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lilymathildea 's review for:
Belle de gris
by Ariel Holzl
Quel ennui ce tome 2 des sœurs Carmines…
Déjà de base j’ai beaucoup de mal avec la première personne du singulier mais quand le vice est poussé à son extrême avec un personnage aussi autocentré et arrogant que Tristabelle, autant dire que j’ai serré les dents très fort pour le finir. Et toutes ces invectives au lecteur… mon dieu mais laissez nous lire en paix ! Sincèrement j’aurais été ravie de voir Tristabelle mourir surtout si c’était aux mains de n’importe qui d’autre que Kat (elle sert à quoi?).
Si au moins les indices et rebondissements avaient été bien ficelés mais pour le coup nous avons droits à des milliers de pistes soulevées pour ne rien donner in fine (voir pour finir en absence total d’impact) uniquement pour servir à quelque mini détail, et les deux fois où il aurait été sympathique de tenter de deviner il y avait peu voir pas d’indices donnés, bon. Résultats Tristabelle s’en sort de manière complètement improbable et bien pratique à chaque fois, voir elle n’a même pas besoin de s’en sortir puisqu’il semble ne pas y avoir de conséquences pour la moitié de ses actes… hugh !
Sans surprise les seuls chapitres que j’ai appréciés étaient ceux autour de n’importe qui d’autre que Tristabelle puisqu’en plus de ne pas avoir à y souffrir de son arrogance d’une lourdeur insupportable c’était des chapitres écrits à la troisième personne, ouf ! J’imagine que cela montre bien tout l’intérêt de l’utilisation du « je » mais ça me reste indigeste.
La seule chose que j’ai apprécié dans les aventures de Tristabelle, c’était l’émeute causée pour une paire d’escarpins ! D’ailleurs ça me fait penser : quel gâchis de personnage que l’inspecteur Creusombre ! Il était pourtant prometteur en arch enemy mais non, il tombe amoureux et meure dans la foulée sans rien servir d’autre que de bouclier (bon au moins c’est un homme qui sert à faire évoluer un personnage féminin plutôt que l’habituel inverse).
Bref un livre lu parce qu’il le faut bien pour passer au tome trois et la cadette des sœurs je l’espère, les aptitudes de Dolorine m’intriguent vraiment. Les petits passages mignons sur Merryvere et Blaise m’ont fait sourire et j’ai été contente de retrouver la plume de Ariel Holz malgré cette insupportable utilisation de première personne du singulier ! (Non je ne m’en remets pas).
Déjà de base j’ai beaucoup de mal avec la première personne du singulier mais quand le vice est poussé à son extrême avec un personnage aussi autocentré et arrogant que Tristabelle, autant dire que j’ai serré les dents très fort pour le finir. Et toutes ces invectives au lecteur… mon dieu mais laissez nous lire en paix ! Sincèrement j’aurais été ravie de voir Tristabelle mourir surtout si c’était aux mains de n’importe qui d’autre que Kat (elle sert à quoi?).
Si au moins les indices et rebondissements avaient été bien ficelés mais pour le coup nous avons droits à des milliers de pistes soulevées pour ne rien donner in fine (voir pour finir en absence total d’impact) uniquement pour servir à quelque mini détail, et les deux fois où il aurait été sympathique de tenter de deviner il y avait peu voir pas d’indices donnés, bon. Résultats Tristabelle s’en sort de manière complètement improbable et bien pratique à chaque fois, voir elle n’a même pas besoin de s’en sortir puisqu’il semble ne pas y avoir de conséquences pour la moitié de ses actes… hugh !
Sans surprise les seuls chapitres que j’ai appréciés étaient ceux autour de n’importe qui d’autre que Tristabelle puisqu’en plus de ne pas avoir à y souffrir de son arrogance d’une lourdeur insupportable c’était des chapitres écrits à la troisième personne, ouf ! J’imagine que cela montre bien tout l’intérêt de l’utilisation du « je » mais ça me reste indigeste.
La seule chose que j’ai apprécié dans les aventures de Tristabelle, c’était l’émeute causée pour une paire d’escarpins ! D’ailleurs ça me fait penser : quel gâchis de personnage que l’inspecteur Creusombre ! Il était pourtant prometteur en arch enemy mais non, il tombe amoureux et meure dans la foulée sans rien servir d’autre que de bouclier (bon au moins c’est un homme qui sert à faire évoluer un personnage féminin plutôt que l’habituel inverse).
Bref un livre lu parce qu’il le faut bien pour passer au tome trois et la cadette des sœurs je l’espère, les aptitudes de Dolorine m’intriguent vraiment. Les petits passages mignons sur Merryvere et Blaise m’ont fait sourire et j’ai été contente de retrouver la plume de Ariel Holz malgré cette insupportable utilisation de première personne du singulier ! (Non je ne m’en remets pas).