A review by blayke
The Obsidian Throne (Midnight Kingdom #1) by Lavendar Ocean

medium-paced

1.0

 
 

𝑺𝒉𝒊𝒕, 𝑰𝒇 𝑰’𝒗𝒆 𝒌𝒏𝒐𝒘𝒏 𝒕𝒉𝒆 𝑼𝒏𝒅𝒆𝒓𝒘𝒐𝒓𝒍𝒅 𝒉𝒂𝒅 𝑭𝒆𝒏𝒕𝒚 𝒂𝒏𝒅 𝑱.𝑺 𝑪𝒐*******, 𝑰 𝒘𝒐𝒖𝒍𝒅’𝒗𝒆 𝒌𝒊𝒍𝒍𝒆𝒅 𝒎𝒚𝒔𝒆𝒍𝒇 𝒂 𝒘𝒉𝒊𝒍𝒆 𝒂𝒈𝒐. 

If, like me, you’ve ever had suicidal thought, you and I know why this simple quote is already so problematic. Like pretty much all the book.
 
 I’m not a big fan of romance, no one learns it at this stage, but I chose this book consciously, hoping to have a retelling of Hades and Persephone. Nothing could be further from it, since Persephone is indeed there, but she isn’t our heroine, and this story is anything but a retelling. 

In this general part, excluding spoilers, I will address myself mainly to the author, and begin with this simple question, who approved the publication of this book?
 Because he lied to you. It’s more a hardback fanfiction, with all the respect I have for fanfiction authors/authors, than a real novel that deserves that I pay to read it.
 
 Above all, this book is certainly poorly written, but it also conveys unhealthy clichés.
 If I had to sum up my reading in one word, it would be “cringe”. 

Without a doubt, the general idea was good, It’s the execution that’s a problem, being led by one master word; uselessness.
 
 The Underworld doesn’t need smartphones and Starbucks to be cool, the Gods and Goddesses don’t need to be renamed, especially without any explanation. 

Violet is an unpleasant and annoying character, seen as the seventh wonder of the World because she simply doesn’t know how to be silent, which as by chance is perfectly integrated among the deities from the beginning of the book, again without reason, and who is entitled to preferential treatment for… nothing. Add to that that everyone wants to eat a bit of her, of course, and you have the cliché of the Chosen in all its splendor. 

Finally, and I’ll stop there because one could almost say that I’m unpleasant, the descriptions of make-up, clothes, giggles at all sauces and phrases seen again and again  ( hum hum “I release a breath I didn’t realize I was holding in the first place.” twice), have only further impoverished the narrative ensemble. 

 

 

 

 

 

 

 

 

We’re here, I can let go.
 This book is so bad that I hesitate to sell it, because I’ll be ashamed to make money from it. 

Let’s review everything that’s wrong; 
 
 Violet dies, and lands in Hell at the registration office, there she makes a scandal and finds herself housed in great luxury, mega suite and best buddy of Hades in … 16 pages.
 We understand that the God of the deads is interested in her as… her smile, sorry, 
 while «I have nothing special, right?» (I already looked up to heaven) 

She ends up at the summer solstice, a sort of huge debauchery between Gods, where she strangely walks without problem on Mount Olympus while she’s MORTAL and therefore she should die to be there. 

Violet meets August aka Hephaestus for connoisseurs, and Auggie for intimates.
 If reading this you’re not thinking about Oggy and the cockroaches, you and I aren’t in the same boat.
 Of course, we witness love at first sight, so strong and inexplicable that she cries, and I vomit.
 After comes the explanation of why this mortal lives her best life, because she was designated by Athena, aka Emma, to take her place, because yes ladies and gentlemen, Athena is dying. We will not go back to the fact that she and Violet have nothing in common in terms of character, common sense having never appeared in this story. 

Meanwhile we learn that surprise, surprise, Hades is gay, and that he will be judged by the Gods because he has trampled the blessing of Zeus on his marriage. 
 But no stress, super Violet comes to save her best friend by yelling at Gods and Goddesses several millennia old, everything is fine. 

Little by little, the poor logic disappears, and Violet finds herself having to steal a dagger from Zeus, making almost a threesome with Hera to steal it, all for a prophecy without a tail or head.
 
 We will pass the ridiculous erotic scenes where “lord he is so gifted with his hands”, the extremely disturbing discussions where she and her guy explain how their “dynamic is so unique” to end up on a murder scene looking like a suicide, and as in the best reused tropes, Violet is pregnant with a child who will change the destiny of all. Just that.
  

 

 

 

 

 

 


Si, comme moi, vous avez déjà eu des pensées suicidaires, vous et moi savons pourquoi cette simple citation est déjà aussi problématique. Comme tout le livre pour être honnête.
 
