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satan_is_back's review against another edition
dark
informative
mysterious
reflective
sad
fast-paced
3.0
jammasterjamie's review
5.0
What a wonderful and strange little story of love and revenge, identity and perception, individuality and duality, told in a way that only Alan Moore would think to tell it. I'm left with a feeling of beautiful loss.
theatlantean's review
1.0
As an interlude, it was okay to read. As a little vignette it's farly interesting. But it should not be sold alone (they actually give it to you twice - more on this in a moment) as it is way too short and inconsequential. It is an interesting short story at best.
It IS a complete graphic story. Moore originally wrote this as a standard text-only story. In this volume it has been turned into a graphic novel. What you have is the complete story in graphics, which is too short for even a graphic novel, so it is follwed by the complete original text, so actually you get the same story twice.
I've read Moore (V, Promethea, Swamp Thing, League of EG, Watchemn), and i would ahve been disappointed if this had been longer.
In my opinion, for fans only, and even then, get it from the library
It IS a complete graphic story. Moore originally wrote this as a standard text-only story. In this volume it has been turned into a graphic novel. What you have is the complete story in graphics, which is too short for even a graphic novel, so it is follwed by the complete original text, so actually you get the same story twice.
I've read Moore (V, Promethea, Swamp Thing, League of EG, Watchemn), and i would ahve been disappointed if this had been longer.
In my opinion, for fans only, and even then, get it from the library
yoda_bor's review against another edition
3.0
Après le très beau La Guerre des Trois rois, j’ai été ravie de continuer à découvrir la collection graphique de Actu SF avec cette très longue nouvelle d’Alan Moore. Si je connais le bonhomme, je n’avais jusque là absolument rien lu de lui et j’avais très envie de le découvrir.
Et je sors un peu partagée de cette lecture malheureusement.
Graphiquement, cet ouvrage est parfait. Le travail de Cindy Canévet est magnifique, les dessins sont splendides et ils illustrent à merveille l’histoire qui se déroule devant nos yeux.
Mais c’est justement au niveau du scénario que je suis un peu perplexe. Le résumé et le début de la nouvelle nous laissent croire que l’on va assister à quelque chose de fantastique, avec des sorciers et de la magie, des secrets et une intrigue politique prenant place à Liavek, un lieu partagé par de nombreux autres auteurs pour y poser leurs propres romans.
Mais ce n’est pas du tout ce à quoi on va avoir droit puisque Som-Som ne sort jamais de la Maison sans Horloges et ne va être là que comme spectatrice d’un drame qui se passe devant ses yeux et dans lequel elle n’intervient pas du tout. Un véritable drame, très bien mené, où interviennent les personnages de Foral Yatt et Raura Chin, dans lequel j’ai senti beaucoup de douleurs et de résonnances mais qui est aussi très moderne et actuel et dans lequel la magie et le fantastique n’ont finalement que peu de place à tenir.
C’est sans doute pour cela que je me suis sentie un peu volée. Je n’ai pas eu ce que je m’attendais à voir et même si ce que Alan Moore nous raconte est très juste, ce n’est pas du tout ce que j’espérais.
Du coup j’en ressors un petit peu déçue alors que l’univers qu’on entrevoit derrière les murs de la Maison semble être extrêmement prometteur. Et je pense que c’est le fait d’en être exclue qui me rend triste de ne pas en avoir découvert un peu plus.
Et je sors un peu partagée de cette lecture malheureusement.
Graphiquement, cet ouvrage est parfait. Le travail de Cindy Canévet est magnifique, les dessins sont splendides et ils illustrent à merveille l’histoire qui se déroule devant nos yeux.
Mais c’est justement au niveau du scénario que je suis un peu perplexe. Le résumé et le début de la nouvelle nous laissent croire que l’on va assister à quelque chose de fantastique, avec des sorciers et de la magie, des secrets et une intrigue politique prenant place à Liavek, un lieu partagé par de nombreux autres auteurs pour y poser leurs propres romans.
Mais ce n’est pas du tout ce à quoi on va avoir droit puisque Som-Som ne sort jamais de la Maison sans Horloges et ne va être là que comme spectatrice d’un drame qui se passe devant ses yeux et dans lequel elle n’intervient pas du tout. Un véritable drame, très bien mené, où interviennent les personnages de Foral Yatt et Raura Chin, dans lequel j’ai senti beaucoup de douleurs et de résonnances mais qui est aussi très moderne et actuel et dans lequel la magie et le fantastique n’ont finalement que peu de place à tenir.
C’est sans doute pour cela que je me suis sentie un peu volée. Je n’ai pas eu ce que je m’attendais à voir et même si ce que Alan Moore nous raconte est très juste, ce n’est pas du tout ce que j’espérais.
Du coup j’en ressors un petit peu déçue alors que l’univers qu’on entrevoit derrière les murs de la Maison semble être extrêmement prometteur. Et je pense que c’est le fait d’en être exclue qui me rend triste de ne pas en avoir découvert un peu plus.
nycterisberna's review against another edition
4.0
(leí el cuento, no el cómic). Trataré de ser objetiva, pero es difícil. Como siempre, lo maravilloso de esta historia es cómo la cuenta Moore y la imaginación que tiene para abordar a distintos personajes que viven en un burdel. La protagonista (que es una prostituta para magos y por lo tanto le han quitado su capacidad de acceder al lenguaje para prevenir que le suceda algo con la magia o pueda narrar algún secreto) es testigo de una historia de amor y odio tan bien escrita, que no podemos sino acompañarla a mirar sin poder apartar la vista nunca hasta el final.
neven's review
3.0
While the prose here is often beautiful, and the imagery hinted at is tantalizing, I must admit that in the end, I just plain didn't get the story. Maybe I'm just a dummy.
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