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emotional
reflective
tense
fast-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
Oh no I think I actually hate all of the characters in almost all of 19th century literature. It seems to have been quite an insufferable century
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Complicated
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
emotional
inspiring
reflective
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
J'avais bien aimé Madame Bovary, alors je me suis dit "Pourquoi pas"... Mais ce livre m'a déçue. Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire ni à m'attacher aux personnages. De plus, le livre est un peu compliqué à lire quand on ne connaît pas ou peu le contexte politique de l'époque. Par contre, le style d'écriture est bien sûr magnifique et les descriptions très parlantes.
A lovely tale of the frivolousness and indecision of youth. It had quite a few boring stretches though.
informative
inspiring
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
One of the best and truest books I’ve read. I can see why Flaubert was so influential on other writers. There is a precise and unflinching honesty and depth of insight that shines a light on all aspects of Frederic’s inner and outer life, the nature of desire, love, relationships, friendships, and ambition. One of most powerful endings I’ve encountered.
Pretty good, except I kept getting Les Mis songs stuck in my head. I did prefer Madame Bovary though.
slow-paced
reflective
slow-paced
L’Éducation sentimentale : un naturalisme encore voilé de romantisme. Flaubert y déroule, sans illusion, la trajectoire de Frédéric Moreau — jeune homme trop plein d’ambitions, trop pauvre en talent, exemplaire d’une époque plus portée à rêver qu’à agir. Tout le roman repose sur une obsession : l’amour impossible, fixé une fois pour toutes sur la figure de Madame Arnoux. Mais derrière cette quête amoureuse, Flaubert démonte le concept de l’apprentissage affectif, qui, à ses yeux, n’a pas lieu. Pas plus qu’il n’existe de réussite pour ces vies tenues en laisse par leurs idées fixes. Le vrai sujet, c’est l’échec : celui d’une jeunesse aisée, cultivée, mais impuissante, qui vieillit sans jamais s’être démentie.
Et tout cela converge vers l’ultime scène. Une conversation calme et résignée où tout se dit :
« Ils résumèrent leur vie, ils l’avaient manquée tous les deux (…) ils accusèrent le hasard, les circonstances, l’époque où ils étaient nés. »
Le naufrage sans drame, le regret sans pathos.
Sur une note plus légère : Flaubert walked so Zola could fly.
Et tout cela converge vers l’ultime scène. Une conversation calme et résignée où tout se dit :
« Ils résumèrent leur vie, ils l’avaient manquée tous les deux (…) ils accusèrent le hasard, les circonstances, l’époque où ils étaient nés. »
Le naufrage sans drame, le regret sans pathos.
Sur une note plus légère : Flaubert walked so Zola could fly.