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A review by zozos_books
Therese Raquin by Émile Zola
3.0
J’ai rarement été aussi fière et soulagée d’appuyer sur le bouton « I’m finished ! » de Goodreads. Le point d’exclamation, je peux vous dire que je l’ai pleinement ressenti.
Néanmoins commençons par le début.
J’ai ouvert ce livre avec un peu d’appréhension : après le pavé assommant qu’était Germinal, je craignais une autre histoire longue et lassante. Quelle fut ma surprise lorsque je fus captivée par les mots du narrateur ! (Oui oui je viens de terminer un Zola dans laissez moi écrire de façon pompeuse, en plus je dois rendre ma chronique à mon prof de français donc autant m’appliquer.) J’ai vraiment accroché à l’histoire, et je peux dire que j’étais assez investie émotionnellement, comme en témoignent mes réactions écrites dans la marge ou les citations recopiées que j’ai envoyées à une amie. En même temps, reconnaissez la note humoristique de l’histoire : Thérèse est mariée à Camille mais elle le trompe pour Laurent et comme Camille les gêne dans leur relation, ils décident de le tuer. Voilà. Sauf que le fantôme de Camille les visite dans leurs insomnies et ils deviennent complètement fous.
Bref j’étais conquise par l’intrigue, et l’écriture me plaisait bien.
C’est au bout du premier tiers du livre que j’ai senti les pages se tourner. Ça commençait à être un peu long. Les chapitres se ressemblaient parfois dans leur contenu, il ne se passait pas grand chose de nouveau ou d’inattendu. Mon attention est parfois tombée au point de lire des pages sans rien retenir. J’ai quand même réussi à tenir jusqu’à la fin, dramatique comme Shakespeare les aime. Elle n’en reste pas pour autant décevante ou prévisible !
En bref, cette lecture fut étonnamment agréable, malgré les quelques longueurs signatures de Zola.
Néanmoins commençons par le début.
J’ai ouvert ce livre avec un peu d’appréhension : après le pavé assommant qu’était Germinal, je craignais une autre histoire longue et lassante. Quelle fut ma surprise lorsque je fus captivée par les mots du narrateur ! (Oui oui je viens de terminer un Zola dans laissez moi écrire de façon pompeuse, en plus je dois rendre ma chronique à mon prof de français donc autant m’appliquer.) J’ai vraiment accroché à l’histoire, et je peux dire que j’étais assez investie émotionnellement, comme en témoignent mes réactions écrites dans la marge ou les citations recopiées que j’ai envoyées à une amie. En même temps, reconnaissez la note humoristique de l’histoire : Thérèse est mariée à Camille mais elle le trompe pour Laurent et comme Camille les gêne dans leur relation, ils décident de le tuer. Voilà. Sauf que le fantôme de Camille les visite dans leurs insomnies et ils deviennent complètement fous.
Bref j’étais conquise par l’intrigue, et l’écriture me plaisait bien.
C’est au bout du premier tiers du livre que j’ai senti les pages se tourner. Ça commençait à être un peu long. Les chapitres se ressemblaient parfois dans leur contenu, il ne se passait pas grand chose de nouveau ou d’inattendu. Mon attention est parfois tombée au point de lire des pages sans rien retenir. J’ai quand même réussi à tenir jusqu’à la fin, dramatique comme Shakespeare les aime. Elle n’en reste pas pour autant décevante ou prévisible !
En bref, cette lecture fut étonnamment agréable, malgré les quelques longueurs signatures de Zola.