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waltzofbirds 's review for:
L'Île des chasseurs d'oiseaux
by Peter May
Quelle déception !
Le point positif : l’Écosse y est bien décrite et je suis très curieuse de découvrir l’Ile de Lewis. J’ai beaucoup aimé les quelques scènes qui se passaient à Glasgow (la joie de pouvoir visualiser une rue c’est quand même quelque chose).
Un autre point positif au début mais qui ensuite m’a ennuyée : le changement constant d’un chapitre sur l’enquête suivi d’un chapitre sur la vie du personnage principal.
Il y a eu quelques bons moments que je n’avais pas vu venir.
Le négatif
- le personnage principal qui est relativement ennuyant et plein de contradictions (qui je pense ne sont pas voulues). Dès qu’il rencontre une femme on nous rappelle qu’il est très beau etc, même si ça n’a rien à voir avec le plot
- les dialogues avec les femmes et les personnages féminins sont écrits avec les pieds.
- il y a finalement très peu d’enquête dans le livre et à la finj’ai l’impression que tout s’accélère soudainement (il y a 420 pages quand même). J’ai trouvé l’annonce du père d’Artair pédophile vraiment étrange : soit je n’ai pas compris les insinuations plus tôt dans le roman soit il n’y en avait pas et ce serait dommage.
- la fin avec le résultat des tests ADN m’a fait lever les yeux au ciel.
Le point positif : l’Écosse y est bien décrite et je suis très curieuse de découvrir l’Ile de Lewis. J’ai beaucoup aimé les quelques scènes qui se passaient à Glasgow (la joie de pouvoir visualiser une rue c’est quand même quelque chose).
Un autre point positif au début mais qui ensuite m’a ennuyée : le changement constant d’un chapitre sur l’enquête suivi d’un chapitre sur la vie du personnage principal.
Il y a eu quelques bons moments que je n’avais pas vu venir.
Le négatif
- le personnage principal qui est relativement ennuyant et plein de contradictions (qui je pense ne sont pas voulues). Dès qu’il rencontre une femme on nous rappelle qu’il est très beau etc, même si ça n’a rien à voir avec le plot
- les dialogues avec les femmes et les personnages féminins sont écrits avec les pieds.
- il y a finalement très peu d’enquête dans le livre et à la finj’ai l’impression que tout s’accélère soudainement (il y a 420 pages quand même). J’ai trouvé l’annonce du père d’Artair pédophile vraiment étrange : soit je n’ai pas compris les insinuations plus tôt dans le roman soit il n’y en avait pas et ce serait dommage.
- la fin avec le résultat des tests ADN m’a fait lever les yeux au ciel.