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3.54 AVERAGE
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"After the aristocracy of birth, it was now the turn of the aristocracy of money; it was the Caliphate of the county-house, the despotism of the Rue du Sentier, the tyranny of commerce with its narrow-minded, venal ideas, its ostentatious and rascally instincts." So rails this book towards the end, along with the requisite French potshot at the United States for being so crass and lacking in real culture and ruining everyone else. The intellectual and aesthetic meanderings of nascent Slaanesh devotee Des Esseintes are linked primarily by a contemptuous elitism that believes beauty and mysticism are the exclusive property of the ancient and wealthy, now endangered by the leveling effect of the Industrial Revolution. A true hipster, Des Esseintes immediately loses interest in something he had loved once it becomes popular with the unwashed masses. He seems less a deep, edgy thinker than simply a future old man yelling at clouds. Huysmans's unabashed indulgence in purple prose is nevertheless quite a pleasure to read.
Did not find it worth reading as the book has no plot, and while it might be considered a novel it's about as interesting as an Ikea catalogue.
Lido para um trabalho no doutorado. Não é bem um romance, mas mais um apanhado de ensaios sobre estética pela visão de um dândi do século XIX, com muita influência de Baudelaire e um precursor de Dorian Gray. É uma leitura um tanto difícil, ou melhor, não é das mais empolgantes, já que une falta de plot a uma prosa que mesmo na época já era arcaica por usar uma linguagem rebuscada, cheia de enfeites, como toda a estética defendida pelo protagonista. Ao mesmo tempo, foi uma leitura que gostei bastante, não posso negar que encanto com o decadentismo como modo de pensar. Mas não dá para realmente recomendar para alguém que não tenha um interesse específico nessa questão.
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Complicated
On entend souvent dire qu'À rebours signe le détachement de #Huysmans du naturalisme, et sa conversion vers un courant totalement à l'antipode : le décadentisme. Mais voyez, le mot 'conversion' me dérange, car il suffit de se pencher ne serait ce que superficiellement sur le vécu de l'auteur, pour comprendre que ce livre n'est qu'une suite logique et prévisible de son évolution. C'est que Huys' est un acculé-né, il a d'instinct une forte inclinaison pour la noirceur et le pessimisme. Et donc parler de conversion sonne faux. Je vais même plus loin ; malgré toute l'anti-nature que revêt À rebours, il ne demeure pas moins rattaché au naturalisme. La notice en est la preuve : l’auteur y trace en détails la généalogie de Des Esseintes, pour appuyer le concept d’hérédité si cher à Zola.
Ce livre est une exaltation de l'artifice. Des fantaisies délirantes professées par un orfèvre de talent, qui se complait à manier les mots parmi les plus subtiles nuances du vice. Portrait d'un désordre apprêté, celui d'un névrosé qui sur plusieurs petits chapitres, nous expose un procédé de divinisation de l'art, avec pour but d'exorciser ce qui lui encombre l'âme : la réalité. Pour ce faire, il use d'un vocabulaire qui aguiche les sens : pierreries de toutes sortes - c'est que lire des mots comme saphirine, chrysobéryl ou cymophane m'assène une douce décharge, fleurs extravagantes ou effluves grisantes, tout concourt à souligner cette nette insuffisance du réel. Et puis on a ces pointilleuses analyses de tableaux, comme la Salomé de Gustave Moreau, que cet esthète de Huys’ décrit dans sa plus belle nudité. C'est qu'il n'a d'yeux que pour l'adultéré, le miné à même la racine.
Mais en sus de tout cela, on sent la présence, tel un bourreau qui attend l'ultime regard, d'une thématique qui deviendra la quête de toute une vie : la religion. Et à ce stade de l'histoire, c'est-à-dire À rebours, le premier pas, c'est sous un prisme dévié que germe une réflexion fort curieuse...le chemin vers le divin n’est que débauches de la chair.
Pôle d'amour naissant. À suivre… ❤️
Ce livre est une exaltation de l'artifice. Des fantaisies délirantes professées par un orfèvre de talent, qui se complait à manier les mots parmi les plus subtiles nuances du vice. Portrait d'un désordre apprêté, celui d'un névrosé qui sur plusieurs petits chapitres, nous expose un procédé de divinisation de l'art, avec pour but d'exorciser ce qui lui encombre l'âme : la réalité. Pour ce faire, il use d'un vocabulaire qui aguiche les sens : pierreries de toutes sortes - c'est que lire des mots comme saphirine, chrysobéryl ou cymophane m'assène une douce décharge, fleurs extravagantes ou effluves grisantes, tout concourt à souligner cette nette insuffisance du réel. Et puis on a ces pointilleuses analyses de tableaux, comme la Salomé de Gustave Moreau, que cet esthète de Huys’ décrit dans sa plus belle nudité. C'est qu'il n'a d'yeux que pour l'adultéré, le miné à même la racine.
Mais en sus de tout cela, on sent la présence, tel un bourreau qui attend l'ultime regard, d'une thématique qui deviendra la quête de toute une vie : la religion. Et à ce stade de l'histoire, c'est-à-dire À rebours, le premier pas, c'est sous un prisme dévié que germe une réflexion fort curieuse...le chemin vers le divin n’est que débauches de la chair.
Pôle d'amour naissant. À suivre… ❤️
dark
funny
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
Horrible. Terrible. Dreadfully dull. I loved every moment.
reflective
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
No
Pretentiously verbose, I spent more time looking up words that I didn't know than I did enjoying any sort of plot. Partly because there were a fuck-tonne of words I didn't know and partly because there was no plot. 'Theoretical musings on everyday life in an exceedingly grandiose manner' would be my soundbite-summing-up of this book. If you ever need to read words on a page without taking anything in, perhaps for mindfulness or sleep, I recommend this book, an aide to sleep if ever I read one. 200 pages of pretentious condescending wank that took me 3 weeks to read because I just didn't want to. This has severely impacted my reading time and I'm not happy about it. 1 star. If I was in a generous mood I'd give it another half for all the words I learnt but I'm not so I won't.