Take a photo of a barcode or cover
4.1 AVERAGE
4.1 AVERAGE
I loved the journeys that Tanner, Sebastian and Autumn went through in this book. I felt like a lot of the elements discussed where really important and the relationships were dealt with in a realistic, if not more positive, way that really melted my heart and left me with a bitter-sweet ache.
This is the kind of wholesome queer representation the world needs more of!
4,5 ⭐
Autoboyographie, c'est un peu une anomalie parmi toutes les œuvres de Christina Lauren, mais c'est le livre le plus impactant qu'elles aient écrit.
Franchement, qui aurait cru que cette petite romance YA prendrait des tournants aussi complexes, aussi douloureux, et aussi justes ? Pas moi.
Ce livre aborde avec bienveillance et justesse la dure conciliation entre homosexualité et religion. (Honnêtement, j'avais déjà eu l'idée d'écrire sur un plot semblable, mais je me suis dit que ce serait laborieux et maladroit. Mais Christina Lauren l'ont fait. Et elles l'ont fait à merveille.)
C'est doux, c'est tendre, c'est l'adolescence et la fulgurance du premier amour. C'est la manière dont l'écriture peut s'avérer salvatrice parfois. C'est vouloir trouver les mots justes pour rendre justice à nos sentiments.
C'est des flirts maladroits, des amitiés ambigües tout en réalisme mais pour lesquelles on mourrait.
C'est un roman qui parlera à un grand nombre de gens, parce qu'il est juste et important. Parce qu'il déculpabilise de beaucoup de choses.
Et même en étant hétéro, vous vous y retrouverez, je peux vous le garantir, parce que ce portrait de l'adolescence vous renvoie comme un miroir à vos années lycéennes. Ces années où rien n'est grave, où tout fait mal parce que l'on expérimente nos premières relations. Ces années où l'on craint le regard des autres et où tout ce qui nous importe est d'être la fierté de nos parents.
Je découvre la véritable impossibilité de l’écriture quand je repense à ce moment, maintenant, où il me touche, où ses paumes me marquent au fer rouge, le bout de ses doigts comme de minuscules points de chaleur sur ma peau. Je veux le capturer d’une façon ou d’une autre, pas seulement pour m’en souvenir mais pour pouvoir l’expliquer. Il n’y a quasiment pas de moyen de transcrire cette transition frénétique, cet emmêlement fou qu’on devient, à part si on y pense comme à une vague sur la plage, à la force physique de l’eau impossible à arrêter.
Autoboyographie, c'est un peu une anomalie parmi toutes les œuvres de Christina Lauren, mais c'est le livre le plus impactant qu'elles aient écrit.
Franchement, qui aurait cru que cette petite romance YA prendrait des tournants aussi complexes, aussi douloureux, et aussi justes ? Pas moi.
Ce livre aborde avec bienveillance et justesse la dure conciliation entre homosexualité et religion. (Honnêtement, j'avais déjà eu l'idée d'écrire sur un plot semblable, mais je me suis dit que ce serait laborieux et maladroit. Mais Christina Lauren l'ont fait. Et elles l'ont fait à merveille.)
C'est doux, c'est tendre, c'est l'adolescence et la fulgurance du premier amour. C'est la manière dont l'écriture peut s'avérer salvatrice parfois. C'est vouloir trouver les mots justes pour rendre justice à nos sentiments.
C'est des flirts maladroits, des amitiés ambigües tout en réalisme mais pour lesquelles on mourrait.
C'est un roman qui parlera à un grand nombre de gens, parce qu'il est juste et important. Parce qu'il déculpabilise de beaucoup de choses.
Et même en étant hétéro, vous vous y retrouverez, je peux vous le garantir, parce que ce portrait de l'adolescence vous renvoie comme un miroir à vos années lycéennes. Ces années où rien n'est grave, où tout fait mal parce que l'on expérimente nos premières relations. Ces années où l'on craint le regard des autres et où tout ce qui nous importe est d'être la fierté de nos parents.
Je découvre la véritable impossibilité de l’écriture quand je repense à ce moment, maintenant, où il me touche, où ses paumes me marquent au fer rouge, le bout de ses doigts comme de minuscules points de chaleur sur ma peau. Je veux le capturer d’une façon ou d’une autre, pas seulement pour m’en souvenir mais pour pouvoir l’expliquer. Il n’y a quasiment pas de moyen de transcrire cette transition frénétique, cet emmêlement fou qu’on devient, à part si on y pense comme à une vague sur la plage, à la force physique de l’eau impossible à arrêter.
hopeful
lighthearted
relaxing
fast-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Complicated
This is my comfort read.
I loved this novel.
Christina Lauren really can do it all.
Christina Lauren really can do it all.
It definitely wasn't the Gentleman's Guide for me...but then, what is?
This author also had too many people "growling" too often. Really took me out of the story.
This author also had too many people "growling" too often. Really took me out of the story.
emotional
funny
hopeful
informative
inspiring
lighthearted
reflective
fast-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Complicated
As a queer person who is a member of the church of Jesus Christ of Latter Day Saints, I really loved this book. I love that they really fleshed out the characters and explored the ideas of being religious and loving God but also feeling like your church won’t accept you. I don’t know if this is necessarily a spoiler but I’m going to mark it as one anyways. I love that they didn’t make Sebastian deny/get rid of his faith. He still loves God. He still loves the teachings and the scriptures. He disagrees with how they treat queer people, but his faith remains strong
Content Warnings
Moderate: Religious bigotry
challenging
emotional
hopeful
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Yes
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Complicated
I’m gonna be honest, I’ve read a TON of Christina Lauren this month, and there have been some good ones, and there have been some really, really bad ones. I checked them all out at once after I’d hit a good one, and this was the last in my queue. I’d nearly returned it without even cracking it open, but I’m glad I didn’t.
This was a wonderful coming of age story that is geared towards a much younger crowd than myself (I’d say middle school to early high school if the kids are mature and the parents are open and honest). That said, it handles a lot of really difficult things beautifully.
There were points that were ultra cheesy, and points I don’t think worked for me, but it was effectively a romance novel for children, so it’s getting a passing grade.
This was a wonderful coming of age story that is geared towards a much younger crowd than myself (I’d say middle school to early high school if the kids are mature and the parents are open and honest). That said, it handles a lot of really difficult things beautifully.
There were points that were ultra cheesy, and points I don’t think worked for me, but it was effectively a romance novel for children, so it’s getting a passing grade.