Reviews

Bones of the Hills by Conn Iggulden

midwifereading's review against another edition

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5.0

Once again, Iggulden hits it out of the park. These books are such a sweeping, vivid illustration of the Mongolian Empire and its powerful leader, Temujin, whom we know as Genghis Khan.

The writing is stellar. It is a bold, strong style with excellent pacing and broad strokes. The pacing is excellent, the story line easy to follow, in spite of multiple plot lines going on at the same time.

Iggulden doesn't shy away from the hard topics of warfare, and all that went with it at the time. He doesn't glorify Genghis, neither does he vilify him. He tells the story objectively, but powerfully. I found myself shaking my head and wondering what it was all FOR. The map of Genghis' empire is blood-soaked. No more so than other empires, I would imagine, but this close-up look at it just emphasizes the futility and horror of war. It's awful. There is nothing good about war.

There is, however, something good about people. About survival. Family. Children. Even in the midst of ugly war, there is honor, respect, loyalty, courage, strength, and power displayed in the men who wage it. All things that are good in and of themselves. What a shame that they were wasted on wanton killing, for no reason other than a desire to conquer. It all felt so empty at the end. And I felt worn out after following the Khan's story.

Then, there are the historical notes at the end, laying the groundwork for all Iggulden did. The man was pretty darn accurate to what information is actually available to us. Amazing work.

These books deserve a place on my shelf.

gbaty's review against another edition

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slow-paced

3.0

rayarriz's review against another edition

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5.0

Genghis' story continues, and Iggulden presents it just as glowingly as the previous two. The empire rises under the leadership of the khan and the assistance of his faithful brothers, Khasar and Kachiun. Iggulden never comes short of the very best in storytelling.

staypuft_5's review against another edition

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adventurous medium-paced
  • Plot- or character-driven? Character
  • Loveable characters? Yes

4.5

i_b_rich's review against another edition

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adventurous medium-paced

4.25

olidale's review

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adventurous challenging dark

4.75

dantastic's review against another edition

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4.0

Genghis Khan had nearly broken the Chin under his rule when an Arabian city refuses tribue, leading to conflict with Shah Ala-ud-Din Mohammed. Has the Khan finally earned the ire of even an enemy he can't defeat...

The concluding volume of The Conqueror trilogy did not disappoint. The rivalry among Genghis's sons Jochi and Chagatai reaches it's conclusion. Genghis names his heir. City after city fall before the might of the Khan.

The Khan's Arabian enemies are depicted as more formidable than any he had previously faced. Even though I knew how it was going to end up, I was still convinced the Arabians would come out on top. I particularly enjoyed the use of the assassins, and their leader, the Old Man of the Mountain. The hashish using assassins never get enough play.

The battles were even more spectacular than in previous volumes. The Conqueror trilogy deserves the treatment Rome got on HBO. Since the Mongols live in tent cities, the budget wouldn't have to be as astronomically high as Rome's.

I can't imagine anyone who read the previous two would choose not to read this. It brings the trilogy to a satisfying conclusion and sets the stage for the next one, focusing on Kublai Khan from what I've heard.

oursinculte's review against another edition

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5.0

Nous voici de retour pour le troisième tome des aventures subtiles de Gengis Khan brillamment racontées par Conn Iggulden. Après un premier tome sur son enfance « à la dure » et un second qui voit la naissance de son empire et sa confrontation avec les peuples Jin, Temüdjin a maintenant atteint la bonne quarantaine mais il est loin de la retraite, y a encore des têtes à trancher.

Au début de la chevauchée vers l'empire, Gengis envoie ses généraux guerroyer dans à peu près toutes les directions, vers la Russie, la Chine ou la Perse. Mais du côté du Khwarezm, le Shah Mohammed rigole bien devant ces petits émissaires étrangers qui cavalent dans ses plaines ensablées. Il va exécuter les envoyés du grand Khan et ainsi déclencher sa colère, c'est tout un peuple qui va lui tomber sur le coin de la gueule. le chef mongol va rappeler toutes ses troupes et fondre sur celui qui l'a insulté, et affronter la plus grande armée jamais rencontrée.

