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jopcy 's review for:
Le Père Goriot
by Honoré de Balzac
Cette histoire m'a rendu très triste, j'ai parfois pleuré à cause de la façon dont ils ont traité le [b: Père Goriot|159977|Le Père Goriot|Honoré de Balzac|https://i.gr-assets.com/images/S/compressed.photo.goodreads.com/books/1444077209l/159977._SY75_.jpg|72392]. Bien qu'il y ait beaucoup de mots nouveaux pour moi, la lecture a été très agréable et bien écrite, j'ai vraiment apprécié la plume de l'auteur. L'une des choses qui m'a le plus frappé est le mauvais traitement que le père Goriot a reçu de ses filles. De nos jours, j'ai entendu parler de cas comme celui-ci et c'est pourquoi cela m'a fait si mal de le lire. Lorsque je lis un livre, j'aime m'évader de la réalité et lire des choses heureuses, ce qui est à l'opposé de ce qui est dépeint dans cette histoire, car le roman entier détaille la dure réalité de l'industrie de la pêche.
Étant moi-même une personne sentimentale, mon passage préféré du livre est celui où Eugène parle au père Goriot de sa vie passée, de l'amour qu'il portait à sa femme et du fait que cela lui pèse peu de donner tout ce qu'il a à ses filles.
C'est mon moment préféré car, Dieu merci, j'ai une mère qui donnerait tout pour que je sois heureuse. Dans le père Goriot, j'ai vu ma propre mère reflétée, le seul problème est que dans l'histoire racontée par [a: Honoré de Balzac|228089|Honoré de Balzac|https://images.gr-assets.com/authors/1206567834p2/228089.jpg], Monsieur Goriot n'est pas apprécié.
Étant moi-même une personne sentimentale, mon passage préféré du livre est celui où Eugène parle au père Goriot de sa vie passée, de l'amour qu'il portait à sa femme et du fait que cela lui pèse peu de donner tout ce qu'il a à ses filles.
« Mais, monsieur Goriot, comment, en avant des filles aussi richement établies que sont les vôtres, pouvez-vous demeurer dans un taudis pareil ?
– Ma foi, dit-il, d’un air en apparence insouciant, à quoi cela me servirait- il d’être mieux ? Je ne puis guère vous expliquer ces choses-là ; je ne sais pas dire deux paroles de suite comme il faut. Tout est là, ajouta-t-il en se frappant le cœur. Ma vie, à moi, est dans mes deux filles. Si elles s’amusent, si elles sont heureuses, bravement mises, si elles marchent sur des tapis, qu’importe de quel drap je sois vêtu, et l’endroit où je me couche ? Je n’ai point froid si elles ont chaud, je ne m’ennuie jamais si elles rient. Je n’ai de chagrins que les leurs » (de Balzac, H. 1835. Le Père Goriot pg. 92)
C'est mon moment préféré car, Dieu merci, j'ai une mère qui donnerait tout pour que je sois heureuse. Dans le père Goriot, j'ai vu ma propre mère reflétée, le seul problème est que dans l'histoire racontée par [a: Honoré de Balzac|228089|Honoré de Balzac|https://images.gr-assets.com/authors/1206567834p2/228089.jpg], Monsieur Goriot n'est pas apprécié.