Take a photo of a barcode or cover
adventurous
funny
mysterious
slow-paced
Une très jolie surprise! (Écouté sur audible, c’était top!)
Ce qui m’a le plus plu dans cette lecture c’est la plume absolument extraordinaire de Pierre Bottero. Je comprend pourquoi il est considéré comme une des plus belles plume en fantasy jeunesse.
J’ai beaucoup aimé la justesse dans l’écriture des personnages, le dialogues sont passionnants et leurs personnalités très intéressantes. L’univers est riche est complètement unique! J’ai été très surprise par l’originalité de ce récit.
J’attends encore de voir la suite, ce n’est pas un coup de coeur mais j’ai vraiment beaucoup apprécié ce livre, je vais sauter sur le tome 2!
Ce qui m’a le plus plu dans cette lecture c’est la plume absolument extraordinaire de Pierre Bottero. Je comprend pourquoi il est considéré comme une des plus belles plume en fantasy jeunesse.
J’ai beaucoup aimé la justesse dans l’écriture des personnages, le dialogues sont passionnants et leurs personnalités très intéressantes. L’univers est riche est complètement unique! J’ai été très surprise par l’originalité de ce récit.
J’attends encore de voir la suite, ce n’est pas un coup de coeur mais j’ai vraiment beaucoup apprécié ce livre, je vais sauter sur le tome 2!
adventurous
emotional
funny
fast-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Complicated
Flaws of characters a main focus:
No
(English translation below the French)
À la recherche d’une série française qui pourrait approximer les profondeurs de la série [book: Animorphs #1-54] – comme divertissement, mais aussi pour mon mémoire ce semestre – j’ai écouté les conseils d’une amie et pris ce livre dans mes mains. Une semaine plus tard, je l’ai lu du début jusqu’à la fin. Pourquoi est-ce qu’il m’a pris une semaine ? N’était-ce pas assez intéressant ? Mais oui c’était forte intéressent, mais j’ai dû faire des devoirs et assister à mes cours !
Où commencer avec ce commentaire, c’est ça la vrai question… Ici on a l’histoire d’une jeune fille, Camille, qui un jour se trouve dans un monde parallèle au nôtre, le temps de ramasser une pierre magique, se faire réparer par un monstre, et par conséquence aider un chevalier échapper à la mort, avant de se retrouver de nouveau dans notre monde. Mais ce « grand pas sur le côté » qu’elle vient de faire va ouvrir une porte sur un monde de la magie, des chevaliers, des monstres, des Dessins et de l’Imaginaire. Avec son meilleur ami Salim, ils vont tous les deux se retrouver de nouveau dans ce monde magnifique et bizarre, où des amis et des ennemis leur attendent.
Camille est une fille surdouée en intelligence, et en puissance magique. Ses parents adoptifs sont riches, mais ils ne semblent pas vraiment aimer leur fille adoptif, donc elle se réfugié souvent dans la bibliothèque ou en passant du temps avec sa meilleur ami Salim. Salim est un homme d’une intelligence normale, mais de très bonne humeur et acrobatique. Quant à lui, autant que les parents de Camille demandent qu’elle revienne à la maison avant dix-huit heures chaque soir et même si elle n’a que 10 minutes de retard ils la réprimandent, les parents et les frères et sœurs de Salim ne lui prêtent presque jamais beaucoup d’attention sauf quand ses frères et sœurs essaient de l’embêter. Pour Salim, son refuge est sur le balcon de son bâtiment HLM, dans une espace qu’il a crée pour lui-même et que sa famille connait très bien d’être une zone interdite.
Comme je lis beaucoup de la fantaisie et science-fiction, je n’ai pas vraiment trouvé beaucoup les intrigues complètement originaux – Camille est essentiellement un « special snowflake » (ayant des avantages exceptionnels) surdouée en intelligence et en pouvoirs magique et en savoir-faire de ces dons (or, elle apprend très, très vite comment s’en servir), et Salim est son compagnon fidèle, qui la fait rire, qui la soutient, qui donnerait tout pour l’aider, et même. Camille n’a aucune souvenir avant ses sept ans ni de ses parents biologique, mais dès son deuxième arrivée en Gwendalavir, elle et Salim rencontrent bientôt une des plus grands héros de l’autre monde, puis pleins d’autres gens très importantes dans le royaume. Ils ont beaucoup de la chance avec ces rencontres, et mêmes quand ils rencontrent des Ts’liches ou autres ennemis.
