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A review by rhaenyrareads
Je t'ai rêvé by Francesca Zappia
4.0
J'ai pas de mots là.
Les premières choses qui m’avaient interpellée dans ce livre c’étaient sa couverture et son titre. Le mélange des deux m’a donné envie de m’y intéresser. On y sentait déjà la poésie et le côté peut-être plein d’émotions de l’histoire.
En choisissant ce roman, et en commençant ma lecture je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. J’avais trop peur que ça me brise le cœur en mille morceaux. Ou alors que ça puisse ne pas me convenir. Je ne pensais vraiment pas m’attacher autant à ce livre. Ca a été une lecture surprenante. Poétique, attachante, agréable.
Le premier chapitre nous plonge dans un univers assez poétique. C’est notamment ceci qui a fait que je me suis accrochée à ma lecture, aux personnages et à l’histoire. C’était vraiment mignon, amusant et donnait une entrée en manière accrocheuse.
Narré à la première personne, on se retrouve dans la tête d’Alex (Alexandra), schizophrène. Je l’ai trouvée vraiment attachante. Au final, je ne l’ai pas trouvée si différente de « la normale », de nous, de moi. Elle vit à sa manière avec ses habitudes pour essayer de comprendre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas, ce qu’elle invente. On la suit dans son nouveau lycée où - je trouve - elle réussit à s’intégrer dans un groupe assez atypique. J’ai pu me reconnaître un peu en elle.
J’avoue que la première moitié du roman était un peu trop lente, un peu vide, je me demandais quand est-ce qu’il allait se passer quelque chose. Et une fois qu’on plonge dans la seconde moitié, ça ne s’arrête plus. J’ai été un peu prise aux tripes lorsqu’on a cette flopée de révélations sur plusieurs personnages. On est avec eux et on ne veut plus lâcher sa lecture tant qu’on a pas découvert plus, tant qu’on a pas compris, tant qu’on ne voit pas comment ils s’en sortent et s’ils s’en sortent. Ces nombreux rebondissements vous provoquent un effet d’ascenseur émotionnel tout le long de cette lecture.
Francesca Zappia a réussi à me séduire dans un type d’histoire qui d’habitude ne me donne pas tant envie que ça. L’attitude des personnages n’étaient ni exagérées ni très éloignées de la réalité. Tout était bien à sa place. Sa façon d’écrire, ses personnages, tout ça m’a emportée dans l’histoire sans que je ne le remarque, alors chapeau bas. J’ai a-do-ré le personnages de Miles. Un petit coup de cœur sur ce garçon au grand cœur, et au grand courage. Alex l’était aussi, très courageuse.
Cette lecture je la conseille vraiment. Si vous voulez lire une histoire qui traite d’une maladie, sans avoir le cœur trop brisé, sans finir en larmes, sans trop en sortir chamboulé, Je t’ai rêvé est l’idéal. Poétique, amusant, léger, et qui prend quand même au cœur au moment où il le faut. Et surtout qui donne un petit exemple sur les bonnes attitudes à avoir : Alex et Miles ont su se battre et garder la tête haute malgré tout, avec leurs moments de faiblesses, comme tout être humain que nous sommes.
Les premières choses qui m’avaient interpellée dans ce livre c’étaient sa couverture et son titre. Le mélange des deux m’a donné envie de m’y intéresser. On y sentait déjà la poésie et le côté peut-être plein d’émotions de l’histoire.
En choisissant ce roman, et en commençant ma lecture je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. J’avais trop peur que ça me brise le cœur en mille morceaux. Ou alors que ça puisse ne pas me convenir. Je ne pensais vraiment pas m’attacher autant à ce livre. Ca a été une lecture surprenante. Poétique, attachante, agréable.
Le premier chapitre nous plonge dans un univers assez poétique. C’est notamment ceci qui a fait que je me suis accrochée à ma lecture, aux personnages et à l’histoire. C’était vraiment mignon, amusant et donnait une entrée en manière accrocheuse.
Narré à la première personne, on se retrouve dans la tête d’Alex (Alexandra), schizophrène. Je l’ai trouvée vraiment attachante. Au final, je ne l’ai pas trouvée si différente de « la normale », de nous, de moi. Elle vit à sa manière avec ses habitudes pour essayer de comprendre ce qui est réel et ce qui ne l’est pas, ce qu’elle invente. On la suit dans son nouveau lycée où - je trouve - elle réussit à s’intégrer dans un groupe assez atypique. J’ai pu me reconnaître un peu en elle.
J’avoue que la première moitié du roman était un peu trop lente, un peu vide, je me demandais quand est-ce qu’il allait se passer quelque chose. Et une fois qu’on plonge dans la seconde moitié, ça ne s’arrête plus. J’ai été un peu prise aux tripes lorsqu’on a cette flopée de révélations sur plusieurs personnages. On est avec eux et on ne veut plus lâcher sa lecture tant qu’on a pas découvert plus, tant qu’on a pas compris, tant qu’on ne voit pas comment ils s’en sortent et s’ils s’en sortent. Ces nombreux rebondissements vous provoquent un effet d’ascenseur émotionnel tout le long de cette lecture.
Francesca Zappia a réussi à me séduire dans un type d’histoire qui d’habitude ne me donne pas tant envie que ça. L’attitude des personnages n’étaient ni exagérées ni très éloignées de la réalité. Tout était bien à sa place. Sa façon d’écrire, ses personnages, tout ça m’a emportée dans l’histoire sans que je ne le remarque, alors chapeau bas. J’ai a-do-ré le personnages de Miles. Un petit coup de cœur sur ce garçon au grand cœur, et au grand courage. Alex l’était aussi, très courageuse.
Cette lecture je la conseille vraiment. Si vous voulez lire une histoire qui traite d’une maladie, sans avoir le cœur trop brisé, sans finir en larmes, sans trop en sortir chamboulé, Je t’ai rêvé est l’idéal. Poétique, amusant, léger, et qui prend quand même au cœur au moment où il le faut. Et surtout qui donne un petit exemple sur les bonnes attitudes à avoir : Alex et Miles ont su se battre et garder la tête haute malgré tout, avec leurs moments de faiblesses, comme tout être humain que nous sommes.