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Deux soeurs pour un roi
by Philippa Gregory
What a ride!
L’écriture mise sur l’action. Le volet politique est assez simplifié, en plus que l’on suit Marie qui est la naïve et pas très connaisseuse (ça aide à comprendre!). Ça se lit ultra facilement. Pour une brique de 500 pages ça se dévore.
J’ai adoré les protagonistes. Je me suis immédiatement liée d’affection à Marie. Brebis parmi des rapaces! J’ai aimé la relation des trois Boleyn malgré les embûches et la jalousie. On aime ceux que l’on doit aimer et on déteste ceux que l’on est censé détester! J’aurais craché sur l’oncle Howard plus d’une fois.
J’ai trouvé l’histoire ultra prenante. Même si j’ai lu que tous les éléments ne sont pas exacts, ça m’a permis d’en apprendre un peu plus sur cette famille rongée par l’ambition. L’action déroule à vitesse grand V. Il y a revirement de situation sur revirement de situation. C’est un feu roulant et je ne pouvais m’empêcher de retourner à ma lecture.
Malgré le caractère hautement misogyne de l’époque et le rôle objectifié de la femme, j’ai bien aimé certains commentaires fait à ces égards. On sent le mépris pour les coutumes de l’époque et pour les hommes qui utilisent les femmes à leur escient.
« je déteste l’idée de le savoir avec elle. L’appelle-t-il aussi ma douce?
-Probablement. L’imagination n’est pas le point fort des hommes. »p79
Je souligne le rôle de femme forte de la première Reine Catherine. J’ai adoré voir une femme de sa trempe qui est restée droite et sans rancune envers les autres femmes.
Que d’émotions j’ai vécu! Une chance que j’avais lu sur la fin parce que j’aurais été détruite.
L’écriture mise sur l’action. Le volet politique est assez simplifié, en plus que l’on suit Marie qui est la naïve et pas très connaisseuse (ça aide à comprendre!). Ça se lit ultra facilement. Pour une brique de 500 pages ça se dévore.
J’ai adoré les protagonistes. Je me suis immédiatement liée d’affection à Marie. Brebis parmi des rapaces! J’ai aimé la relation des trois Boleyn malgré les embûches et la jalousie. On aime ceux que l’on doit aimer et on déteste ceux que l’on est censé détester! J’aurais craché sur l’oncle Howard plus d’une fois.
J’ai trouvé l’histoire ultra prenante. Même si j’ai lu que tous les éléments ne sont pas exacts, ça m’a permis d’en apprendre un peu plus sur cette famille rongée par l’ambition. L’action déroule à vitesse grand V. Il y a revirement de situation sur revirement de situation. C’est un feu roulant et je ne pouvais m’empêcher de retourner à ma lecture.
Malgré le caractère hautement misogyne de l’époque et le rôle objectifié de la femme, j’ai bien aimé certains commentaires fait à ces égards. On sent le mépris pour les coutumes de l’époque et pour les hommes qui utilisent les femmes à leur escient.
« je déteste l’idée de le savoir avec elle. L’appelle-t-il aussi ma douce?
-Probablement. L’imagination n’est pas le point fort des hommes. »p79
Je souligne le rôle de femme forte de la première Reine Catherine. J’ai adoré voir une femme de sa trempe qui est restée droite et sans rancune envers les autres femmes.
Que d’émotions j’ai vécu! Une chance que j’avais lu sur la fin parce que j’aurais été détruite.