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Space O.P.A. de Greg Costikyan chez L’Atalante poche
16/20
C’est le titre qui m’a attiré vers cet ouvrage. J’ai beaucoup aimé le petit jeu de mot avec space opera, à la manière d’un Jack Vance. Et surtout le titre est très intrigant, l’ouvrage parlerait de capitalisme, dans un contexte extra planétaire ? En bref beaucoup de questions rien qu’avec le titre de cette œuvre.
La terre est contactée par les extra-terrestres. Elle est désormais suffisament développée pour faire partie du réseau des planètes de l’univers. Pour les terriens, le premier aperçu de la technologie extraterrestre est éblouissant, il promet un avenir radieux. Malheureusement, très vite, c’est le désenchantement. Ensevelis sous les innovations, les entreprises terriennes font faillites, les unes après les autres. Mukerjii se retrouve à la rue, lui qui était le PDG d’une société cotée en bourse. Mais il a un plan pour regagner le sommet, et pour cela, il est prêt à tout, quitte à enfreindre les règles et pourquoi pas tuer une personne au passage.
Je ne connais rien à l’univers de la bourse, de la finance, des OPV et autres joyeusetés du même genre et pourtant, cela ne m’a pas gêné dans ma lecture. Si l’ouvrage traite de finance c’est sur un ton grinçant et humoristique, accessible au tout venant. J’ai adoré voir une situation renversée où la terre se retrouve reléguée à l’âge de pierre au vu des autres super puissances. Pour moi cet ouvrage est une belle leçon d’humilité et surtout une certaine critique du capitalisme, dont il démontre les limites.
A défaut de space opera, on découvre certes des races extraterrestres et une ou deux planètes extérieures mais l’ouvrage reste concentré sur la Terre. C’est une nouvelle forme de SF où la course n’est plus à l’innovation technologique mais à autre chose (je n’en dirai pas plus pour ne pas gâcher le plaisir du lecteur).
Une très belle lecture, choisie sur un coup de tête mais que je ne regrette pas. L’auteur change les codes et le fait très bien.
16/20
C’est le titre qui m’a attiré vers cet ouvrage. J’ai beaucoup aimé le petit jeu de mot avec space opera, à la manière d’un Jack Vance. Et surtout le titre est très intrigant, l’ouvrage parlerait de capitalisme, dans un contexte extra planétaire ? En bref beaucoup de questions rien qu’avec le titre de cette œuvre.
La terre est contactée par les extra-terrestres. Elle est désormais suffisament développée pour faire partie du réseau des planètes de l’univers. Pour les terriens, le premier aperçu de la technologie extraterrestre est éblouissant, il promet un avenir radieux. Malheureusement, très vite, c’est le désenchantement. Ensevelis sous les innovations, les entreprises terriennes font faillites, les unes après les autres. Mukerjii se retrouve à la rue, lui qui était le PDG d’une société cotée en bourse. Mais il a un plan pour regagner le sommet, et pour cela, il est prêt à tout, quitte à enfreindre les règles et pourquoi pas tuer une personne au passage.
Je ne connais rien à l’univers de la bourse, de la finance, des OPV et autres joyeusetés du même genre et pourtant, cela ne m’a pas gêné dans ma lecture. Si l’ouvrage traite de finance c’est sur un ton grinçant et humoristique, accessible au tout venant. J’ai adoré voir une situation renversée où la terre se retrouve reléguée à l’âge de pierre au vu des autres super puissances. Pour moi cet ouvrage est une belle leçon d’humilité et surtout une certaine critique du capitalisme, dont il démontre les limites.
A défaut de space opera, on découvre certes des races extraterrestres et une ou deux planètes extérieures mais l’ouvrage reste concentré sur la Terre. C’est une nouvelle forme de SF où la course n’est plus à l’innovation technologique mais à autre chose (je n’en dirai pas plus pour ne pas gâcher le plaisir du lecteur).
Une très belle lecture, choisie sur un coup de tête mais que je ne regrette pas. L’auteur change les codes et le fait très bien.
adventurous
funny
hopeful
lighthearted
mysterious
fast-paced
Plot or Character Driven:
Plot
Strong character development:
No
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Complicated
funny