Take a photo of a barcode or cover
challenging
dark
mysterious
slow-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
Terrible, absolutely terrible. I didn't learn anything new in regard to the case. LAPD shows true colors in this book. I did not appreciate most of the dialogue used in this book ! I understand it was the 40s and that is how many spoke back then. But, did he really have to write it? No!!!!
Seriously gripping and immersive. The plot is really tangly and hooks you in especially to start off with. The main murder doesn't occur until you're over 80 pages in but it's still so exciting. It's also got quite nuanced characterisation and some pretty interesting depictions of close male friendships.
On the other hand... I seem to find this quite a lot with crime fiction but by the time you get to the end there have been so many twists and turns that my belief was stretching a little bit thin. I did like how a lot of the characters lose their varnish the further you get through the book, but there were a couple instances where I thought the character motivation was a bit muddy.
Overall, though, I'll be looking for more from Ellroy. It's not exactly highbrow stuff but it was seriously enjoyable overall.
On the other hand... I seem to find this quite a lot with crime fiction but by the time you get to the end there have been so many twists and turns that my belief was stretching a little bit thin. I did like how a lot of the characters lose their varnish the further you get through the book, but there were a couple instances where I thought the character motivation was a bit muddy.
Overall, though, I'll be looking for more from Ellroy. It's not exactly highbrow stuff but it was seriously enjoyable overall.
challenging
dark
mysterious
tense
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
Le 15 janvier 1947, le corps d’Elizabeth Short, surnommée le Dahlia Noir par la presse à sensation, est retrouvé charcuté et vidé de son sang dans un terrain vague de Los Angeles. Le coupable ne sera jamais appréhendé. Le 22 juin 1958, le petit James Ellroy, alors tout juste âgé de 10 ans, perd sa mère dans d’affreuses circonstances; violée et assassinée, son meurtrier toujours au large ou mort depuis longtemps. Quand l’enfant découvre l’affaire du Dahlia Noir, il y voit un double de sa mère, un substitut sur lequel transférer les émotions tiraillées d’un deuil qu’il n’a pas les outils pour traverser. En 1987, il publie « Le Dahlia Noir », dédié à sa mère en lettres de sang.
Un classique de la littérature policière, un roman cathartique où Elizabeth Short et Geneva Ellroy sont enfin vengées. Du même coup, le premier « grand » Ellroy, le roman qui l’a confirmé comme un auteur sérieux à garder dans sa mire. Mon premier Ellroy d’ailleurs, que je connais depuis longtemps mais que je n’avais jamais pris le temps d’essayer. Je sais que c’est un incontournable de cet écrivain, mais je sais aussi que ce n’est pas considéré comme son chef-d’œuvre. L’histoire derrière l’écriture du roman et le meurtre réel autour duquel Ellroy construit cette sombre fiction ont quand même suffit à piquer ma curiosité.
« Le Dahlia Noir » est un roman très inégal. Inégal dans ses qualités littéraires, inégal dans l’intérêt de ses intrigues et sous-intrigues, inégal dans le développement de ses personnages. Son protagoniste est un policier typique du roman noir, sans foi ni loi, tombeur de ces dames, névrosé, problèmes plus ou moins importants de consommation, etc. On dirait qu’on n’y échappe jamais. Je ne suis pas spécialement fan de ce genre de personnages peu crédibles qui font très écrits et qu’on ne rencontre probablement pas souvent sur le terrain. Le roman est paru dans les années 80, mais déjà à cette époque on pouvait parler d’un cliché.
C’est un peu dommage, mais j’oserais dire que tout ce qui ne concerne pas directement l’enquête sur le meurtre du Dahlia Noir est assez ennuyant. Pendant de longs chapitres, Ellroy se perd en sous-intrigues qui deviennent rapidement essoufflantes, remplies de personnages secondaires plus ou moins bien écrits qu’on a hâte de quitter pour revenir à ce qui nous intéresse. Quand on se concentre sur la vie maritale du protagoniste ou sur ses infidélités, c’est peut-être pire encore. L’obsession sexuelle du policier pour Elizabeth Short n’est pas du tout convaincante et paraît sortie de nulle part. Ellroy manque grandement de finesse dans l’élaboration de la psychologie de son personnage au point d’en être presque infantile. Il y a peut-être quelque chose à dire de son propre complexe oedipen avoué qu’il a traîné dans l’âge adulte.
Malgré tout, il faut le donner à Ellroy, il connaît son Dahlia Noir et il connaît sa police. Quand on est dans le nerf de la guerre, dans l’enquête principale, l’auteur brille par son sens du détail, par ses descriptions à glacer le sang, par son flair pour le suspense et le timing. Le dénouement est satisfaisant, la scène finale percutante et menée de main de maître. On voit que c’est en écrivant sur Short qu’Ellroy trouve ses plus beaux élans d’inspiration, et c’est aussi là qu’il échappe le plus aux banalités du genre. Mes sentiments sur ce roman demeurent partagés. Je ne regrette pas de l’avoir lu, mais il est rempli de moments qui m’ont fait un peu soupirer, que ce soit par ennui ou exaspération. La virtuosité y côtoie la fausse manœuvre presque à parts égales.
Un classique de la littérature policière, un roman cathartique où Elizabeth Short et Geneva Ellroy sont enfin vengées. Du même coup, le premier « grand » Ellroy, le roman qui l’a confirmé comme un auteur sérieux à garder dans sa mire. Mon premier Ellroy d’ailleurs, que je connais depuis longtemps mais que je n’avais jamais pris le temps d’essayer. Je sais que c’est un incontournable de cet écrivain, mais je sais aussi que ce n’est pas considéré comme son chef-d’œuvre. L’histoire derrière l’écriture du roman et le meurtre réel autour duquel Ellroy construit cette sombre fiction ont quand même suffit à piquer ma curiosité.
« Le Dahlia Noir » est un roman très inégal. Inégal dans ses qualités littéraires, inégal dans l’intérêt de ses intrigues et sous-intrigues, inégal dans le développement de ses personnages. Son protagoniste est un policier typique du roman noir, sans foi ni loi, tombeur de ces dames, névrosé, problèmes plus ou moins importants de consommation, etc. On dirait qu’on n’y échappe jamais. Je ne suis pas spécialement fan de ce genre de personnages peu crédibles qui font très écrits et qu’on ne rencontre probablement pas souvent sur le terrain. Le roman est paru dans les années 80, mais déjà à cette époque on pouvait parler d’un cliché.
C’est un peu dommage, mais j’oserais dire que tout ce qui ne concerne pas directement l’enquête sur le meurtre du Dahlia Noir est assez ennuyant. Pendant de longs chapitres, Ellroy se perd en sous-intrigues qui deviennent rapidement essoufflantes, remplies de personnages secondaires plus ou moins bien écrits qu’on a hâte de quitter pour revenir à ce qui nous intéresse. Quand on se concentre sur la vie maritale du protagoniste ou sur ses infidélités, c’est peut-être pire encore. L’obsession sexuelle du policier pour Elizabeth Short n’est pas du tout convaincante et paraît sortie de nulle part. Ellroy manque grandement de finesse dans l’élaboration de la psychologie de son personnage au point d’en être presque infantile. Il y a peut-être quelque chose à dire de son propre complexe oedipen avoué qu’il a traîné dans l’âge adulte.
Malgré tout, il faut le donner à Ellroy, il connaît son Dahlia Noir et il connaît sa police. Quand on est dans le nerf de la guerre, dans l’enquête principale, l’auteur brille par son sens du détail, par ses descriptions à glacer le sang, par son flair pour le suspense et le timing. Le dénouement est satisfaisant, la scène finale percutante et menée de main de maître. On voit que c’est en écrivant sur Short qu’Ellroy trouve ses plus beaux élans d’inspiration, et c’est aussi là qu’il échappe le plus aux banalités du genre. Mes sentiments sur ce roman demeurent partagés. Je ne regrette pas de l’avoir lu, mais il est rempli de moments qui m’ont fait un peu soupirer, que ce soit par ennui ou exaspération. La virtuosité y côtoie la fausse manœuvre presque à parts égales.
Finished it on a long drive. I thought that it was a little drawn out and uneven, but still liked it.
This one was tough to nail down to a certain number of stars. Parts of it were borderline brilliant and then other parts were dreadful to the point of creating a catatonic reader. It was just so back and forth. At times highly ridiculous and uninteresting. Other times gripping and determined. Albeit better than just okay but a far cry from truly awesome. Ehhh...three it is.
dark
mysterious
tense
slow-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
i originally wanted to read this because it’s on the 1001 books to read before you die list (yes, ugh, i know!) and i have been known to enjoy true crime every now and then.
this entire book reads like a law and order: SUV fanfiction. honestly, it’s just pure copaganda and i shouldn’t be shocked by that at all but it was just so so bad.
to summarize so no one else has to read this:
we’re COPS and we have DICKS and we solve CRIMES but we also like BOOZE and BOXING and are engaged in a bizarre throuple situation.
why was everyone pretending to be someone else??? legitimately everyone was secretly an actor?? i have to laugh, im sorry!
this entire book reads like a law and order: SUV fanfiction. honestly, it’s just pure copaganda and i shouldn’t be shocked by that at all but it was just so so bad.
to summarize so no one else has to read this:
we’re COPS and we have DICKS and we solve CRIMES but we also like BOOZE and BOXING and are engaged in a bizarre throuple situation.
why was everyone pretending to be someone else??? legitimately everyone was secretly an actor?? i have to laugh, im sorry!
challenging
dark
mysterious
tense
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
Yes
James Ellroy wrote this book in order for him to tell his own story about Elizabeth Short or The Black Dahlia. Elizabeth is found in a vacant lot in January 1947. She was mutilated, tortured, murdered, cut in half and dumped in the course of two horrendous days. Using real-life people, and some fictional characters, Ellroy has shown us what probably happened to Elizabeth Short, who was The Black Dahlia. The story is about two young policemen who become involved in the investigation of the Black Dahlia's murder, and it depicts how this event shaped and changed their lives. Both men become totally absorbed and the book shows how their lives were forever changed and sent spinning off the rails from this one horrific murder. When I read Ellroy's final words on the book, I found that he too, in his own way, was obsessed by the Dahlia, even though he was born just after she died. He explains that it was almost a parallel story of what actually happened to his own mother in the 1950's. The book is graphic and explicit, but at the same time it shows the strength and goodness that is in some people as opposed to the absolute derangement of others. It depicts the psychotic mind as well as or better than any other book I've read about this. This book is as noir as any book can get. It's full of obsessions, lies, psychoses, sex, torture and murder. For anyone with a queasy stomach, the book might be way too much to take. For me it was like climbing into a tub of bathtub gin, and not coming up for air until I finished the book. it actually wrung me out, but I kept turning pages. No one does crime like James Ellroy, and nobody does it with so explicitly, and with so much aplomb. In a James Ellroy world, just about anything is possible, and the tension does not leave until the very end of the book. So expect the unexpected, be prepared for some pretty horrific scenarios, get angry and frustrated with the main characters, and fall into the world of post-war LA.
Graphic: Sexism, Torture, Murder
3.5 out of 5. I enjoyed the old school noir vibe but towards the end it was "wait, what?" a bit too many times.
I really liked this book, a great look into the old age Hollywood with a great and still unsolved murder... Never really read a detective book before, but this one pulled me in and kept me there I felt myself just sitting reading for a while until I finished the book. I would recommend this book if your into crime, unsolved murders or detective books. :)