Reviews - The Phantom of the Opera (Augmented Classics): With Augmented Reality

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The Phantom of the Opera (Augmented Classics): With Augmented Reality

Saw this shit live in London and it changed my life so I had to read the book. The first half was reaallllllll sluggish and hard to get through honestly, but that last 80-100 pages were great. Loved Erik’s character in this … wish we got more of Christine’s perspective. Loved that ending!

queenslayerbee's review against another edition

1.5

The best part of this novel, by far, were Chapoulet’s illustrations in my copy. I find the concept of the story very, very appealing, but after so long anticipating reading it, I was so let down by the execution. I found the prose unremarkable and the drama underwhelming. And I had a hard time swallowing Raoul and his Madonna-Whore complex. However, I liked enough of it (if most, sadly not what was in focus) that I’m still intrigued about watching the musical properly (as opposed to listening to a few songs).

edwvy's review against another edition

2.0

Je ne prétends pas que ce livre est mauvais, mais je n'ai vraiment, vraiment pas accroché. Et pourtant, j'espérais tellement l'aimer.

J'ai trouvé la quasi totalité des personnages profondément irritants. En particulier les deux amoureux transis de Christine. Jaloux. Contrôlants. J'irais presque même jusqu'à pathétiques.

Raoul est un lâche impulsif. Il n'hésite pas à suivre un homme dont il ne sait strictement rien pour aller sauver Christine. En revanche, une fois piégé dans la salle de torture, il fait trop chaud donc monsieur s'assoit et laisse au persan le soin de faire tout le travail. Il aurait pu au moins tenter de chercher une issue avec lui, mais non, il se plaint, le ralentit, et se révèle aussi inutile que certaines disgressions du roman.

Quand au fantôme de l'opéra, qui aurait pu être un personnage sincèrement inquiétant, on le voit trop souvent pleurer et se lamenter pour le prendre au sérieux. Ce qui est dommage, surtout en sachant que le fantôme EST une menace sérieuse.

Les seuls passages de l'histoire qui m'ont vraiment plu étaient ceux du point de vue du persan, et c'est en grande partie dû au fait qu'il ne s'attarde pas autant que le reste sur le triangle amoureux et davantage sur la menace que représente le fantôme de l'opéra.