Plus encore que dans le seigneur des steppes, Iggulden nous raconte les grandes batailles qui ont marqué la progression mongole. On est complètement dans un récit de guerre, on suit les combats avec plaisir, surtout grâce aux personnages extrêmement bien présentés par le roman. Maintenant que le Khan dirige une vraie nation unifiée, son entourage s'étoffe, ses fils grandissent. Dans tout ce joyeux bordel, les tensions et les amitiés naissent, et les trahisons aussi. La rivalité entre Djötchi et Djaghataï, les deux plus grands fils de Gengis, se fait de plus en plus féroce, la succession ne sera pas de tout repos.

Les généraux prennent aussi une part importante du récit, Suböteï, Kachium, Khasar, et les autres dirigent chacun un Tuman (une unité de 10 000 guerriers). On voit par leurs yeux les stratégies employées et les différents fronts des batailles, c'est en passant d'un point de vue à l'autre que l'auteur nous donne une vision d'ensemble des conflits. C'est un des tours de force du roman, nous immerger dans une guerre avec une vision claire des évènements et un attachement fort aux personnages. On est avec eux au coeur de la bataille, on ressent les moments de désespoir et d'exaltation héroïque, la fatigue extrême des chevauchées interminables et la férocité de ces cruels mongols.

Conn Iggulden se base en grande partie sur des faits historiques avérés et n'y fait que quelques entorses pour le bien du récit, des notes en fin de livre expliqueront les modifications ou incertitudes présentes dans le roman. Oui, tout ça, ça a presque réellement existé. D'ailleurs l'auteur n'essaye jamais de faire passer Gengis pour un grand héros, on assiste à des scènes de massacre pur et simple, perpétré sous le coup de la colère ou d'une simple volonté stratégique. le Khan vivait pour soumettre ses ennemis, les écraser, réduire des cités en poussière, et il fait pas dans la dentelle. Pourtant le côté épique du récit nous emporte sans problème.

On s'attache aux personnages de l'histoire, on arrive à comprendre leurs motivations et leurs dilemmes grâce au talent de l'écrivain qui nous rappelle continuellement leur philosophie et leur manière de vivre. On plonge dans leurs coutumes et leur sens des valeurs, et les remises en question aussi. L'héritage est une des thématiques nouvelles apportées ici, les chefs s'interrogent sur le mode de vie nomade et guerrier des mongols en voyant les grandes cités qu'ils assiègent. Car ce troisième tome marque la fin de la vie du grand Khan, il commence à se poser des questions existentielles sur ce qui restera de lui, au monde et à sa descendance.

Comme je l'ai précisé dans ma chronique du premier tome, La chevauchée vers l'empire est le dernier livre de la saga traduit chez nous, pourtant elle en compte encore deux qui retracent la vie des descendants de Gengis. Choisir de ne sortir que la première trilogie se comprend, on a l'ensemble de la vie de Gengis Khan qui se tient bien toute seule, mais on est quand même très curieux de savoir ce que deviendra son peuple après la succession et les quelques pistes laissées en suspend notamment entre le nouveau Khan et Suböteï. A moins d'un coup de théâtre éditorial (Allez quoi, un petit effort ?), on se tournera vers la VO pour lire Empire of Silver et Conqueror.

La chevauchée vers l'empire marque la fin de l'épopée de Gengis Khan, une trilogie historique épique, sauvage et sanglante, passionnante à découvrir. de l'histoire racontée comme ça, j'en veux plus, on va creuser un peu dans la bibliographie de l'auteur.

http://ours-inculte.fr/la-chevauchee-vers-lempire/

dave_daines's review against another edition

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4.0

Finishing out the Genghis series, all very entertaining and easy to read, with a healthy dose of history thrown in. It's fascinating to think of what the real Genghis Khan was like as a person, and wonder whether someone responsible for so much bloodshed and destruction really was a person that loved his family and followed his own moral code. Iggulden's Genghis certainly does, but it's still unnerving to hear the matter of fact descriptions of how he would have every man, woman and child massacred for cities that didn't surrender the first two days of a siege, or how he drove masses of prisoners in front of his army when going into battle so that they took the brunt of the opposition's arrows.

I enjoy Iggulden's style and will eventually give his Caesar series a try as well.

docrevilo's review

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adventurous emotional tense fast-paced
  • Plot- or character-driven? Character
  • Strong character development? Yes
  • Loveable characters? It's complicated
  • Flaws of characters a main focus? Yes

4.5