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ajmain 's review for:
When Rain Clouds Gather
by Bessie Head
Une précision et une poésie dans les descriptions. Ces dernières sont parfois un peu longues et me font me perdre dans mes pensées.
Sur la haine, la solitude, la générosité.
Sur la relation de l'Afrique (Afrique du sud, Botswana) avec l'homme blanc, l'individu vs le système colonial.
Sur le tribalisme, la pauvreté, l'agriculture de subsistance, le progrès, la coopérative.
Makhaya, un personnage principal complexe, froid, expatrié qui s'ancre doucement dans le village de Golema Mmidi et avec qui ont crée de l'espoir, de la sympathie, de la tendresse.
"Que pouvait chercher un homme, sinon chercher une vie qu'il pût maîtriser? Que pouvait-il faire d'autre, lui, Makhaya, sinon d'attendre ici le temps qui faudrait pour se débarrasser de sa haine? C'était lui, Makhaya, l'individu, qui était à la recherche d'une vie à vivre, parce qu'il redoutait la mort vivante [de l'humiliation] dans laquelle un homme pouvait être né. Pendant ce temps il lui semblait que, part nécessité personnelle, il devait se libéré de sa haine et concentrer sa pensée sur les détails de la vie à Golema Mmidi." – page 188
Sur la haine, la solitude, la générosité.
Sur la relation de l'Afrique (Afrique du sud, Botswana) avec l'homme blanc, l'individu vs le système colonial.
Sur le tribalisme, la pauvreté, l'agriculture de subsistance, le progrès, la coopérative.
Makhaya, un personnage principal complexe, froid, expatrié qui s'ancre doucement dans le village de Golema Mmidi et avec qui ont crée de l'espoir, de la sympathie, de la tendresse.
"Que pouvait chercher un homme, sinon chercher une vie qu'il pût maîtriser? Que pouvait-il faire d'autre, lui, Makhaya, sinon d'attendre ici le temps qui faudrait pour se débarrasser de sa haine? C'était lui, Makhaya, l'individu, qui était à la recherche d'une vie à vivre, parce qu'il redoutait la mort vivante [de l'humiliation] dans laquelle un homme pouvait être né. Pendant ce temps il lui semblait que, part nécessité personnelle, il devait se libéré de sa haine et concentrer sa pensée sur les détails de la vie à Golema Mmidi." – page 188