Il y avait aussi quelques petits manques de cohérence, par exemple le chien qui était « manifestement blessé » (page 41) mais une semaine plus tard, est déjà au retour de son boulot comme chien de garde. Aussi, il y cet échange :
-- Les rêveurs ? interrogea Camille.
-- Oui. Dans ton monde, on les appellerait certainement moins ou prêtres. […]
-page 183
Celui qui répond à Camille n’est probablement jamais allé dans son monde, dont je ne comprends pas comment il pourrait faire cette référence pour lui expliquer qui sont les rêveurs… au moins qu’on n’apprend pas dans les tomes à venir qu’il est déjà voyager à notre monde.
Par contre, les autres habitants inhumain et humain de l’autre monde et Gwendalavir sont assez originaux, et chacun entre eux a sa propre motivation et culture. Les Sentinelles, les Ts’liches, les marcheurs, les raïs, les siffleurs, les coureurs…j’aimerais savoir plus sur les marchombres surtout, comme ils sont des voleurs d’une souplesse et rapidité exceptionnelle – et comme Salim s’intéressent par eux et leurs capacités, aussi !
Néanmoins, je me suis bien amusée avec ce livre : autant que Salim fait rire Camille, il m’a fait rire aussi – son sens d’humeur est superbe, et il comprend plutôt bien que mal comment diffuser une situation ou au moins insérer un peu d’humeur dans la situation. En plus, j’ai vu des petits indices qu’on peut comprendre beaucoup plus de ce livre que ce qui apparaisse à la surface : à la page 22, l’auteur P. Bottero nous introduire brièvement au racisme et sexisme, et comment Salim fait front à ces attitudes. M. Bottero adresse aussi des stéréotypes de la vie (par exemple, l’idée que « l’élève idéal n’était pas un élève intelligent, mais un élève travailleur, calme et obéissant » à la page 46), comment trouver plus ou moins toujours le bien dans une mauvaise situation, comment pouvoir se moquer de soi-même avec de la bonne humeur, l’importance des amis qu’on choisit (on pourrait dire aussi, comment pour certains, la famille qu’ils créent en choisissant des amis pourraient être plus important que la famille adoptif ou même biologique), comment briser le quatrième mur de l’ouvrage avec quelques phrases de Salim et de Camille, et même l’auteur insère des indices de ce qui va venir : les jeunes seront obligés de vieillir plus tôt que tard.
Un passage qui m’a touché au cœur était avec le clochard qui n’aimerait que de pouvoir lire encore une fois dans sa vie – pour moi, pouvoir lire est une des choses à laquelle je me tiens très fort, que j’espère ne jamais devoir renoncer.
En bref, même si j’ai trouvé pas mal des tropes classiques dans ce livre, quand même il m’a amusé beaucoup, et j’ai hâte de lire la suite. Il y a beaucoup plus à apprendre à Gwendalavir, et l’aventure, le danger, les amitiés, ne font que commencer.
English review
In my search for a French series which could approximate the depths of the [book: Animorphs #1-54] – for leisure, but as well for the thesis I have to write this semester – I heeded the advice of a friend and picked up this book. One week later, I had read it from cover to cover. Why did it take me a full week? Was it not interesting enough? On the contrary it was very interesting, but I had homework to do and classes to attend, too!
Where to start with this review, that is the real question… Here we have the story of a young girl, Camille, who one day finds herself in a world parallel to our own. She just has time to pick up a magic stone, get noticed by a monster, and as a result help a knight escape death before finding herself once again in our world. But this “big step to the side” which she has just achieved will open up a door to magic, to knights, to monsters, to Drawings and the Imagination. With her best friend Salim, they will together find themselves once again in this magnificent and strange world, where friends and enemies alike await them.
