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astoriasbooks 's review for:
The Storm Runner
by J.C. Cervantes
S'il y a un truc à savoir avant de se lancer dans cet avis, c'est que j'adore tout ce que Rick Riordan publie ou soutient. Je n'ai peut-être pas été assez claire : j'adore Rick Riordan. Alors quand j'ai découvert cette initiative de "Rick Riordan Presents", j'ai sauté au plafond : j'allais pouvoir découvrir trois nouvelles mythologies ! Bien entendu, j'ai précommandé The Storm Runner, tout comme je l'ai fait avec Aru Shah And The End Of Time, qui était le premier livre de cette initiative.
J'ai dévoré ce livre, tout comme les autres. Mais je ne peux m'empêcher d'être un peu (un tout petit peu) déçue tout de même. Est-ce parce que j'ai placé énormément d'espoirs dans ce livre ? En tout cas, je vais vous dire ce que j'en ai pensé.
Si je ne devais choisir qu'un seul bon élément dans ce livre, je dirais la représentation. Zane, le personnage principal, est un jeune adolescent handicapé d'une jambe et se lançant dans une quête ayant pour enjeu la paix dans le monde. Je trouve cela très rare dans l'industrie du livre, où généralement héros rime avec perfection, et d'autant plus remarquable. J.C. Cervantes, tout comme Rick Riordan, offre une chance à tous les enfants (et lecteurs de tout âge) de s'identifier à ses personnages.
Bien sûr, il y a Zane, mais ce n'est pas le seul. Il y a également Brooks qui cache un lourd secret mais qui est prête à tout pour aider Zane. Elle est ce que j'appelle un bon exemple de personnage féminin fort : elle n'a pas besoin d'un homme pour survivre, a ses propres qualités qui ne se limitent pas à son physique, et fait des erreurs qui s'expliquent par son âge et qui sont pardonnables. Je l'ai beaucoup aimée. Il y a également l'oncle de Zane, Hondo, un passionné de catch qui accompagnera son neveu dans sa quête même s'il n'est qu'un simple mortel. Des trois, c'est probablement le plus courageux ! Comme quoi, pas besoin de pouvoirs magiques ou d'héritage divin pour être un héros...
The Storm Runner est un livre d'initiation qui, comme Percy Jackson, s'adresse à un public large et diversifié : tout le monde peut y trouver son compte. De plus, J.C. Cervantes a une plume légère et drôle qui m'a arraché de nombreux sourires et éclats de rires.
Le seul et unique mauvais point de ce livre est l'approche de la mythologie. J'ai adoré l'histoire, certes, mais je n'ai pas eu l'impression d'avoir énormément appris quant à la mythologie maya. Est-ce parce qu'il s'agit d'une mythologie qui n'a que peu de représentation dans la culture ? Ou est-ce parce que l'auteure ne s'est pas assez attardée sur les points essentiels ? Je n'en sais rien. De plus, il s'agit d'un livre adressé majoritairement aux enfants : il est certain que la charge d'information sera moindre comparé à un livre classé YA.
J'ai dévoré ce livre, tout comme les autres. Mais je ne peux m'empêcher d'être un peu (un tout petit peu) déçue tout de même. Est-ce parce que j'ai placé énormément d'espoirs dans ce livre ? En tout cas, je vais vous dire ce que j'en ai pensé.
Si je ne devais choisir qu'un seul bon élément dans ce livre, je dirais la représentation. Zane, le personnage principal, est un jeune adolescent handicapé d'une jambe et se lançant dans une quête ayant pour enjeu la paix dans le monde. Je trouve cela très rare dans l'industrie du livre, où généralement héros rime avec perfection, et d'autant plus remarquable. J.C. Cervantes, tout comme Rick Riordan, offre une chance à tous les enfants (et lecteurs de tout âge) de s'identifier à ses personnages.
Bien sûr, il y a Zane, mais ce n'est pas le seul. Il y a également Brooks qui cache un lourd secret mais qui est prête à tout pour aider Zane. Elle est ce que j'appelle un bon exemple de personnage féminin fort : elle n'a pas besoin d'un homme pour survivre, a ses propres qualités qui ne se limitent pas à son physique, et fait des erreurs qui s'expliquent par son âge et qui sont pardonnables. Je l'ai beaucoup aimée. Il y a également l'oncle de Zane, Hondo, un passionné de catch qui accompagnera son neveu dans sa quête même s'il n'est qu'un simple mortel. Des trois, c'est probablement le plus courageux ! Comme quoi, pas besoin de pouvoirs magiques ou d'héritage divin pour être un héros...
The Storm Runner est un livre d'initiation qui, comme Percy Jackson, s'adresse à un public large et diversifié : tout le monde peut y trouver son compte. De plus, J.C. Cervantes a une plume légère et drôle qui m'a arraché de nombreux sourires et éclats de rires.
Le seul et unique mauvais point de ce livre est l'approche de la mythologie. J'ai adoré l'histoire, certes, mais je n'ai pas eu l'impression d'avoir énormément appris quant à la mythologie maya. Est-ce parce qu'il s'agit d'une mythologie qui n'a que peu de représentation dans la culture ? Ou est-ce parce que l'auteure ne s'est pas assez attardée sur les points essentiels ? Je n'en sais rien. De plus, il s'agit d'un livre adressé majoritairement aux enfants : il est certain que la charge d'information sera moindre comparé à un livre classé YA.