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Dworkin's Right Wing Women was my first radical feminist theory and it's the benchmark by which I judge all other feminist theory, so when I say I didn't like Intercourse as much, that's a pretty mild critique. Intercourse is an examination of how heterosexual sex functions to support and underly misogyny and the patriarchy.

Despite the narrow focus suggested by that thesis, I found Intercourse kind of diffuse. Literary critique takes up large parts of the first several chapters (Dworkin is, of course, absolutely right in all her critiques of how misogyny is a key aspect to descriptions of sex in literature). Female Genital Mutilation features much more briefly than I expect in a book covering such topics -- in Inferior there was quite a bit more time devoted to how FGM functions to uphold sexual control. I don't particularly like reading about FGM but I do think it's a topic you have to cover when talking about sex and subjugation.

I didn't feel that Intercourse expanded my understanding of the world in the same way Right Wing Women did, but I did feel that it gave me new ways to think about sex and the way it's approached by both men and women. And reading Dworkin is always a pleasure; her writing is lyrical, forceful, evocative, and when she hits her one-liners, she hits them hard.

faust1ne's review against another edition

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slow-paced

3.5

les analyses et critiques littéraires de la première partie étaient je pense pas vraiment nécessaires- elles apportent pas grand chose a la thèse qui est défendue ds le reste de l’œuvre- si ce n’est pour celle qui porte sur Tolstoy et encore je pense que l’importance de cette analyse tient juste au fait que le point de tolstoy est net et intelligible donc au final on se retrouve avec des reformulations franchement pas nécessaires qui traînent sur des dizaines de pages. Ceci dit une fois cette longueeee (LONGUEEEE) premiere partie où on ne touche que superficiellement le fond de la question, on arrive enfin a une analyse philosophique et politique des rapports sexuels qui est elle très intéressante même si on regrettera le penchant de l’autrice pour le radotage (pitié 🙏) + Toutes les références à freud et les tentatives d’analyses psychanalytiques du sexe sont assez insupportables je dois l’avouer mais je ne sais pas si c’est vrmt un problème de fond ou de forme… ce problème est d’ailleurs lié à un autre: une certaine réduction au biologique parfois assez extrême m’a plusieurs fois dérangée même si encore une fois je ne sais pas si c’est tant le fond (l’idée (un peu extrapolée tout de même (sauf a la fin ds le chapitre sur la saleté)) que les femmes tiennent leur soumission de leurs organes sexuels), que la forme (tout le passage sur les dents du vagin était il nécessaire ??) qui m’a déplu étant donné que j’ai compris (??) que son analyse s’appliquait surtt à des schémas hétérosexuels où sessque = zizi ds zezette 🤓
BREF malgré toutes ces remarques et problèmes que j’ai rencontrés durant ma lecture il n’empêche que l’idée générale (mais qui en réalité n’est développée que ds 2 chapitres et demi sur 7) (pitié va droit au but 🙏) d’un intime politique (sans blague) et d’une domination masculine qui s’exprime (et trouve mm peut être son paroxysme) ds les rapports sexuels m’a paru très pertinente- le chapitre « occupation et collaboration » est a mon sens celui qui résume le mieux cette analyse des rapports de domination et de pvr ds le sexe ainsi que leur impact sur l’identité des femmes et leurs relations entre elles- celui-ci pour le coup (mm s’il présente qlq défauts) je le recommanderais à toute féministe en tant soit peu radicale

alexandr1ne's review against another edition

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challenging informative reflective

3.0

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