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This book took me more than a year to wade through. It's incredibly dense but worth the read. My wife asked me what it was about and I couldn't even answer the question- it's that complex. Still, one of my all-time favorites.
i needed something to occupy my time on the plane to texas for xmas. i've only heard wonderful things about this book...
Actually, i didn't read it. i got about 1/2 way and decided my life meant more to me than trying to plug through this abomination. It would probably be good if i (1) knew anything about baseball (2) cared about baseball or (3) was a baby-boomer. Not interesting to me in the least.
Actually, i didn't read it. i got about 1/2 way and decided my life meant more to me than trying to plug through this abomination. It would probably be good if i (1) knew anything about baseball (2) cared about baseball or (3) was a baby-boomer. Not interesting to me in the least.
Ran through the back half of Underworld relatively quickly. Glad I read it, especially that magnificent opening, but I also sort of feel like I don't get it?
adventurous
challenging
emotional
mysterious
reflective
slow-paced
Plot or Character Driven:
N/A
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
This is a really big book. I thought it was okay.
J'ai passé tellement de temps avec ce livre (huit cent vingt-sept paaaaages) que ce serait un peu plate de pas essayer de m'expliquer ce que j'en ai pensé.
Je lui donne trois étoiles, parce que dans ma tête trois étoiles c'est un peu la notation de base du livre pas parfait mais qui se lit. Il y a des bouts que j'ai vraiment beaucoup aimés. Il y a des bouts que j'ai trouvés d'une platitude incommensurable.
Underworld, c'est le type de roman où l'auteur essaie désespérément de nous faire comprendre les choses de la vie, à grand renfort de métaphores, d'images éloquentes & de dialogues significatifs. Dans ce cas-ci, pêle-mêle : les débris de la guerre froide, le poids du nucléaire, la gestion des matières résiduelles comme symbole de toutes nos déchéances, les bonnes sœurs & leurs bonnes œuvres, l'art & la vie de banlieue & le baseball. J'aurais tendance à dire que j'ai zéro intérêt pour le baseball, mais à part ça, c'est correct, j'aime bien les livres qui s'attachent solidement aux choses qu'ils ont à dire & qui ne lâchent pas le morceau.
DeLillo emberlificote quelques personnages (quelques comme dans à peu près soixante-dix-huit) dans ses théories & nous entraîne, après un long prologue (mais tout est long dans ce roman, alors vaut mieux s'habituer dès le début), dans un récit raconté à rebours. En gros, on commence par la fin & on remonte dans le temps, éclaircissant progressivement les zones d'ombre qui sont tracées en début de roman. On se promène du début des années 1990 jusqu'à 1951, année où les Dodgers ont perdu contre les Giants après un coup de circuit historique. (On pourrait presque croire que ça m'intéresse. Non, c'est juste que DeLillo y revient tout le temps.) À la fin du livre, une seule question demeure : pourquoi avoir choisi Nick Shay, un des narrateurs les plus plates qu'il m'ait jamais été donné de lire, comme personnage semi-principal? On a quelques moments de répit, au fil du roman ; on n'est pas toujours pogné avec M. Shay. Mais on revient toujours vers lui, inéluctablement, & vers sa vie ennuyante à mourir, & vers ses erreurs de jeunesse que DeLillo essaie d'enrober de gravité mais qui finissent simplement par être banales & risibles.
Ce ne sont pas les personnages intéressants qui manquent, pourtant. Il y a Klara Sax, une artiste conceptuelle qu'on rencontre alors qu'elle peint toute une flotte d'avions de guerre dans le désert (j'aurais pris tout un livre sur Klara) ; il y a Sœur Edgar, religieuse à capine dans le Bronx ; il y a Matt, le frère de Nick, ancien champion d'échecs ; il y a Bronzini, ancien entraîneur de Matt & ancien mari de Klara ; BREF, il y a du monde en masse pour qu'on soit pas toujours pris avec les longues réflexions circulaires de Nick Shay. Mais bon.
Ce qui m'amène à dire que : Underworld, c'est ce que j'appellerais un roman de monsieur. Dans le sens où c'est un livre qui donne surtout l'impression de vouloir explorer la condition de l'homme américain moyen (ou moyen pour une certaine frange upper-middle-class, mettons) entre 1945 et 1995. Les autres personnages du livre? Du crémage. De la confiture pour faire passer la pilule. Ce qui n'est peut-être pas décevant pour tout le monde, mais qui l'a été pour moi.
Sinon, la prose de DeLillo est un peu hermétique, très intelligente, passe parfois de lyrique à fleurie, & est, en gros, un personnage en soi. J'aimerais bien relire quelque chose de lui. Mais pas tout de suite.
