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jessicajade 's review for:
Thérèse et Isabelle
by Violette Leduc
Au fur et à mesure que l'histoire progresse, on comprend qu'il vaut mieux se laisser bercer
par les phrases (si déroutantes) de Violette Leduc qu'essayer de les apprivoiser.
Certaines métaphores sont opaques, le dialogue frustrant par moments, et pourtant on est plongé dans les affres et les plaisirs de l'amour et qu'est-ce que c'est beau :
« J'ai su que j'avais été privée d'elle avant de la rencontrer. » (p.23-24)
« Quand on aime on est toujours sur le quai d'une gare. » (p.42)
« Nous avions créé la fête de l'oubli du temps. » (p.79)
« Nous nous aimions et nous nous retenions : nous nous tenions en équilibre sur le pétale d'une églantine. » (p.92)
« Ma bouche rencontra sa bouche comme la feuille morte la terre. » (p.110)
par les phrases (si déroutantes) de Violette Leduc qu'essayer de les apprivoiser.
Certaines métaphores sont opaques, le dialogue frustrant par moments, et pourtant on est plongé dans les affres et les plaisirs de l'amour et qu'est-ce que c'est beau :
« J'ai su que j'avais été privée d'elle avant de la rencontrer. » (p.23-24)
« Quand on aime on est toujours sur le quai d'une gare. » (p.42)
« Nous avions créé la fête de l'oubli du temps. » (p.79)
« Nous nous aimions et nous nous retenions : nous nous tenions en équilibre sur le pétale d'une églantine. » (p.92)
« Ma bouche rencontra sa bouche comme la feuille morte la terre. » (p.110)