coincée s'était fait violer par son mari, mais que maintenant ça allait mieux et qu'elle était moins coincée. J'ose espérer que l'auteur n'essayait pas de sous entendre que le viol avait été une bonne chose pour elle, je l'espère sincèrement, mais la juxtaposition de ces deux idées était disons au mieux maladroite.
Et très franchement je m'interroge un peu sur le public cible de ce livre. Ah ça a bien montré qu'il y a des monstres dans toutes les sociétés, pas de soucis. Mais quel était le propos, le but de ce livre ? Je veux dire, au delà du côté "comment s'intégrer à une culture dont on ne maîtrise pas la langue et dont on ne sait rien", le déchaînement absolu de violences, notamment sexuelles (mais pas) me rend perplexe en plus de m'horrifier.
Quand à l'usage de personnage stéréotypé, je n'en comprends pas l'intérêt. La suisse a l'accent extrêmement fort, la femme noire qui devient une chasseresse contrairement aux autres, les sœurs jumelles malicieuses, la "belle" américaine esclavagiste, la dévot ... Les personnages sonnaient creux. Ils étaient complètement réduits à des clichés, et le pire c'est que je peux imaginer pourquoi.
Tout ce roman tournait autour d'un exercice de tenter par tous les moyens de mettre en avant le personnage principal. J'ai vu quelqu'un la qualifier de mary sue, je suis pleinement d'accord. Les moqueries sur le physique des autres étaient constantes, et quand ce n'était pas ça c'était une critique de leur superficialité. Entre autre la fiancée de Bourke qui veut juste ramener l'attention sur elle parce qu'elle sent que son futur mari flirte avec une femme. Je veux dire, sa manière de faire est immature, mais est-ce qu'elle a tort de tenter quand on sait qu'ils finiront effectivement par coucher ensemble ?
Sans parler de sa réaction vis à vis de l'agression de la fille par son mari, j'y reviens encore, mais alors certes elle l'insulte de tous les noms alors que le personnage principal n'y est vraiment pour rien. Cependant, qui aurait idée de dire à une fille clairement traumatisée, le sang encore entre les cuisses "je suis désolée Narcissa. Sincèrement. Mais je ne vois pas comment tu peux en rejeter la faute sur moi ou sur quiconque." Quiconque ? Oh, j'ai une petite idée, pourquoi pas le type qui l'a violée ?
Enfin bref. Je pourrais en parler toute la journée. Je suis passée très rapidement de" le style d'écriture est un peu bizarre mais le concept est intéressant" à "sortez moi de là, je ne veux plus jamais voir ce livre de ma vie".
Certains dialogues sont franchement lunaires, et les événements extrêmement traumatiques s'enchaînent comme une indigestion après un sandwich pas frais : le lendemain on n'en parle plus, on s'en fout tout va bien. Il y a près de dix viols dans ce livre. Pas une fois on ne prend le temps de vraiment plonger dans la psyché des victimes. C'est à peu près traité avec autant d'attention que le fait qu'un prêtre aime faire du pain. Une des rares fois où une victime souligne qu'elle préférerait être morte que d'avoir été violée par un groupe, une des autres victimes lui répond "oh arrête tes jérémiades". Jérémiades. Prononcé par une autre victime quasiment juste après les faits. Et dans tout le groupe personne n'est choqué. Moi oui.
J'ai cru que j'allais hurler quand j'ai vu le passage disant qu'une des femmes un peu coincée s'était fait violer par son mari, mais que maintenant ça allait mieux et qu'elle était moins coincée. J'ose espérer que l'auteur n'essayait pas de sous entendre que le viol avait été une bonne chose pour elle, je l'espère sincèrement, mais la juxtaposition de ces deux idées était disons au mieux maladroite.
Et très franchement je m'interroge un peu sur le public cible de ce livre. Ah ça a bien montré qu'il y a des monstres dans toutes les sociétés, pas de soucis. Mais quel était le propos, le but de ce livre ? Je veux dire, au delà du côté "comment s'intégrer à une culture dont on ne maîtrise pas la langue et dont on ne sait rien", le déchaînement absolu de violences, notamment sexuelles (mais pas) me rend perplexe en plus de m'horrifier.
Quand à l'usage de personnage stéréotypé, je n'en comprends pas l'intérêt. La suisse a l'accent extrêmement fort, la femme noire qui devient une chasseresse contrairement aux autres, les sœurs jumelles malicieuses, la "belle" américaine esclavagiste, la dévot ... Les personnages sonnaient creux. Ils étaient complètement réduits à des clichés, et le pire c'est que je peux imaginer pourquoi.
Tout ce roman tournait autour d'un exercice de tenter par tous les moyens de mettre en avant le personnage principal. J'ai vu quelqu'un la qualifier de mary sue, je suis pleinement d'accord. Les moqueries sur le physique des autres étaient constantes, et quand ce n'était pas ça c'était une critique de leur superficialité. Entre autre la fiancée de Bourke qui veut juste ramener l'attention sur elle parce qu'elle sent que son futur mari flirte avec une femme. Je veux dire, sa manière de faire est immature, mais est-ce qu'elle a tort de tenter quand on sait qu'ils finiront effectivement par coucher ensemble ?
Sans parler de sa réaction vis à vis de l'agression de la fille par son mari, j'y reviens encore, mais alors certes elle l'insulte de tous les noms alors que le personnage principal n'y est vraiment pour rien. Cependant, qui aurait idée de dire à une fille clairement traumatisée, le sang encore entre les cuisses "je suis désolée Narcissa. Sincèrement. Mais je ne vois pas comment tu peux en rejeter la faute sur moi ou sur quiconque." Quiconque ? Oh, j'ai une petite idée, pourquoi pas le type qui l'a violée ?
Enfin bref. Je pourrais en parler toute la journée. Je suis passée très rapidement de" le style d'écriture est un peu bizarre mais le concept est intéressant" à "sortez moi de là, je ne veux plus jamais voir ce livre de ma vie".
reflective
sad
Diverse cast of characters:
Yes
This one is a historical fiction novel inspired by the “Brides for Indians” program the US enacted in the 1870s. Basically, the experiment was that the US government could get Native Americans to assimilate more successfully if they married the men off to white women. Spoiler alert: it ended badly. This book is written as a series of journal entries by one of these white women, who was born into money but was institutionalized by her family for being too progressive and feminist. Her only way out of asylum life was volunteering to join this initiative. Honestly, this one didn’t ring my bell. The emphasis is on the history as opposed to the writing quality. The characters felt like caricatures and the dialogue was super expository and not realistic. There was also a lot of rape and sexual abuse that was treated a bit too cavalierly (this was written by a white guy, if that matters to you). But its target audience is going to be people who are interested in the history and don’t mind the lackluster prose. If you were a fan of the Dear America series as a kid, you might like this. This felt like a *very* adult version of that.
adventurous
challenging
informative
reflective
sad
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
No
les Blancs sont les pires êtres du monde.
adventurous
Very interesting and witty characters in this book. The storyline kept me interested throughout.
I had some moments of pure rage when the narrator implied the natives were the more barbaric, though the narrative later suggested that atrocities were committed on both sides. The ideas were unique and interesting, but I felt the book, despite the setting, offered a very limit perspectives on anything other than white culture.
Pro: Captivating read that kept me on the edge of my seat
Con: I had a hard time reading a white women’s journal about entering an indigenous culture, with a white man as the author.
Con: I had a hard time reading a white women’s journal about entering an indigenous culture, with a white man as the author.