Je lui donne trois étoiles, parce que dans ma tête trois étoiles c'est un peu la notation de base du livre pas parfait mais qui se lit. Il y a des bouts que j'ai vraiment beaucoup aimés. Il y a des bouts que j'ai trouvés d'une platitude incommensurable.
Underworld, c'est le type de roman où l'auteur essaie désespérément de nous faire comprendre les choses de la vie, à grand renfort de métaphores, d'images éloquentes & de dialogues significatifs. Dans ce cas-ci, pêle-mêle : les débris de la guerre froide, le poids du nucléaire, la gestion des matières résiduelles comme symbole de toutes nos déchéances, les bonnes sœurs & leurs bonnes œuvres, l'art & la vie de banlieue & le baseball. J'aurais tendance à dire que j'ai zéro intérêt pour le baseball, mais à part ça, c'est correct, j'aime bien les livres qui s'attachent solidement aux choses qu'ils ont à dire & qui ne lâchent pas le morceau.
DeLillo emberlificote quelques personnages (quelques comme dans à peu près soixante-dix-huit) dans ses théories & nous entraîne, après un long prologue (mais tout est long dans ce roman, alors vaut mieux s'habituer dès le début), dans un récit raconté à rebours. En gros, on commence par la fin & on remonte dans le temps, éclaircissant progressivement les zones d'ombre qui sont tracées en début de roman. On se promène du début des années 1990 jusqu'à 1951, année où les Dodgers ont perdu contre les Giants après un coup de circuit historique. (On pourrait presque croire que ça m'intéresse. Non, c'est juste que DeLillo y revient tout le temps.) À la fin du livre, une seule question demeure : pourquoi avoir choisi Nick Shay, un des narrateurs les plus plates qu'il m'ait jamais été donné de lire, comme personnage semi-principal? On a quelques moments de répit, au fil du roman ; on n'est pas toujours pogné avec M. Shay. Mais on revient toujours vers lui, inéluctablement, & vers sa vie ennuyante à mourir, & vers ses erreurs de jeunesse que DeLillo essaie d'enrober de gravité mais qui finissent simplement par être banales & risibles.
Ce ne sont pas les personnages intéressants qui manquent, pourtant. Il y a Klara Sax, une artiste conceptuelle qu'on rencontre alors qu'elle peint toute une flotte d'avions de guerre dans le désert (j'aurais pris tout un livre sur Klara) ; il y a Sœur Edgar, religieuse à capine dans le Bronx ; il y a Matt, le frère de Nick, ancien champion d'échecs ; il y a Bronzini, ancien entraîneur de Matt & ancien mari de Klara ; BREF, il y a du monde en masse pour qu'on soit pas toujours pris avec les longues réflexions circulaires de Nick Shay. Mais bon.
Ce qui m'amène à dire que : Underworld, c'est ce que j'appellerais un roman de monsieur. Dans le sens où c'est un livre qui donne surtout l'impression de vouloir explorer la condition de l'homme américain moyen (ou moyen pour une certaine frange upper-middle-class, mettons) entre 1945 et 1995. Les autres personnages du livre? Du crémage. De la confiture pour faire passer la pilule. Ce qui n'est peut-être pas décevant pour tout le monde, mais qui l'a été pour moi.
Sinon, la prose de DeLillo est un peu hermétique, très intelligente, passe parfois de lyrique à fleurie, & est, en gros, un personnage en soi. J'aimerais bien relire quelque chose de lui. Mais pas tout de suite.
adventurous
challenging
dark
mysterious
reflective
sad
tense
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
I read this book for the first time about ten years ago, and started (then abandoned) a reread more recently. Here's a short review & summary:
The plot centers around the events of the "shot heard 'round the world," Bobby Thomson's late-game home run that won the 1951 National League Pennant for the Giants, and the fate of the baseball Thomson hit, which has never been found. In UNDERWORLD, DeLillo speculates on the history of the baseball following the game in characteristically surreal fashion. The first chapter, which details the events of the game, is one of my favorite pieces of writing of all time. It was originally published as a short story, and every word, every sentence is just perfect. If you see how long the book is and you're like "no," fair enough, but consider reading the first chapter anyway, as a standalone story. It is 100% worth it.
The plot centers around the events of the "shot heard 'round the world," Bobby Thomson's late-game home run that won the 1951 National League Pennant for the Giants, and the fate of the baseball Thomson hit, which has never been found. In UNDERWORLD, DeLillo speculates on the history of the baseball following the game in characteristically surreal fashion. The first chapter, which details the events of the game, is one of my favorite pieces of writing of all time. It was originally published as a short story, and every word, every sentence is just perfect. If you see how long the book is and you're like "no," fair enough, but consider reading the first chapter anyway, as a standalone story. It is 100% worth it.