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A review by ceceska
The Match by Sarah Adams
3.0
Update : je change pour 3 étoiles parce que je repense encore à ce livre des semaines plus tard.
2.5 étoiles
Ce livre a tellement bien commencé. Le début était drôle et touchant et je me suis vite attaché aux personnages. J'ai aimé le "enemies to lover" mais j'ai été déçue qu'ils n'aient pas été ennemis plus longtemps. Ça a duré maximum 50 pages et c'était pas très ennemis.
J'ai aimé comment la protagoniste Evie est douce et attachante mais qu'elle a du caractère. Par contre, ça n'a pas pris longtemps qu'elle a eu des traits de caractère "not like the other girls". C'est-à-dire, de constamment dire qu'elle n'est pas comme les autres femmes parce qu'elle mange à sa faim (et *suspense* des brownies) versus les femmes qui "pensent juste à leur apparence". Et une autre chose que je n'ai pas aimé : "elle est belle mais elle ne le sait pas". Ohhh que non. Surtout quand on est du point de vue de Jake qui n'arrête pas de commenter son corps en disant qu'elle est magnifique et qui dit que le fait qu'elle ne connaisse pas sa beauté la rend plus attirante. ARK. Cibole que ça doit arrêter cette imbécilité. Une femme a le droit d'aimer son corps, de se trouver belle et de le dire. Voyons donc.
Sinon, j'ai trouvé bien étrange que la protagoniste déteste ses parents mais qu'elle les appelle quand même "mommy" et "daddy". Surtout quand elle le dit dans des parties où elle est fâchée. Ça enlève vraiment de la crédibilité à ses propos.
Sinon, les scènes d'intimité sont souvent malaisantes. À un moment donné, pendant du "dirty talk" elle compare son désir d'embrasser Jake au désir d'aller dans une voie d'autoroute plus rapide parce qu'elle est réservée au covoiturage. Ça refroidit assez vite l'ambiance. Le passage en question : " I can feel that my lips are swollen and my cheeks are pink, and just a minute ago, Jake felt the need to remind me that we should take things slow…which means he was aware that I had my blinker on and was ready to change over to the HOV lane. Move over, slowpokes. But I push that embarrassment right back down because I know that Jake wanted that kiss too. He wanted the HOV lane."
D'ailleurs, presque toutes les scènes spicy (qui ne dépassent jamais plus que des baisers) sont des baisers qui sont interrompus par quelqu'un. La fille de Jake, amis, parents, tout le monde y passe. Pas moyen d'écrire une scène où les deux s'embrassent normalement.
Sinon, j'ai aimé que ce livre porte sur l'épilepsie et les chiens d'assistance. C'était rafraîchissant et très mignon comme thème.
La première moitié du livre, avant que Jake et Evie se fréquentent plus sérieusement était bonne parce qu'il y avait une vibe de désir et de tension. Mais par la suite ça a pris le bord et l'histoire est devenue ennuyante.
Je recommanderais ce livre aux personnes vivant avec de l'épilepsie qui veulent en savoir plus sur l'épilepsie et les chiens d'assistance. Sinon, je ne recommande malheureusement pas ce livre.
2.5 étoiles
Ce livre a tellement bien commencé. Le début était drôle et touchant et je me suis vite attaché aux personnages. J'ai aimé le "enemies to lover" mais j'ai été déçue qu'ils n'aient pas été ennemis plus longtemps. Ça a duré maximum 50 pages et c'était pas très ennemis.
J'ai aimé comment la protagoniste Evie est douce et attachante mais qu'elle a du caractère. Par contre, ça n'a pas pris longtemps qu'elle a eu des traits de caractère "not like the other girls". C'est-à-dire, de constamment dire qu'elle n'est pas comme les autres femmes parce qu'elle mange à sa faim (et *suspense* des brownies) versus les femmes qui "pensent juste à leur apparence". Et une autre chose que je n'ai pas aimé : "elle est belle mais elle ne le sait pas". Ohhh que non. Surtout quand on est du point de vue de Jake qui n'arrête pas de commenter son corps en disant qu'elle est magnifique et qui dit que le fait qu'elle ne connaisse pas sa beauté la rend plus attirante. ARK. Cibole que ça doit arrêter cette imbécilité. Une femme a le droit d'aimer son corps, de se trouver belle et de le dire. Voyons donc.
Sinon, j'ai trouvé bien étrange que la protagoniste déteste ses parents mais qu'elle les appelle quand même "mommy" et "daddy". Surtout quand elle le dit dans des parties où elle est fâchée. Ça enlève vraiment de la crédibilité à ses propos.
Sinon, les scènes d'intimité sont souvent malaisantes. À un moment donné, pendant du "dirty talk" elle compare son désir d'embrasser Jake au désir d'aller dans une voie d'autoroute plus rapide parce qu'elle est réservée au covoiturage. Ça refroidit assez vite l'ambiance. Le passage en question : " I can feel that my lips are swollen and my cheeks are pink, and just a minute ago, Jake felt the need to remind me that we should take things slow…which means he was aware that I had my blinker on and was ready to change over to the HOV lane. Move over, slowpokes. But I push that embarrassment right back down because I know that Jake wanted that kiss too. He wanted the HOV lane."
D'ailleurs, presque toutes les scènes spicy (qui ne dépassent jamais plus que des baisers) sont des baisers qui sont interrompus par quelqu'un. La fille de Jake, amis, parents, tout le monde y passe. Pas moyen d'écrire une scène où les deux s'embrassent normalement.
Sinon, j'ai aimé que ce livre porte sur l'épilepsie et les chiens d'assistance. C'était rafraîchissant et très mignon comme thème.
La première moitié du livre, avant que Jake et Evie se fréquentent plus sérieusement était bonne parce qu'il y avait une vibe de désir et de tension. Mais par la suite ça a pris le bord et l'histoire est devenue ennuyante.
Je recommanderais ce livre aux personnes vivant avec de l'épilepsie qui veulent en savoir plus sur l'épilepsie et les chiens d'assistance. Sinon, je ne recommande malheureusement pas ce livre.