Scan barcode
A review by jupiterswill
Trois fois dès l'aube by Alessandro Baricco
3.0
06.08.23
j’attends un bus qui n’est pas fichu d’arriver (à belas, au portugal. il faut croire le transport en commun est mauvais partout) et j’ai terminé le livre à l’arrêt. c’était une vraiment belle histoire. c’était tellement, tellement doux. nostalgique aussi; mais c’est évident, vu c’est baricco.
critique plus longue quand je suis pas épuisé. sinon: lire mr gwyn avant, ça rend la lecture un peu plus belle.
04.09.23
je n'ai pas grand chose à ajouter mis à part les notes que j'avais prises dans ma lecture:
lire baricco et sa vision sur l'amour me rend presque toujours triste. j'ai l'impression qu'il s'attache à la mélancolie et qu'il nage dans ses eaux. il romance éternellement cet amour que son personnage a vécu (il y a longtemps, lorsqu'il était jeune et que l'amour pour lui était éternel, bla bla bla) et le laisse pétrir dans le souvenir amer des dernières rencontres. ce que, honnêtement, j'abhorre. mais il écrit bien. alors bon.
l'histoire reste tout de même un frisson-- suspendu, pour un très long moment, qui s'étend jusqu'au bas de la colonne vertébrale et qui s'estompe qu'à la dernière page.
enfin, baricco. que reste-t-il à dire, vraiment.
j’attends un bus qui n’est pas fichu d’arriver (à belas, au portugal. il faut croire le transport en commun est mauvais partout) et j’ai terminé le livre à l’arrêt. c’était une vraiment belle histoire. c’était tellement, tellement doux. nostalgique aussi; mais c’est évident, vu c’est baricco.
critique plus longue quand je suis pas épuisé. sinon: lire mr gwyn avant, ça rend la lecture un peu plus belle.
04.09.23
je n'ai pas grand chose à ajouter mis à part les notes que j'avais prises dans ma lecture:
lire baricco et sa vision sur l'amour me rend presque toujours triste. j'ai l'impression qu'il s'attache à la mélancolie et qu'il nage dans ses eaux. il romance éternellement cet amour que son personnage a vécu (il y a longtemps, lorsqu'il était jeune et que l'amour pour lui était éternel, bla bla bla) et le laisse pétrir dans le souvenir amer des dernières rencontres. ce que, honnêtement, j'abhorre. mais il écrit bien. alors bon.
l'histoire reste tout de même un frisson-- suspendu, pour un très long moment, qui s'étend jusqu'au bas de la colonne vertébrale et qui s'estompe qu'à la dernière page.
enfin, baricco. que reste-t-il à dire, vraiment.