Camille is a young girl who is extremely gifted in intelligence, and in magical powers. Her adoptive parents are rich, but they do not seem to really love their adoptive daughter, so she often seeks refuge in the library or in spending time with her best friend Salim. Salim is a boy of normal intelligence, but a great sense of humor and he is also very acrobatic. As much as Camille’s parents require that she be home before 6pm each night and lecture her if she is even 10 minutes late, Salim’s parents and siblings hardly ever pay him much mind except for when his siblings try to bother him. For Salim, his refuge is on the balcony of his low-income apartment building, in an area he created for himself and that his family knows is off-limits.
As I read a lot of fantasy and science fiction, I didn’t really find the plot completely original – Camille is essentially a Special Snowflake, with her great intelligence and her strong magical powers and how to use them (admittedly, she learned very, very quickly how to make use of them), and Salim is her loyal traveling companion who makes her laugh, who supports her, who would give everything to help her, and is even. Camille doesn’t have any memories before she was seven years old nor of her biological parents, but soon after her second trip to Gwendalavir, her and Salim soon meet one of the greatest heroes of this other world, and other very important people in the kingdom. They have a lot of good luck in these meetings, and even when they encounter Ts’liches or other enemies.
There were also a few inconsitencies, for example the dog who was “clearly hurt” (page 41) but one week later he was already back to his job as a guard dog. Also, there was this exchange:
-- The Dreamers ? questioned Camille.
-- Yes. In your world, they would certainly be called monks or priests. […]
-page 183
The character who answers Camille has probably never been to our world, so I don’t get how he could make this reference to explain who the Dreamers are to Camille… unless it’s only in one of the later books that we will learn that he has already traveled to our world.
On the other hand, the other human and inhuman inhabitants of the other world and Gwendalavir are quite original, and each of them has his or her own motivation and culture. The Sentinels, the Ts’liches, the walkers (marcheurs), the raïs, the whistlers (siffleurs), the runners (coureurs)… I would like to know more about the marchombres (walking men) most of all, as they are thieves of exceptional flexibility and speed – and seeing as Salim is interested by them and their abilities, too!
Nevertheless, I thoroughly enjoyed myself with this book: as much as Salim makes Camille laugh, he made me laugh too – his sense of humor is great, and he understands better than most how to diffuse a tense situation or at least inject a situation with a bit of humor. What’s more, I found several little indications that we can delve deeper into this book than is apparent on the surface: on page 22, the author P. Bottero briefly introduces us to the themes of racism and sexism, and how Salim faces up to these attitudes. Bottero also addresses life stereotypes (such as the idea that “the ideal student is not an intelligent one, but a hard-working one who is calm and obeys” on page 46), how to find more or less always the good in a bad situation, how to laugh at yourself in good humor, the importance of the friends we choose (we could also say, how for some people, the family that they create by their choice of friends can be more important than an adoptive family or even biological family), how to break the fourth wall of a book through several utterances by Salim and Camille, and the author even adds in some little clues about what is to come: the youths will be forced to grow up sooner rather than later.
One section which really got to me was with the homeless man who wanted nothing more in his life than to be able to read once again – for me, being able to read a physical book is one of the things which I hold most dear, and I hope I never have to give it up.
In brief, even if I noticed quite a few classic tropes in this book, it still amused me greatly, and I can’t wait to read the next one. There is so much more to learn in Gwendalavir, and the adventure, danger, friendships are only just beginning.
Citations préférées/Favorite quotes :
La bibliothèque est l’âme d’une maison, tous les gens de bonne naissance le savent. – page 37
(The library is the soul of a home, anyone well-born knows it.)
-- Je commence à en avoir assez de raconter tout ce que je fais. [dit Camille]
Edwin garda son regard gris fixé sur elle.
Et Camille raconta. – page 134
(I’m starting to get fed up with explaining everything I do [said Camille]. / Edwin kept his grey gaze fixed on her. / And Camille explained.)
-- Et là, qui lui arrive-t-il ? [demanda Bjorn]
Le vieil analyste tourna son regard vers les jeunes gens, toujours assis au bord de l’eau.