 Je ne suis pas fan de romance, plus personne ne l’apprend à ce stade, mais j’ai choisi ce livre consciemment, en espérant avoir un retelling d’Hadès et Perséphone. Rien ne pouvait plus s’en éloigner, vu que Perséphone est bel et bien là, mais ce n’est pas notre héroïne, et cette histoire est tout sauf un retelling.
 
 Dans cette partie générale, hors spoilers, je vais m’adresser principalement à l’autrice, et commencer par cette simple question, qui a approuvé la publication de ce livre ?
 Car il vous a menti.
 Il s’agit davantage d’une fanfiction en hardback, avec tout le respect que j’ai pour les autrices/auteurs de fanfiction, que d’un réel roman qui mérite que je paye pour le lire.
 
 Avant tout, cette ouvrage est certes mal écrit, mais il véhicule aussi des clichés malsains.
 Si je devais résumer ma lecture en un mot, ce serait  « cringe »
 Sans aucun doute, l’idée générale était bonne, c’est l’exécution qui pose réellement problème, étant dirigée par un seul maître mot ; l’inutilité.
 
 Les Enfers n’ont pas besoin de smartphones, de Starbucks pour être cool, et les Dieux et Déesses n’ont pas besoin d’être renommés, surtout sans aucune explication.
 Violet est un personnage désagréable et agaçant, que l’on regarde comme la septième merveille du Monde car elle ne sait tout simplement pas se taire, qui comme par hasard est parfaitement intégrée parmi les divinités dès le début du livre, à nouveau sans raison, et qui a droit à un traitement de faveur pour…rien. Ajoutez à cela que tout le monde veut en croquer un bout, bien entendu, et vous avez le cliché de l’Elue dans toute sa splendeur.
 
 Enfin, et je m’arrêterai là car on pourrait presque dire que je suis désagréable, les descriptifs de maquillage, de vêtements, les gloussements à toutes les sauces et les phrases vues et revues ( hum hum « Je libèrais un souffle que je n’avais pas réalisé que je retenais.» par deux fois), n’ont fait qu’appauvrir davantage l’ensemble narratif.
 

 
 
 On y est je peux me lâcher. 
 Ce livre est tellement mauvais que j’hésite à le vendre, car j’aurai honte d’en retirer de l’argent. 
 
 Passons en revue tout ce qui ne va pas ; 
 
 Violet meurt, et atterrit en Enfer au bureau d’enregistrement, là elle fait scandale et se retrouve logée grand luxe, méga suite et best pote d’Hadès en …16 pages. 
 On capte que le Dieu des morts est intéressé par ses fes… son sourire pardon, alors que « je n’ai rien de spécial, pas vrai ? » (je levais déjà les yeux au ciel) 
 Elle se retrouve au solstice d’été, une espèce d’énorme débauche entre Dieux, où étrangement elle se balade sans problème sur le Mont Olympe alors qu’elle est MORTELLE et que donc elle devrait crever sa race d’y être. 
 Violet  y rencontre August aka Héphaïstos pour les connaisseurs, et Auggie pour les intimes. 
 Si en lisant ceci vous ne pensez pas à Oggy et les cafards, vous et moi on n’est pas dans le même bateau. 
 Bien entendu nous assistons au coup de foudre au premier regard, tellement fort et inexplicable qu’elle en pleure, et que j’en vomis. 
 Par après nous viens l’explication de pourquoi cette mortelle vit sa meilleure vie, car elle a été désignée par Athena, aka Emma, pour prendre sa place car oui mesdames et messieurs, Athéna se meurt. On ne reviendra pas sur le fait qu’elle et Violet n’ont rien en commun niveau caractère, le bon sens n’étant jamais apparu dans ce récit. 
 
 On apprend entre temps que surprise, surprise, Hadès est gay, et qu’il va se faire juger par les Dieux car il a bafoué la bénédiction de Zeus sur son mariage. Mais pas de stress, super Violet vient sauver son meilleur pote en hurlant sur des Dieux et Déesses vieux de plusieurs millénaires, tout va bien. 
 
 Petit à petit, le peu de logique se perd et Violet se retrouve à devoir voler une dague à Zeus, faisant presque un plan à trois avec Héra pour la récupérer, tout ça pour une prophétie sans queue ni tête. 
 
 Nous passerons les scènes érotiques ridicules où seigneur il est tellement doué de ses mains, les discussions extrêmement dérangeantes où elle et son gars expliquent à quel point leur « dynamique est tellement unique » pour terminer sur une scène de meurtre ressemblant à un suicide, et comme dans les meilleurs plots réutilisés, Violet est enceinte d’un enfant qui changera la destinée de tous. Rien que ça. 
 

 


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