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A review by slutforalbertcamus
Crime et châtiment tome 2 (Crime and Punishment #2) by Fyodor Dostoevsky
challenging
dark
mysterious
reflective
tense
slow-paced
- Plot- or character-driven? Character
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? No
- Flaws of characters a main focus? Yes
4.0
C'est ma critique sans analyse poussée, direct après avoir refermé le livre et sans temps de réflexion.
Mon premier réflexe est de parler de la fin. Les deux derniers chapitres de ce livre continuent cette longue tradition que j'ai de lire des livres avec des fins magnifiques, que ce soit L'Etranger, Les Fleurs du Mal, Du Côté de Chez Swann ou même l'Ingénu (un livre que je hais à part pour cette fin), les fins sont souvent les meilleurs parties du roman. Cette fin adresse enfin la résurrection qui a été présentée à travers tout ce long récit, à travers le personnage de Sonia, Porphiri, et simplement le mythe de Lazare. Cette fin acte la résurrection par l'amour, ce qui en tant que tel pourrait paraître un peu... déjà vu, mais qui semble dans ce roman prendre une forme toute nouvelle et incroyablement touchante.
Du reste je dirais que ce livre est un chef-d'oeuvre thématique, dans le sens où tous les concepts ici explorés sont parfaitement reliés et atteignent tous des conclusions satisfaisantes. Le livre a des défauts certains, avec l'antisémitisme au premier plan et peut-être le traitement des personnages féminins, et Dostoïevski n'est certainement pas un ange. Mais malgré tout cela, c'est une lecture intense et immensément immersive que propose ce livre.
Mon premier réflexe est de parler de la fin. Les deux derniers chapitres de ce livre continuent cette longue tradition que j'ai de lire des livres avec des fins magnifiques, que ce soit L'Etranger, Les Fleurs du Mal, Du Côté de Chez Swann ou même l'Ingénu (un livre que je hais à part pour cette fin), les fins sont souvent les meilleurs parties du roman. Cette fin adresse enfin la résurrection qui a été présentée à travers tout ce long récit, à travers le personnage de Sonia, Porphiri, et simplement le mythe de Lazare. Cette fin acte la résurrection par l'amour, ce qui en tant que tel pourrait paraître un peu... déjà vu, mais qui semble dans ce roman prendre une forme toute nouvelle et incroyablement touchante.
Du reste je dirais que ce livre est un chef-d'oeuvre thématique, dans le sens où tous les concepts ici explorés sont parfaitement reliés et atteignent tous des conclusions satisfaisantes. Le livre a des défauts certains, avec l'antisémitisme au premier plan et peut-être le traitement des personnages féminins, et Dostoïevski n'est certainement pas un ange. Mais malgré tout cela, c'est une lecture intense et immensément immersive que propose ce livre.
Graphic: Violence and Murder
Moderate: Misogyny and Antisemitism
Minor: Racial slurs