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lilymathildea 's review for:
Comment le dire à la nuit
by Vincent Tassy
Ce livre fut une énorme déception, mais je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. Je suis allée lire quelques critiques GR et franchement en soit il n’y avait aucune raison de ne pas aimer cette lecture (pour moi en tout cas).

On me parle d’une histoire de vampires remasterisés, d’une plume incroyablement belle et fournie, de personnages intéressants, d’une superbe fin qui vient couronner le tout.
Et en fait, tout y est, sauf que…
J’ai été incapable de rentrer dans le livre ! Déjà, on commence avec Athalie qui, disons-le clairement est une sorte de sadique millénaire assoiffée d’amour autant que de sang. J’ai le cœur bien accroché pourtant, mais s’il y a bien une chose que je ne peux pas encadrer c’est la violence gratuite. Athalie n’est que ça.

Ensuite, il y a le chapitre de Egmont, que j’ai ADORÉ, un carré amoureux (quoiqu’on ne puisse vraiment parler d’amour que pour d’eux des personnes concernées) LGBTQ assez vraisemblable, un décor romantico-gothique à souhait, la plume tout en emphase et tournures poétiques qui vient agrémenter tout ça. Là je me dis OK il y a peut-être un espoir, je n’ai qu’à sauter les chapitres d’Athalie (je regrette encore de ne pas l’avoir fait d’ailleurs car ça va de mal en pis dans cette histoire).

Donc, vient le chapitre de Rachel, bon un personnage de plus, murée dans une sorte de snobisme que je comprends et que j’exècre en même temps (chapeau à l’auteur de me faire ressentir tout ça). Une autre histoire de fascination pour quelqu’un, ok déjà vu… Déjà l’écriture me parait en faire trop (moi qui pourtant, fait des phrases longues de trois lignes, trop c’est trop) je commence à lire en diagonale. Bon par contre, c’est à nouveau un couple LGBTQ qui se dessine, cool ! ET, on commence à avoir de vagues indices quant à la possible (sur)nature d’une partie des protagonistes (ahah the plot thickens !), cool !

Je fini donc ce chapitre et passe tant bien que mal au suivant, on ne revient toujours pas à un des personnages déjà présenté (mazette mais il y a combien d’histoires à suivre, j’ai peur !), cette fois c’est Parascève. Dernier personnage qui nous est présenté dont les traits vont avoir tendance à se confondre avec Rachel dans mon esprit, et dont les visions ne sont que prétexte pour rendre le lecteur encore plus confus qu’il ne l’est déjà : elles nous sont livrées sans crier gare et sans contexte aucun…

Car bien sûr, en plus de changer de personnage à chaque chapitre, ces derniers nous apportent plus de questionnements que de détails. Il y a donc très peu de certitudes à se mettre sous la dent pour ne serait-ce qu’essayer de dresser une image mentale de chaque protagoniste et leur décor… Bonne chance pour faire autrement que de lire ce livre d’une traite si vous voulez y comprendre quoi que ce soit. Et puis cette plume que me parut si belle pendant les 2 premiers chapitres devint vite lourde, voir obséquieuse. Dommage peut-être aurais-je pu m’y rattacher… Et puis c’est d’un soooombre… et ça ne fait que s’enfoncer au fil des pages. Je n’étais vraiment pas dans le bon état d’esprit pour ce roman. La fin pourtant si bien orchestrée en est même éclipsée.

--------------EN GROS--------------
CE LIVRE EST POUR TOI SI :
tu aimes les histoires décousues
tu aimes les histoires nostalgiques voire carrément déprimantes
tu cherches des vampires réalistes dans leur
tu aimes être volontairement laissé dans le flou
CE LIVRE N’EST PAS POUR TOI SI :
tu es en proie à la déprime ou la nostalgie
tu as besoin d’un minimum de cohérence
tu n’aimes pas la violence gratuite

On me parle d’une histoire de vampires remasterisés, d’une plume incroyablement belle et fournie, de personnages intéressants, d’une superbe fin qui vient couronner le tout.
Et en fait, tout y est, sauf que…
J’ai été incapable de rentrer dans le livre ! Déjà, on commence avec Athalie qui, disons-le clairement est une sorte de sadique millénaire assoiffée d’amour autant que de sang. J’ai le cœur bien accroché pourtant, mais s’il y a bien une chose que je ne peux pas encadrer c’est la violence gratuite. Athalie n’est que ça.

Ensuite, il y a le chapitre de Egmont, que j’ai ADORÉ, un carré amoureux (quoiqu’on ne puisse vraiment parler d’amour que pour d’eux des personnes concernées) LGBTQ assez vraisemblable, un décor romantico-gothique à souhait, la plume tout en emphase et tournures poétiques qui vient agrémenter tout ça. Là je me dis OK il y a peut-être un espoir, je n’ai qu’à sauter les chapitres d’Athalie (je regrette encore de ne pas l’avoir fait d’ailleurs car ça va de mal en pis dans cette histoire).

Donc, vient le chapitre de Rachel, bon un personnage de plus, murée dans une sorte de snobisme que je comprends et que j’exècre en même temps (chapeau à l’auteur de me faire ressentir tout ça). Une autre histoire de fascination pour quelqu’un, ok déjà vu… Déjà l’écriture me parait en faire trop (moi qui pourtant, fait des phrases longues de trois lignes, trop c’est trop) je commence à lire en diagonale. Bon par contre, c’est à nouveau un couple LGBTQ qui se dessine, cool ! ET, on commence à avoir de vagues indices quant à la possible (sur)nature d’une partie des protagonistes (ahah the plot thickens !), cool !

Je fini donc ce chapitre et passe tant bien que mal au suivant, on ne revient toujours pas à un des personnages déjà présenté (mazette mais il y a combien d’histoires à suivre, j’ai peur !), cette fois c’est Parascève. Dernier personnage qui nous est présenté dont les traits vont avoir tendance à se confondre avec Rachel dans mon esprit, et dont les visions ne sont que prétexte pour rendre le lecteur encore plus confus qu’il ne l’est déjà : elles nous sont livrées sans crier gare et sans contexte aucun…

Car bien sûr, en plus de changer de personnage à chaque chapitre, ces derniers nous apportent plus de questionnements que de détails. Il y a donc très peu de certitudes à se mettre sous la dent pour ne serait-ce qu’essayer de dresser une image mentale de chaque protagoniste et leur décor… Bonne chance pour faire autrement que de lire ce livre d’une traite si vous voulez y comprendre quoi que ce soit. Et puis cette plume que me parut si belle pendant les 2 premiers chapitres devint vite lourde, voir obséquieuse. Dommage peut-être aurais-je pu m’y rattacher… Et puis c’est d’un soooombre… et ça ne fait que s’enfoncer au fil des pages. Je n’étais vraiment pas dans le bon état d’esprit pour ce roman. La fin pourtant si bien orchestrée en est même éclipsée.

--------------EN GROS--------------
CE LIVRE EST POUR TOI SI :
tu aimes les histoires décousues
tu aimes les histoires nostalgiques voire carrément déprimantes
tu cherches des vampires réalistes dans leur
tu aimes être volontairement laissé dans le flou
CE LIVRE N’EST PAS POUR TOI SI :
tu es en proie à la déprime ou la nostalgie
tu as besoin d’un minimum de cohérence
tu n’aimes pas la violence gratuite