-- Elle apprend à vieillir, expliqua-t-il d’un ton triste, ça lui fait mal. – page 164
(And there, what will happen to them ? [asked Bjorn] / The old analyst turned his gaze to the youths, still sitting beside the water. / She will learn to grow up, he said sadly, it’s going to hurt her.)
Camille décida de calquer son attitude sur celle de son ami. Inutile de se ronger les sangs ou de se lamenter, mieux valait en rire. – page 202
(Camille decided to match her attitude to that of her friend’s. It was inutile to worry oneself sick or feel sorry for oneself, it was better to laugh.)
-- […] Admets que, si je suis un mollusque et non plus un crustacé, ton rat, lui, est aussi impuissant que moi à nous aider. – page 234
(Let’s just say that, if I’m a mollusk and not a crab anymore, your rat, well, he is just as powerless as me to help us out.)
À la recherche d’une série française qui pourrait approximer les profondeurs de la série [book: Animorphs #1-54] – comme divertissement, mais aussi pour mon mémoire ce semestre – j’ai écouté les conseils d’une amie et pris ce livre dans mes mains. Une semaine plus tard, je l’ai lu du début jusqu’à la fin. Pourquoi est-ce qu’il m’a pris une semaine ? N’était-ce pas assez intéressant ? Mais oui c’était forte intéressent, mais j’ai dû faire des devoirs et assister à mes cours !
Où commencer avec ce commentaire, c’est ça la vrai question… Ici on a l’histoire d’une jeune fille, Camille, qui un jour se trouve dans un monde parallèle au nôtre, le temps de ramasser une pierre magique, se faire réparer par un monstre, et par conséquence aider un chevalier échapper à la mort, avant de se retrouver de nouveau dans notre monde. Mais ce « grand pas sur le côté » qu’elle vient de faire va ouvrir une porte sur un monde de la magie, des chevaliers, des monstres, des Dessins et de l’Imaginaire. Avec son meilleur ami Salim, ils vont tous les deux se retrouver de nouveau dans ce monde magnifique et bizarre, où des amis et des ennemis leur attendent.
Camille est une fille surdouée en intelligence, et en puissance magique. Ses parents adoptifs sont riches, mais ils ne semblent pas vraiment aimer leur fille adoptif, donc elle se réfugié souvent dans la bibliothèque ou en passant du temps avec sa meilleur ami Salim. Salim est un homme d’une intelligence normale, mais de très bonne humeur et acrobatique. Quant à lui, autant que les parents de Camille demandent qu’elle revienne à la maison avant dix-huit heures chaque soir et même si elle n’a que 10 minutes de retard ils la réprimandent, les parents et les frères et sœurs de Salim ne lui prêtent presque jamais beaucoup d’attention sauf quand ses frères et sœurs essaient de l’embêter. Pour Salim, son refuge est sur le balcon de son bâtiment HLM, dans une espace qu’il a crée pour lui-même et que sa famille connait très bien d’être une zone interdite.
Comme je lis beaucoup de la fantaisie et science-fiction, je n’ai pas vraiment trouvé beaucoup les intrigues complètement originaux – Camille est essentiellement un « special snowflake » (ayant des avantages exceptionnels) surdouée en intelligence et en pouvoirs magique et en savoir-faire de ces dons (or, elle apprend très, très vite comment s’en servir), et Salim est son compagnon fidèle, qui la fait rire, qui la soutient, qui donnerait tout pour l’aider, et même
Spoiler
est visiblement amoureux d’elleIl y avait aussi quelques petits manques de cohérence, par exemple le chien qui était « manifestement blessé » (page 41) mais une semaine plus tard, est déjà au retour de son boulot comme chien de garde. Aussi, il y cet échange :
-- Les rêveurs ? interrogea Camille.
-- Oui. Dans ton monde, on les appellerait certainement moins ou prêtres. […]
-page 183
Celui qui répond à Camille n’est probablement jamais allé dans son monde, dont je ne comprends pas comment il pourrait faire cette référence pour lui expliquer qui sont les rêveurs… au moins qu’on n’apprend pas dans les tomes à venir qu’il est déjà voyager à notre monde.
