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3.78 AVERAGE
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je me refais la discographie de dostoievski et oui ok javoue je lavais pas lu celui la crucifiez moi
en tt cas g bien aimé très prenant bravo
en tt cas g bien aimé très prenant bravo
C’est un veritable tourbillon de folie avec pour thème l’obsession : celle du jeu, l’obsession des femmes, la volonté extrême d’appartenir à une certaine classe sociale, toutes les illusions créées par les gains amassés petit à petit, mais aussitôt perdu par cette emprise du jeu qui est, sans surprise, un véritable coup de massue.
Les personnes ont tous une personnalité très différentes et très fortes ce qui amplifie l’ambiance électrique qui monte et qui est de plus en plus pesante.
Je dirais que la première partie de la lecture est plutôt consacrée à la présentation des personnages, on les ancre vraiment dans leur contexte pour comprendre les enjeux de chacun parce que tout se mélange et tout se croise. C’est en deuxième partie de lecture que tout arrive, on est happé dans un univers où le rythme devient hyper soutenu.
Il est impossible pour nous de se détacher de cette histoire, on veut absolument connaitre la suite comme si on était également tombé dans l’addiction. On y découvre l’arrivée d’un personnage qui pour moi va réellement venir tout chambouler : cette fameuse grand-mère avec une personnalité très marquée, elle est aigrie, elle est détestable par sa façon de s’exprimer, mais c’est aussi grâce à elle qu’on reste et qu’on a envie de connaitre la suite de ce livre décrit comme étant une satire de cette société obnubilée par l’argent.
Cette lecture est pour moi un coup de cœur, j’ai adoré !
Le joueur a été écrit en même temps que Crime et Châtiment qui est certainement une des œuvres la plus connue de Dostoïevski et de la littérature russe pour voir plus loin. Il a été écrit entre le chapitre 5 et 6 en 1866. Et surtout, ce livre est issu d’une collaboration houleuse avec un éditeur pas du tout sympathique parce qu’il lui a fait signer une clause indiquant qu’il devait livrer le roman le 1 novembre 1866. Ce qui signifie qu’il n’avait qu’un seul mois pour le rédigé. C’est donc son tout premier roman dicté, qu’il a fait en 27 jours avec un stress absolument colossal sur ses épaules.
En plus de ça, Dostoïevski a été lui-même un joueur compulsif et il a écrit le joueur pendant cette période-là. Il a perdu des sommes colossales et son addiction a durée de nombreuses années. Il était donc très bien placé pour pouvoir parler d’addiction étant donné qu’il le vivait.
Les personnes ont tous une personnalité très différentes et très fortes ce qui amplifie l’ambiance électrique qui monte et qui est de plus en plus pesante.
Je dirais que la première partie de la lecture est plutôt consacrée à la présentation des personnages, on les ancre vraiment dans leur contexte pour comprendre les enjeux de chacun parce que tout se mélange et tout se croise. C’est en deuxième partie de lecture que tout arrive, on est happé dans un univers où le rythme devient hyper soutenu.
Il est impossible pour nous de se détacher de cette histoire, on veut absolument connaitre la suite comme si on était également tombé dans l’addiction. On y découvre l’arrivée d’un personnage qui pour moi va réellement venir tout chambouler : cette fameuse grand-mère avec une personnalité très marquée, elle est aigrie, elle est détestable par sa façon de s’exprimer, mais c’est aussi grâce à elle qu’on reste et qu’on a envie de connaitre la suite de ce livre décrit comme étant une satire de cette société obnubilée par l’argent.
Cette lecture est pour moi un coup de cœur, j’ai adoré !
Le joueur a été écrit en même temps que Crime et Châtiment qui est certainement une des œuvres la plus connue de Dostoïevski et de la littérature russe pour voir plus loin. Il a été écrit entre le chapitre 5 et 6 en 1866. Et surtout, ce livre est issu d’une collaboration houleuse avec un éditeur pas du tout sympathique parce qu’il lui a fait signer une clause indiquant qu’il devait livrer le roman le 1 novembre 1866. Ce qui signifie qu’il n’avait qu’un seul mois pour le rédigé. C’est donc son tout premier roman dicté, qu’il a fait en 27 jours avec un stress absolument colossal sur ses épaules.
En plus de ça, Dostoïevski a été lui-même un joueur compulsif et il a écrit le joueur pendant cette période-là. Il a perdu des sommes colossales et son addiction a durée de nombreuses années. Il était donc très bien placé pour pouvoir parler d’addiction étant donné qu’il le vivait.
J’ai vraiment aimé ce livre surtout parce que je ne savais pas à quoi je devais m’attendre! Il est si proche du 5 étoiles mais je vais lui en donné 4,5 pour le moment. J’attends de voir comment cette histoire m’impacte dans le temps. J’ai eu terriblement peur pour la fin MAIS elle est vraiment bien pensée et me convient très bien. En route vers d’autre roman de Dostoievsky!
adventurous
funny
tense
medium-paced
adventurous
emotional
informative
sad
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
Complicated
Flaws of characters a main focus:
Yes
adventurous
tense
fast-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
funny
informative
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
Complicated
Flaws of characters a main focus:
Yes
Had some interesting insights, and captured addiction quite well, but the plot and the personalities of the characters lacked depth