Take a photo of a barcode or cover
lessidisa 's review for:
Les trois mousquetaires
by Alexandre Dumas
adventurous
medium-paced
Bon voilà j'ai finalement terminé mon gros livre de février -commencé en janvier- en mars (...).
Les trente dernières pages sont super ; autrement certains personnages n'ont pas l'air doté d'une intelligence à toute épreuve et d'autres sont très toxiques. C'est excessivement long évidemment.
« – Mais, puisque nous risquons de nous faire tuer, dit Porthos, je voudrais bien savoir pourquoi, au moins ?
– Le roi a-t-il l’habitude de vous rendre des comptes ? Non ; il vous dit tout bonnement : "Messieurs, on se bat en Gascogne ou dans les Flandres ; allez vous battre", et vous y allez. Pourquoi ? vous ne vous en inquiétez même pas.
– D’Artagnan a raison, dit Athos, voilà nos trois congés qui viennent de M. de Tréville, et voilà trois cents pistoles qui viennent je ne sais d’où. Allons nous faire tuer où l’on nous dit d’aller. La vie vaut-elle la peine de faire autant de questions ? »
« Tenez, lui dit-il, voici les ferrets de diamants que vous êtes venu chercher, et soyez mon témoin que tout ce que la puissance humaine pouvait faire, je l’ai fait. »
« Quoique d’Artagnan ne connût point la reine, il distingua sa voix des autres voix, d’abord à un léger accent étranger, puis à ce sentiment de domination naturellement empreint dans toutes les paroles souveraines. »
« Vous êtes fort aimable sans doute, mais vous seriez charmant si vous partiez ! »
Les trente dernières pages sont super ; autrement certains personnages n'ont pas l'air doté d'une intelligence à toute épreuve et d'autres sont très toxiques. C'est excessivement long évidemment.
« – Mais, puisque nous risquons de nous faire tuer, dit Porthos, je voudrais bien savoir pourquoi, au moins ?
– Le roi a-t-il l’habitude de vous rendre des comptes ? Non ; il vous dit tout bonnement : "Messieurs, on se bat en Gascogne ou dans les Flandres ; allez vous battre", et vous y allez. Pourquoi ? vous ne vous en inquiétez même pas.
– D’Artagnan a raison, dit Athos, voilà nos trois congés qui viennent de M. de Tréville, et voilà trois cents pistoles qui viennent je ne sais d’où. Allons nous faire tuer où l’on nous dit d’aller. La vie vaut-elle la peine de faire autant de questions ? »
« Tenez, lui dit-il, voici les ferrets de diamants que vous êtes venu chercher, et soyez mon témoin que tout ce que la puissance humaine pouvait faire, je l’ai fait. »
« Quoique d’Artagnan ne connût point la reine, il distingua sa voix des autres voix, d’abord à un léger accent étranger, puis à ce sentiment de domination naturellement empreint dans toutes les paroles souveraines. »
« Vous êtes fort aimable sans doute, mais vous seriez charmant si vous partiez ! »