Par contre, les autres habitants inhumain et humain de l’autre monde et Gwendalavir sont assez originaux, et chacun entre eux a sa propre motivation et culture. Les Sentinelles, les Ts’liches, les marcheurs, les raïs, les siffleurs, les coureurs…j’aimerais savoir plus sur les marchombres surtout, comme ils sont des voleurs d’une souplesse et rapidité exceptionnelle – et comme Salim s’intéressent par eux et leurs capacités, aussi !
Néanmoins, je me suis bien amusée avec ce livre : autant que Salim fait rire Camille, il m’a fait rire aussi – son sens d’humeur est superbe, et il comprend plutôt bien que mal comment diffuser une situation ou au moins insérer un peu d’humeur dans la situation. En plus, j’ai vu des petits indices qu’on peut comprendre beaucoup plus de ce livre que ce qui apparaisse à la surface : à la page 22, l’auteur P. Bottero nous introduire brièvement au racisme et sexisme, et comment Salim fait front à ces attitudes. M. Bottero adresse aussi des stéréotypes de la vie (par exemple, l’idée que « l’élève idéal n’était pas un élève intelligent, mais un élève travailleur, calme et obéissant » à la page 46), comment trouver plus ou moins toujours le bien dans une mauvaise situation, comment pouvoir se moquer de soi-même avec de la bonne humeur, l’importance des amis qu’on choisit (on pourrait dire aussi, comment pour certains, la famille qu’ils créent en choisissant des amis pourraient être plus important que la famille adoptif ou même biologique), comment briser le quatrième mur de l’ouvrage avec quelques phrases de Salim et de Camille, et même l’auteur insère des indices de ce qui va venir : les jeunes seront obligés de vieillir plus tôt que tard.
Un passage qui m’a touché au cœur était avec le clochard qui n’aimerait que de pouvoir lire encore une fois dans sa vie – pour moi, pouvoir lire est une des choses à laquelle je me tiens très fort, que j’espère ne jamais devoir renoncer.
En bref, même si j’ai trouvé pas mal des tropes classiques dans ce livre, quand même il m’a amusé beaucoup, et j’ai hâte de lire la suite. Il y a beaucoup plus à apprendre à Gwendalavir, et l’aventure, le danger, les amitiés, ne font que commencer.
English review
In my search for a French series which could approximate the depths of the [book: Animorphs #1-54] – for leisure, but as well for the thesis I have to write this semester – I heeded the advice of a friend and picked up this book. One week later, I had read it from cover to cover. Why did it take me a full week? Was it not interesting enough? On the contrary it was very interesting, but I had homework to do and classes to attend, too!
Where to start with this review, that is the real question… Here we have the story of a young girl, Camille, who one day finds herself in a world parallel to our own. She just has time to pick up a magic stone, get noticed by a monster, and as a result help a knight escape death before finding herself once again in our world. But this “big step to the side” which she has just achieved will open up a door to magic, to knights, to monsters, to Drawings and the Imagination. With her best friend Salim, they will together find themselves once again in this magnificent and strange world, where friends and enemies alike await them.
Camille is a young girl who is extremely gifted in intelligence, and in magical powers. Her adoptive parents are rich, but they do not seem to really love their adoptive daughter, so she often seeks refuge in the library or in spending time with her best friend Salim. Salim is a boy of normal intelligence, but a great sense of humor and he is also very acrobatic. As much as Camille’s parents require that she be home before 6pm each night and lecture her if she is even 10 minutes late, Salim’s parents and siblings hardly ever pay him much mind except for when his siblings try to bother him. For Salim, his refuge is on the balcony of his low-income apartment building, in an area he created for himself and that his family knows is off-limits.
As I read a lot of fantasy and science fiction, I didn’t really find the plot completely original – Camille is essentially a Special Snowflake, with her great intelligence and her strong magical powers and how to use them (admittedly, she learned very, very quickly how to make use of them), and Salim is her loyal traveling companion who makes her laugh, who supports her, who would give everything to help her, and is even
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obviously in love with her,There were also a few inconsitencies, for example the dog who was “clearly hurt” (page 41) but one week later he was already back to his job as a guard dog. Also, there was this exchange:
-- The Dreamers ? questioned Camille.
