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A review by mimi_joe_lit
Vox by Christina Dalcher
3.0
une dystopie originale avec de bonnes idées !
J'ai bien aimé cette lecture, vraiment, même si la féministe en moi avait la rage au bord des lèvres pendant tout le récit. Une lecture qui m'a prise aux tripes et m'a donné envie d'hurler toute ma colère à la face du monde.
Parce que oui la société dépeinte dans ce roman m'a fait enrager comme jamais, une société où les femmes n'ont pas leur mot à dire, du moins elles n'ont le droit qu'à 100 mots par jour sous peine d'être éléctrisées par leur compte-mot qui est autour de leur poignet.
Mais ce n'est pas tout car les femmes n'ont également plus le droit de travailler ni d'avoir un compte en banque en bref nous revoilà des centaines d'années en arrière où la place de la femme se trouvait à la maison.
Mais ce roman ne m'a pas juste fait enrager, il m'a aussi fait peur. Peur des idées désuètes et réductrices sur la place de la femme pourtant et malheureusement encore d'actualité aujourd'hui pour certaines, peur des hommes, peur du lavage de cerveau qu'on voit opérer sur les petits jeunes et qui trouvent tout ça juste normal. Peur de la facilité avec laquelle ce tout nouveau système s'est imposé. Peur de voir que ça pourrait être nous.
En bref un récit choc saissisant qui fait réfléchir.
Seul petit bémol selon moi : la fin. Je l'ai bien aimé mais trouvé trop expéditive. Quelques dizaines de pages en plus n'auraient pas été de trop pour vraiment approfondir le final.
Ma note :
J'ai bien aimé cette lecture, vraiment, même si la féministe en moi avait la rage au bord des lèvres pendant tout le récit. Une lecture qui m'a prise aux tripes et m'a donné envie d'hurler toute ma colère à la face du monde.
Parce que oui la société dépeinte dans ce roman m'a fait enrager comme jamais, une société où les femmes n'ont pas leur mot à dire, du moins elles n'ont le droit qu'à 100 mots par jour sous peine d'être éléctrisées par leur compte-mot qui est autour de leur poignet.
Mais ce n'est pas tout car les femmes n'ont également plus le droit de travailler ni d'avoir un compte en banque en bref nous revoilà des centaines d'années en arrière où la place de la femme se trouvait à la maison.
Mais ce roman ne m'a pas juste fait enrager, il m'a aussi fait peur. Peur des idées désuètes et réductrices sur la place de la femme pourtant et malheureusement encore d'actualité aujourd'hui pour certaines, peur des hommes, peur du lavage de cerveau qu'on voit opérer sur les petits jeunes et qui trouvent tout ça juste normal. Peur de la facilité avec laquelle ce tout nouveau système s'est imposé. Peur de voir que ça pourrait être nous.
En bref un récit choc saissisant qui fait réfléchir.
Seul petit bémol selon moi : la fin. Je l'ai bien aimé mais trouvé trop expéditive. Quelques dizaines de pages en plus n'auraient pas été de trop pour vraiment approfondir le final.
Ma note :