Take a photo of a barcode or cover
thelausdiaries 's review for:
War
by Laura Thalassa
3.25/5
Typiquement avec ce livre ça partait bien… mais j’ai décroché au dernier quart, tout compte fait. Déjà, l’intrigue de base m’a laissée un peu perplexe. Je cherchais le « pourquoi », et je ne sais pas si je suis convaincue par l’explication qui arrive tardivement. Mais je suis passée au dessus et ça ne m’empêchait pas de profiter de cette lecture.
S’agissant des deux protagonistes, je pense que je les ai préférés à ceux du tome précédent ! Ils avaient un petit truc en plus qui m’a plu. J’ai notamment adoré le caractère de Miriam, sa volonté d’en découdre et de ne pas abandonner à la première difficulté. Son passé familial m’a également touchée ! Du côté de War, j’ai aimé que, comme Pestilence, il ne devienne pas un agneau d’un coup. Il reste conditionné par sa mission, et c’était bizarrement un plaisir de suivre ses horreurs.
J’ai donc eu plus de mal avec la fin, qui tombe un peu dans les facilités a mon sens. Certains moments deviennent un peu cringe, et il y a surtout un trope que je déteste vers 80%. Mais bon, ce sont mes goûts. L’élément de résolution était très prévisible, ce qui fait que malgré le contexte les rebondissements ne m’ont pas inquiétée. Mais je retiens de cette lecture une histoire sympa à découvrir avec une plume addictive !
Typiquement avec ce livre ça partait bien… mais j’ai décroché au dernier quart, tout compte fait. Déjà, l’intrigue de base m’a laissée un peu perplexe. Je cherchais le « pourquoi », et je ne sais pas si je suis convaincue par l’explication qui arrive tardivement. Mais je suis passée au dessus et ça ne m’empêchait pas de profiter de cette lecture.
S’agissant des deux protagonistes, je pense que je les ai préférés à ceux du tome précédent ! Ils avaient un petit truc en plus qui m’a plu. J’ai notamment adoré le caractère de Miriam, sa volonté d’en découdre et de ne pas abandonner à la première difficulté. Son passé familial m’a également touchée ! Du côté de War, j’ai aimé que, comme Pestilence, il ne devienne pas un agneau d’un coup. Il reste conditionné par sa mission, et c’était bizarrement un plaisir de suivre ses horreurs.
J’ai donc eu plus de mal avec la fin, qui tombe un peu dans les facilités a mon sens. Certains moments deviennent un peu cringe, et il y a surtout un trope que je déteste vers 80%. Mais bon, ce sont mes goûts. L’élément de résolution était très prévisible, ce qui fait que malgré le contexte les rebondissements ne m’ont pas inquiétée. Mais je retiens de cette lecture une histoire sympa à découvrir avec une plume addictive !