-- Yes. In your world, they would certainly be called monks or priests. […]
-page 183
The character who answers Camille has probably never been to our world, so I don’t get how he could make this reference to explain who the Dreamers are to Camille… unless it’s only in one of the later books that we will learn that he has already traveled to our world.
On the other hand, the other human and inhuman inhabitants of the other world and Gwendalavir are quite original, and each of them has his or her own motivation and culture. The Sentinels, the Ts’liches, the walkers (marcheurs), the raïs, the whistlers (siffleurs), the runners (coureurs)… I would like to know more about the marchombres (walking men) most of all, as they are thieves of exceptional flexibility and speed – and seeing as Salim is interested by them and their abilities, too!
Nevertheless, I thoroughly enjoyed myself with this book: as much as Salim makes Camille laugh, he made me laugh too – his sense of humor is great, and he understands better than most how to diffuse a tense situation or at least inject a situation with a bit of humor. What’s more, I found several little indications that we can delve deeper into this book than is apparent on the surface: on page 22, the author P. Bottero briefly introduces us to the themes of racism and sexism, and how Salim faces up to these attitudes. Bottero also addresses life stereotypes (such as the idea that “the ideal student is not an intelligent one, but a hard-working one who is calm and obeys” on page 46), how to find more or less always the good in a bad situation, how to laugh at yourself in good humor, the importance of the friends we choose (we could also say, how for some people, the family that they create by their choice of friends can be more important than an adoptive family or even biological family), how to break the fourth wall of a book through several utterances by Salim and Camille, and the author even adds in some little clues about what is to come: the youths will be forced to grow up sooner rather than later.
One section which really got to me was with the homeless man who wanted nothing more in his life than to be able to read once again – for me, being able to read a physical book is one of the things which I hold most dear, and I hope I never have to give it up.
In brief, even if I noticed quite a few classic tropes in this book, it still amused me greatly, and I can’t wait to read the next one. There is so much more to learn in Gwendalavir, and the adventure, danger, friendships are only just beginning.
Citations préférées/Favorite quotes :
La bibliothèque est l’âme d’une maison, tous les gens de bonne naissance le savent. – page 37
(The library is the soul of a home, anyone well-born knows it.)
-- Je commence à en avoir assez de raconter tout ce que je fais. [dit Camille]
Edwin garda son regard gris fixé sur elle.
Et Camille raconta. – page 134
(I’m starting to get fed up with explaining everything I do [said Camille]. / Edwin kept his grey gaze fixed on her. / And Camille explained.)
-- Et là, qui lui arrive-t-il ? [demanda Bjorn]
Le vieil analyste tourna son regard vers les jeunes gens, toujours assis au bord de l’eau.
-- Elle apprend à vieillir, expliqua-t-il d’un ton triste, ça lui fait mal. – page 164
(And there, what will happen to them ? [asked Bjorn] / The old analyst turned his gaze to the youths, still sitting beside the water. / She will learn to grow up, he said sadly, it’s going to hurt her.)
Camille décida de calquer son attitude sur celle de son ami. Inutile de se ronger les sangs ou de se lamenter, mieux valait en rire. – page 202
(Camille decided to match her attitude to that of her friend’s. It was inutile to worry oneself sick or feel sorry for oneself, it was better to laugh.)
-- […] Admets que, si je suis un mollusque et non plus un crustacé, ton rat, lui, est aussi impuissant que moi à nous aider. – page 234
(Let’s just say that, if I’m a mollusk and not a crab anymore, your rat, well, he is just as powerless as me to help us out.)
adventurous
emotional
hopeful
fast-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
N/A
Pierre Bottero vieillit toujours aussi bien ❤️
adventurous
fast-paced
Plot or Character Driven:
Plot
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
No
Et l'enchanteur, maître des mots et des fleurs, naquit, enfant sage au milieu des tumultes.
