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Hygiène de l'assassin by Amélie Nothomb
dark
funny
slow-paced
- Strong character development? It's complicated
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? It's complicated
- Flaws of characters a main focus? It's complicated
5.0
wow je manque de mots
spoilers :
Vraiment meilleur livre d’Amelie, for sure. Au début je l’avais trouvé un tantinet ennuyant et étrange, à cause des longues conversations et la manière dont Tach défend ses valeurs. Mais dès qu’il fut question du fameux récit sur Léopoldine, je n’arrivais tout simplement plus lâcher mon livre. L’intrigue devient excellente a cette partie. Par contre, je trouvais que le livre était un peu mélangeant. Je me perdais dans le dialogue. Ce qui m’amène à me demander comment Amélie arrive à écrire ce genre de livre (considérant que Hygiène de L’assassin est son premier roman Amélie est une putain de génie!!!!) parce qu’il est vraiment complexe. Elle m’a fait haïr Tach puis l’aimer pour le haïr de nouveau…. et nina c’est trop une #girlboss
Aussi j’ai remarqué que dès qu’un livre traité de meurtre ça m’intéresse. C’est en partie pour ça que je n’ai pas été accrochée dès le début mais ça a valu la peine d’attendre jusqu’à ce qu’il parle du meurtre.
J’étais sûre qu’ils allaient fuck parce que pourquoi est ce que Amélie aurait bring up la virginité de Prétextat….
OK MAIS LA FIN?? HMMM trop bizarre btw ça c’est mon livre le plus annoté wow. Est ce que Nina s’est transformée en Prétextat?????
J’ai adoré comment Nina l’a amené à avouer :
1: qu’il a bel et bien assassiné Léopoldine
2: qu’il était auparavant beau et maigre (a l’aide de la "photo")
Un de mes livres préférés et le meilleur d’Amelie.
Un passage qui m’a fait réfléchir :
« Du fond de votre Éden, vous commencez à éprouver ce que vous appellez "l’angoisse des élus" et dont la teneur est la suivante : "Combien de temps une telle perfection pourra-t-elle durer?" Cette angoisse comme toutes les angoisses, porte vitre euphorie à son comble tout en la fragilisant dangereusement, de plus en plus dangereusement. »
Aussi :
« Le verbe le plus rare et le plus difficile : le verbe aimer. N’est-il pas amusant que nos grammaires scolaires aient choisi pour paradigme le verbe dont le sens est le plus incompréhensible? »
spoilers :
Vraiment meilleur livre d’Amelie, for sure. Au début je l’avais trouvé un tantinet ennuyant et étrange, à cause des longues conversations et la manière dont Tach défend ses valeurs. Mais dès qu’il fut question du fameux récit sur Léopoldine, je n’arrivais tout simplement plus lâcher mon livre. L’intrigue devient excellente a cette partie. Par contre, je trouvais que le livre était un peu mélangeant. Je me perdais dans le dialogue. Ce qui m’amène à me demander comment Amélie arrive à écrire ce genre de livre (considérant que Hygiène de L’assassin est son premier roman Amélie est une putain de génie!!!!) parce qu’il est vraiment complexe. Elle m’a fait haïr Tach puis l’aimer pour le haïr de nouveau…. et nina c’est trop une #girlboss
Aussi j’ai remarqué que dès qu’un livre traité de meurtre ça m’intéresse. C’est en partie pour ça que je n’ai pas été accrochée dès le début mais ça a valu la peine d’attendre jusqu’à ce qu’il parle du meurtre.
J’étais sûre qu’ils allaient fuck parce que pourquoi est ce que Amélie aurait bring up la virginité de Prétextat….
OK MAIS LA FIN?? HMMM trop bizarre btw ça c’est mon livre le plus annoté wow. Est ce que Nina s’est transformée en Prétextat?????
J’ai adoré comment Nina l’a amené à avouer :
1: qu’il a bel et bien assassiné Léopoldine
2: qu’il était auparavant beau et maigre (a l’aide de la "photo")
Un de mes livres préférés et le meilleur d’Amelie.
Un passage qui m’a fait réfléchir :
« Du fond de votre Éden, vous commencez à éprouver ce que vous appellez "l’angoisse des élus" et dont la teneur est la suivante : "Combien de temps une telle perfection pourra-t-elle durer?" Cette angoisse comme toutes les angoisses, porte vitre euphorie à son comble tout en la fragilisant dangereusement, de plus en plus dangereusement. »
Aussi :
« Le verbe le plus rare et le plus difficile : le verbe aimer. N’est-il pas amusant que nos grammaires scolaires aient choisi pour paradigme le verbe dont le sens est le plus incompréhensible? »