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A review by froggiendie
La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert by Joël Dicker
2.0
Ce gros roman de 800 pages fut une lecture intéressante et divertissante mais sans plus. L'histoire est narrée par Marcus, un écrivain renommé en pleine panne d'écriture. Dès les premiers instants où il est décrit, sa personnalité est imbuvable.
L'univers des livres et des auteurs est plongé dans le système capitaliste. Les maisons d'éditions mettent en avant les ventes, faisant des auteurs des outils de rentrée d'argent. Le réalisme de cet aspect de l'histoire était détestable pour moi, car en effet, tout auteur peur viser la gloire au détriment de la qualité de ses écrits.
En ce qui concerne l'intrigue, ce fut un grand jeu de fausses pistes. Tous les individus présentaient de bonnes raisons pour commettre ce crime. Mais à chaque chapitre, la roue tourne et un autre suspect apparaît. Au début, ce fut amusant. Mais à la longue, cela m'a plus fatigué qu'autre chose. Et sans parler de cette romance écoeurante entre un homme de 34 ans et une fillette de 15 ans tellement romantisée. J'avais l'impression que l'auteur voulait absolument nous convaincre que cela est "normal".
De plus que leur histoire n'a duré que deux mois et cet homme l'a décrite comme l'amour de sa vie, ne pouvant passer à autre chose. Cet écart d'âge fut pour moi inconcevable, ce qui a floppé le roman.
Le point positif que j'ai trouvé fut la structure. Jonglant entre une narration au présent (2008) et l'été 1975, la structure de l'histoire est claire et facile à suivre.
Au final, ce livre était saturé de rebondissements alors que le dénouement était assez évident à mon goût. Ce fut "La vérité sur Harry Quebert" révélé à la toute fin qui m'a réellement surprise.
Au delà de ça, les personnages me sont tout simplement antipathiques et énervants. Si tel était le but de l'auteur alors il a bien réussi son coup.
L'univers des livres et des auteurs est plongé dans le système capitaliste. Les maisons d'éditions mettent en avant les ventes, faisant des auteurs des outils de rentrée d'argent. Le réalisme de cet aspect de l'histoire était détestable pour moi, car en effet, tout auteur peur viser la gloire au détriment de la qualité de ses écrits.
En ce qui concerne l'intrigue, ce fut un grand jeu de fausses pistes. Tous les individus présentaient de bonnes raisons pour commettre ce crime. Mais à chaque chapitre, la roue tourne et un autre suspect apparaît. Au début, ce fut amusant. Mais à la longue, cela m'a plus fatigué qu'autre chose. Et sans parler de cette romance écoeurante entre un homme de 34 ans et une fillette de 15 ans tellement romantisée. J'avais l'impression que l'auteur voulait absolument nous convaincre que cela est "normal".
De plus que leur histoire n'a duré que deux mois et cet homme l'a décrite comme l'amour de sa vie, ne pouvant passer à autre chose. Cet écart d'âge fut pour moi inconcevable, ce qui a floppé le roman.
Le point positif que j'ai trouvé fut la structure. Jonglant entre une narration au présent (2008) et l'été 1975, la structure de l'histoire est claire et facile à suivre.
Au final, ce livre était saturé de rebondissements alors que le dénouement était assez évident à mon goût. Ce fut "La vérité sur Harry Quebert" révélé à la toute fin qui m'a réellement surprise.
Au delà de ça, les personnages me sont tout simplement antipathiques et énervants. Si tel était le but de l'auteur alors il a bien réussi son coup.