2.5 Considero que es un libro que debí leer cuando era más niña, seguramente me hubiera gustado más, en estos momentos que la protagonista sea una niña perfecta en prácticamente todo no me agradó y esa personalidad no me gustó mucho, era bastante irritante, sin mencionar el como trataba a su mejor amigo. Supongo que la historia mejora debido a que es un primer libro y te introduce muchísimo en la trama.
Rapide, aiguisé, clair et quelque part, haut en couleurs, ce roman plein de magie met en scène des personnages attachants et bien sentis. Bottero réussit à rendre le monde fantastique de Gwendalavir présent et crédible. Camille et Salim forment un duo de choc. Chaque personnage, d'un monde.ou d'un autre, a une vraie présence et ce premier tome donne envie d'en savoir plus. Et l'idée du "dessin" est tout simplement géniale et magnifique.
Je n'ai pas beaucoup à dire sur ce livre. Était-il incroyable? Non, pas du tout, pourtant ce n'était non plus une mauvaise lecture.
On suit l'histoire de Camille, une fille surdouée de treize ans qui découvre qu'elle vient d'un autre monde, Gwendalavir. Je ne vais pas en dire plus car je pense que c'est toujours plus chouette de se lancer dans un livre sans trop en savoir.
Mes problèmes se trouvent au niveau de notre personnage principal, Camille. Je l'ai trouvée trop parfaite à mon goût. Elle ne faisait jamais de gaffe, elle était plus puissante que les adultes qui l'entourent à l'âge de 13 ans, et tout ça sans devoir travailler pour ses pouvoirs augmentés. Tout lui vient facilement. Elle est belle et, de plus, douée d'une intelligence incroyable, bien sûr. Grosso modo, elle n'avait pas de faute, ce qui m'a beaucoup dérangée. C'est ce qu'on appelle un "special snowflake" en anglais, et si vous êtes pas familiers avec ce mot, je peux vous dire que ça n'a pas de connotation positive.
De plus, je trouvais son meilleur ami, Salim, peu développé. Il me semblait qu'il était trop réduit au rôle du "sidekick" et rien d'autre. J'éspère que ce sera amélioré dans la suite. Il avait du potentiel.
Je n'ai rien à dire sur les autres personnages, il n'y avait rien de remarquable chez eux et le monde n'était pas aussi approfondi que je le voulais mais, de nouveau, je pense que ce sera abordé dans la suite.
Bref, c'était une jolie histoire qui pourrait plaire à beaucoup de gens qui aiment la fantasy classique, malgré sa simplicité, et je ne regrette pas de l'avoir lu.
On suit l'histoire de Camille, une fille surdouée de treize ans qui découvre qu'elle vient d'un autre monde, Gwendalavir. Je ne vais pas en dire plus car je pense que c'est toujours plus chouette de se lancer dans un livre sans trop en savoir.
Mes problèmes se trouvent au niveau de notre personnage principal, Camille. Je l'ai trouvée trop parfaite à mon goût. Elle ne faisait jamais de gaffe, elle était plus puissante que les adultes qui l'entourent à l'âge de 13 ans, et tout ça sans devoir travailler pour ses pouvoirs augmentés. Tout lui vient facilement. Elle est belle et, de plus, douée d'une intelligence incroyable, bien sûr. Grosso modo, elle n'avait pas de faute, ce qui m'a beaucoup dérangée. C'est ce qu'on appelle un "special snowflake" en anglais, et si vous êtes pas familiers avec ce mot, je peux vous dire que ça n'a pas de connotation positive.
De plus, je trouvais son meilleur ami, Salim, peu développé. Il me semblait qu'il était trop réduit au rôle du "sidekick" et rien d'autre. J'éspère que ce sera amélioré dans la suite. Il avait du potentiel.
Je n'ai rien à dire sur les autres personnages, il n'y avait rien de remarquable chez eux et le monde n'était pas aussi approfondi que je le voulais mais, de nouveau, je pense que ce sera abordé dans la suite.
Bref, c'était une jolie histoire qui pourrait plaire à beaucoup de gens qui aiment la fantasy classique, malgré sa simplicité, et je ne regrette pas de l'avoir lu.