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A review by clarabelletoile
La Tempête des échos by Christelle Dabos
5.0
«un peu plus que cela, même.»
je suis : épuisée. je me sens terriblement vide. j'ai l'impression d'avoir couru un marathon et gravis le Mont Everest tant ce dernier tome a été rude pour moi. j'ai l'impression d'avoir retenu mon souffle du début à la fin, trop terrifiée par ce qu'il pourrait arriver à ces personnages que j'aime tant.
ne pas respirer n'a rien changé, ce tome m'a sacrément mal menée!
Ophélie, je l'ai dans la peau. je me retrouve tellement en elle, d'une certaine manière, que j'ai l'impression que c'est une petite partie de moi que je referme avec ce livre. je l'ai trouvé si forte, si indépendante et intelligente, j'ai regardé avec fierté cette petite d'Artémis évoluer au fil de cette saga.
Thorn, je l'aime. un peu plus que cela, même. les rouages de son esprit qui ne cessent jamais de tourner à la recherche de solutions, ça me fascine. il me touche profondément, lui à la stature si imposante et ferme, mais en proie à une haine si viscérale et à un dégoût si profond pour lui-même...
les autres personnages, je les aime tous énormément et c'est pourquoi il m'est tant difficile de leur dire au-revoir, et encore moins adieu.
non, il m'est impossible de dire adieu. je les retrouverai, je relirai inlassablement leurs histoires, quite à les connaître par cœur. mon imagination se charge de leur inventer un futur (tout va bien pour eux, ne vous en faites pas).
je comprends les déçus, les énervés, les tristes. oui, je les comprends. cette fin, mon dieu, qu'elle est difficile à encaisser. mais je ne la déteste pas... un peu quand même... mais pas tellement. parce que je la renie un peu, du moins, je décide qu'il existe en réalité d'autres mots, d'autres chapitres, qui mènent à la fin que j'ai décidé, celle qui m'épanouie, me réjouie, me réconforte dans mon envie irrépressible que tout finisse bien à la manière des "et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants".
merci Christelle Dabos pour ces quatre tomes de pure plaisir littéraire, merci pour Ophélie et Thorn, merci pour les scènes qui m'ont fait rire, pleurée, hurlée, merci pour tout ce que vous m'avez apporter sans le savoir, merci du fond du cœur.
j'aime La Passe-Miroir, à l'endroit et à l'envers, dans tous les sens, que je sois triste ou heureuse, frustrée ou satisfaite, j'aime cette saga du plus profond de mon cœur.
je suis : épuisée. je me sens terriblement vide. j'ai l'impression d'avoir couru un marathon et gravis le Mont Everest tant ce dernier tome a été rude pour moi. j'ai l'impression d'avoir retenu mon souffle du début à la fin, trop terrifiée par ce qu'il pourrait arriver à ces personnages que j'aime tant.
ne pas respirer n'a rien changé, ce tome m'a sacrément mal menée!
Ophélie, je l'ai dans la peau. je me retrouve tellement en elle, d'une certaine manière, que j'ai l'impression que c'est une petite partie de moi que je referme avec ce livre. je l'ai trouvé si forte, si indépendante et intelligente, j'ai regardé avec fierté cette petite d'Artémis évoluer au fil de cette saga.
Thorn, je l'aime. un peu plus que cela, même. les rouages de son esprit qui ne cessent jamais de tourner à la recherche de solutions, ça me fascine. il me touche profondément, lui à la stature si imposante et ferme, mais en proie à une haine si viscérale et à un dégoût si profond pour lui-même...
les autres personnages, je les aime tous énormément et c'est pourquoi il m'est tant difficile de leur dire au-revoir, et encore moins adieu.
non, il m'est impossible de dire adieu. je les retrouverai, je relirai inlassablement leurs histoires, quite à les connaître par cœur. mon imagination se charge de leur inventer un futur (tout va bien pour eux, ne vous en faites pas).
je comprends les déçus, les énervés, les tristes. oui, je les comprends. cette fin, mon dieu, qu'elle est difficile à encaisser. mais je ne la déteste pas... un peu quand même... mais pas tellement. parce que je la renie un peu, du moins, je décide qu'il existe en réalité d'autres mots, d'autres chapitres, qui mènent à la fin que j'ai décidé, celle qui m'épanouie, me réjouie, me réconforte dans mon envie irrépressible que tout finisse bien à la manière des "et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants".
merci Christelle Dabos pour ces quatre tomes de pure plaisir littéraire, merci pour Ophélie et Thorn, merci pour les scènes qui m'ont fait rire, pleurée, hurlée, merci pour tout ce que vous m'avez apporter sans le savoir, merci du fond du cœur.
j'aime La Passe-Miroir, à l'endroit et à l'envers, dans tous les sens, que je sois triste ou heureuse, frustrée ou satisfaite, j'aime cette saga du plus profond de mon cœur.