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4.24 AVERAGE
4.24 AVERAGE
adventurous
challenging
emotional
inspiring
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
N/A
Flaws of characters a main focus:
Yes
dark
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
dark
mysterious
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
No
Je suis laissé un peu perplexe par cette lecture pour être honnête.
EDIT : même après plusieurs heures, le goût d'inachevé ne me quitte pas. Je sais bien que toutes les histoires n'ont pas forcément de réponse ou de sens mais j'en attendais un peu plus de celle-là. Beaucoup de questions restent en suspens et c'est le jeu mais en même temps, il n'y avait rien pour contrebalancer ce vide. La narratrice avance et si, au début de l'errance, celle-ci est ponctuée par l'apprentissage, une fois que la mort a fini de s'en prendre à ces 40 femmes, il ne reste presque plus rien.
Le début a réussi à m'accrocher car c'était nouveau, c'était curieux, c'était malsain et j'avais envie de comprendre. Le milieu était lui aussi nouveau, une nouvelle ère, une nouvelle liberté — qui s'avère plus tard n'être qu'une prison de plus — et de nouveaux savoirs. Puis la fin, après une dernière découverte, laisse un goût de déception sur la langue. Beaucoup de mots et de réflexion pour... pas grand-chose.
J'ai essayé d'y voir un rapprochement évident avec l'allégorie de la caverne, le fait que même sorties, les femmes y sont toujours prisonnières mais j'admets ne pas réussir à pousser la réflexion bien plus loin. Parce qu'avec cette lecture, tout peut se résumer par un "à quoi bon ?" qui finit par lasser.
Même en essayant de considérer tout cela d'une vision misandre sur les bords, dans une dimension d'émancipation des femmes vis-à-vis des hommes, il n'y a... rien à dire. Parce que notre héroïne n'a pas connu les hommes, beaucoup de choses tournent autour d'eux, de cet inconnu qu'ils représentent. Lorsqu'elle apprend l'amour, l'anatomie, lorsqu'elle observe les couples de femmes autour d'elle, tout n'est présenté que comme une conséquence de l'absence des hommes, un manque qu'elle ne pourra jamais vraiment ressentir ni comprendre, un manque qui pousse les plus âgées à trouver réconfort auprès de leurs semblables par dépit, parce qu'il n'y a plus qu'elles. Au-delà de l'aspect dystopique du bouquin, c'est d'une tristesse affligeante qui, selon moi, n'a rien à voir avec le genre du livre.
Je ne comprends pas la hype qu'il y a eu autour de ce livre, peut-être suis-je complètement passé à côté du sujet. Une lecture divertissante mais sans plus, un style d'écriture qui ne m'a pas marqué et un récit qui m'aura décidément laissé un peu trop sur ma faim pour que je puisse l'apprécier comme tant d'autres le font.
EDIT : même après plusieurs heures, le goût d'inachevé ne me quitte pas. Je sais bien que toutes les histoires n'ont pas forcément de réponse ou de sens mais j'en attendais un peu plus de celle-là. Beaucoup de questions restent en suspens et c'est le jeu mais en même temps, il n'y avait rien pour contrebalancer ce vide. La narratrice avance et si, au début de l'errance, celle-ci est ponctuée par l'apprentissage, une fois que la mort a fini de s'en prendre à ces 40 femmes, il ne reste presque plus rien.
Le début a réussi à m'accrocher car c'était nouveau, c'était curieux, c'était malsain et j'avais envie de comprendre. Le milieu était lui aussi nouveau, une nouvelle ère, une nouvelle liberté — qui s'avère plus tard n'être qu'une prison de plus — et de nouveaux savoirs. Puis la fin, après une dernière découverte, laisse un goût de déception sur la langue. Beaucoup de mots et de réflexion pour... pas grand-chose.
J'ai essayé d'y voir un rapprochement évident avec l'allégorie de la caverne, le fait que même sorties, les femmes y sont toujours prisonnières mais j'admets ne pas réussir à pousser la réflexion bien plus loin. Parce qu'avec cette lecture, tout peut se résumer par un "à quoi bon ?" qui finit par lasser.
Même en essayant de considérer tout cela d'une vision misandre sur les bords, dans une dimension d'émancipation des femmes vis-à-vis des hommes, il n'y a... rien à dire. Parce que notre héroïne n'a pas connu les hommes, beaucoup de choses tournent autour d'eux, de cet inconnu qu'ils représentent. Lorsqu'elle apprend l'amour, l'anatomie, lorsqu'elle observe les couples de femmes autour d'elle, tout n'est présenté que comme une conséquence de l'absence des hommes, un manque qu'elle ne pourra jamais vraiment ressentir ni comprendre, un manque qui pousse les plus âgées à trouver réconfort auprès de leurs semblables par dépit, parce qu'il n'y a plus qu'elles. Au-delà de l'aspect dystopique du bouquin, c'est d'une tristesse affligeante qui, selon moi, n'a rien à voir avec le genre du livre.
Je ne comprends pas la hype qu'il y a eu autour de ce livre, peut-être suis-je complètement passé à côté du sujet. Une lecture divertissante mais sans plus, un style d'écriture qui ne m'a pas marqué et un récit qui m'aura décidément laissé un peu trop sur ma faim pour que je puisse l'apprécier comme tant d'autres le font.
mysterious
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
No
mysterious
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Complicated
Flaws of characters a main focus:
Complicated
dark
mysterious
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
“I am the sterile offspring of a race about which I know nothing, not even whether it has become extinct. Perhaps, somewhere, humanity is flourishing under the stars, unaware that a daughter of its blood is ending her days in silence. There is nothing we can do about it.”
fascinating, gripping, puzzling. tranquil mediation on isolation, humanity, love, time, knowledge… i don’t even know how you could come up with a book like this. i want to read it again. i have never encountered a story so astoundingly calm and yet so emotional. the power of thought and the love between anthro and the child, the women and their lives. their desolated planet, the bunkers, the plains. i can’t believe this book exists and im so glad it does, conscious of its own absurdity and never heavy handed. i can’t describe how this book made me feel. hope is so intrinsic to it despite its seeming despair. overwhelmingly it is about human resilience and knowledge, the struggle against inertia. but the womens’ desire to settle is still understood. harpman strikes me as an author of unusually potent empathy. just a transcendent work. a love letter to humanity in its own way.
im stunned. i have nothing more to say, but i’m going to think about this book forever.
fascinating, gripping, puzzling. tranquil mediation on isolation, humanity, love, time, knowledge… i don’t even know how you could come up with a book like this. i want to read it again. i have never encountered a story so astoundingly calm and yet so emotional. the power of thought and the love between anthro and the child, the women and their lives. their desolated planet, the bunkers, the plains. i can’t believe this book exists and im so glad it does, conscious of its own absurdity and never heavy handed. i can’t describe how this book made me feel. hope is so intrinsic to it despite its seeming despair. overwhelmingly it is about human resilience and knowledge, the struggle against inertia. but the womens’ desire to settle is still understood. harpman strikes me as an author of unusually potent empathy. just a transcendent work. a love letter to humanity in its own way.
im stunned. i have nothing more to say, but i’m going to think about this book forever.
dark
mysterious
reflective
sad
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
challenging
dark
emotional
hopeful
inspiring
reflective
sad
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
No
dark
mysterious
reflective
sad
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes