Reviews

Flag in Exile by David Weber

gaulien's review

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adventurous tense medium-paced
  • Plot- or character-driven? A mix
  • Strong character development? Yes
  • Loveable characters? Yes
  • Diverse cast of characters? No
  • Flaws of characters a main focus? No

5.0

sandin954's review against another edition

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3.0

While I think the books in this series are too long and the MC is too good to be true the fun action and planetary politics always draw me in when I pick one up.

oursinculte's review against another edition

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3.0

On est confinés mais j’en ai rien à foutre, moi je vais dans l’espaaaaaaaaaaaaaaaaaace ! Bon, pas pour de vrai, je vais dans l’espace affalé sur mon canapé, mais c’est la puissance de l’esprit, tout ça… J’en suis donc au cinquième tome de la saga Honor Harrington et nous avions constaté une petite fatigue/routine qui risquait de plomber la série. Voyons un peu où ça va.

La guerre fait rage entre Manticore et Havre, mais Dame Honor Harrington est loin du front cette fois. En effet, elle est exilée sur Grayson et profite de son statut de grosse bourgeoise pour se remettre de son traumatisme à la cool dans son fief. Mais certains Graysonniens voient toujours d’un mauvais œil qu’une femme occupe un poste aussi important dans leur société, les bigots et autres conservateurs vont essayer de se débarrasser d’elle, parfois un peu violemment. Mais Honor n’en a pas fini avec l’armée pour autant, il semblerait que la guerre s’obstine à la suivre où qu’elle soit. Elle va devoir reprendre les commandes d’un vaisseau, ou deux, ou plus…

Après un quatrième tome qui a cassé un peu les codes et laissait entrevoir un renouveau, voilà que l’auteur retombe la tête la première dans sa formule « classique » (jusqu’à maintenant) : Une grosse moitié de bouquin pour mettre en place une intrigue politique et une fin en badaboum de torpilles et de gros vaisseaux qui font des tonneaux dans l’espace. Cette fois on a donc deux trames séparées qui tombent sur Honor : une locale avec les conflits politiques internes à Grayson en mode « J’aime pas qu’une femme dirige un fief, Dieu n’est pas content alors je vais te buter », et la guerre Manticore-Havre qui va se diriger vers la planète d’exil d’Honor pour nous livrer le minimum syndical de combat spatiaux.

Le personnage d’Honor est toujours aussi impressionnant, monolithique et accrocheur. Elle se remet de ses émotions mais doute énormément de ses capacités à reprendre le commandement d’un vaisseau. Évidemment, les circonstances ne vont pas vraiment lui laisser le choix et on sait très bien qu’elle va y retourner. On a une phase très habituelle de « je récupère un nouveau commandement et fait connaissance avec mon nouvel équipage qui, o surprise, comporte quelques têtes connues ». Tout ce côté est chouette mais déjà très redondant par rapport aux tomes précédents. Mais en plus on a le côté « Direction d’un fief Graysonnien » qui n’a pas réussi à m’accrocher, je me demande toujours comment on propulse une héroïne militaire en dirigeante d’un pays étranger, et le côté très bourgeoisie seigneuriale n’est pas vraiment passionnant (et pourra faire grincer des dents les plus à gauche des lecteurs).

Mais le plus gros défaut de ce tome, qui a l’air de prendre de plus en plus d’importance au fur et à mesure qu’on avance dans la série malheureusement, c’est que l’auteur passe beaucoup de temps à se vautrer dans les explications et développements politiques de son univers. Et il faut bien reconnaitre que dans l’exercice, David Weber n’est pas le plus fin de la classe. Ses mises en place politiques, au-delà de la place énorme qu’elles prennent dans l’histoire, sont très peu subtiles. Ses méchants sont tous trèèèèès méchants, les antagonistes politiques sont tous des énormes salauds rétrogrades contre les gentils progressistes. C’est à une échelle personnelle qu’on pourra retrouver quelques chouettes moments dans l’entourage de Honor, avec son équipage ou le majordome de l’extrême MacGuiness. Certains événements tragiques vont aussi se révéler poignants et révoltants, ce qui permet d’avoir une autre accroche émotionnelle pour le lecteur.

Ce qui pouvait passer dans les tomes précédents, l’installation boursouflée, est ici beaucoup plus problématique… Parce que la partie combat spatial qu’on attend tous, le feu d’artifice prenant et jouissif qui motive votre serviteur à se taper 300 pages de politique balourde, elle est réduite à une pauvre escarmouche torchée en 70 pages. Et j’étais un poil déçu. Ce qui semble être l’orientation future de la saga va complètement a l’opposé de ce que j’ai aimé dans mes premières lectures de Honor Harrington, des combats spatiaux, du suspense, de l’action, tout ça a l’air de se noyer dans des intrigues politiques pas très fines. Je vais peut-être aller voir ailleurs moi.

https://ours-inculte.fr/honor-harrington-5/

tatianajb's review against another edition

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4.0

The second half of this book is just amazing, I flew through it in a matter of hours. Nice to get back on board a ship with Honor after the last book!!

innocenthedgehog's review against another edition

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adventurous tense medium-paced
  • Plot- or character-driven? Plot
  • Strong character development? No
  • Loveable characters? No
  • Diverse cast of characters? No
  • Flaws of characters a main focus? No

3.0

onepat's review against another edition

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adventurous tense fast-paced
  • Strong character development? Yes

4.5

dorinlazar's review against another edition

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2.0

There are two things happening in this story, and both of them are taking a long time to build up. First of all, Honor goes into exile, starts a new business building domes on Grayson, and everyone hates her for that except the people. At the same time, the French... I mean Haven attack two different systems so that they can attack Grayson without scouting first.

Since some religious nuts want to discredit and kill Harrington and they are fine with killing a ton of people, including some children. Funny enough, the author chooses to get rid of her bodyguards in a similar manner, probably bored with the concept that he created for the steadholder. I wonder if he'll remember that the steadholder *has* to have a bodyguard in the next book. Looking at the name, it looks like he doesn't.

Ok, so, the religious nuts take their sweet time, and try to kill her just a few seconds before the French attack. This is seriously slow-paced stuff, I mean the author fills a lot of pages with what he calls suspense and what I call complete boredom. The point of view of Haven is absolutely useless, it would've been a lot better to simply discard that insight in the mind of the Havenite fleet. Also, they are bad at scouting and information gathering.

When it comes to battles, Weber is obsessed with tonnage, klicks and gs and other things that are simply a bore to read. The final quarter of the book can be summed as „religious nuts try to kill Honor, they kill the high priest instead, Honor cuts the head of a guy, then she leads a fight where she's badly hurt, and quotes Clausewitz to justify a game of chicken”. By now, Honor is a casual killer, but hey, tradition and shit.

It's kind of a mess of a book, but honestly? It's a natural continuation of what Weber wrote so far, so I can't really hold it against him. The character is fine, but seriously, Weber writes himself in corners and he's bad at avoiding them. By now, Honor is the kick-ass-est officer in any fleet she goes in, and really, there's no place to climb. In book 1 she was a newly-minted captain, in book 5 she's an admiral of the fleet (albeit, a foreign fleet). That's a tough spot to be in. He still wrote at least 10 more books after this one.

The same goes for religious sentiment, and the quotation of that silly thing where „people killed themselves more in the name of religion”. No, they didn't. Caesar didn't go genocidal in the name of religion. Neither has Gengis-Khan. Nor Hitler. Nor Stalin. Anyway, Weber is an American and there's all kind of nuts there - he wrote this while the FBI was fighting at Waco, and finished it right before the Oklahoma bombings, so he gets a free pass for his short-sighted view on religion.

All in all, a mediocre book. Stuff happens, people get killed. The end.

disastrouspenguin's review against another edition

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4.0

3.5 stars. Lost stars due to extended descriptions of politics and technicalities that made me start skimming, rather than reading, paragraphs and even pages. Otherwise another excellent story.

pjonsson's review

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4.0

The series is back in shape after that horrible Field of Dishonor.

fryguy451's review against another edition

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4.0

Excellent! Could not put it down.