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A review by clockworkstars
Darius le Grand ne va pas bien by Adib Khorram
challenging
emotional
lighthearted
- Plot- or character-driven? A mix
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? Yes
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? Yes
5.0
"Suicide isn't the only way you can lose someone to depression."
5☆|5
La première chose à savoir est que j'ai pleuré. La seconde chose à savoir est que ce livre m'a apaisée, reconstruite et m'a fait du bien. J'ai ris durant ma lecture, ris à gorge déployée. J'ai beaucoup souris aussi. Ce livre m'a fait un bien incroyable. Si je devais le comparer à un autre, même si le fais très rarement, ce serait sans hésitation avec Aristote et Dante. Car il me l'a rappelé dans certaines phrases. Car il m'a fait tant de bien et que j'ai sombré pour des passages. À cause des thèmes, parfois, souvent. À cause de ce lien unique et magnifique liant les personnages.
Ce livre est sublime. La plume est magnifique bien que parfois sinique. On suit Darius, Darioush pour sa famille en Iran, adolescent en dépression. Pas qu'il lui soit arrivé quelque chose de grave, il est juste né comme ça. On suit Darius qui va se rendre en Iran, sur la terre de ses origines et ses ancêtres car son grand père va mourir. Or Darius parle plus Klingon que Farsi et ne connaît au final pas grand chose à cette culture qui est en partie la sienne. Darius existe perdu entre ses deux cultures, ne pensant pas trouver sa place. Et il va rencontrer Sohrab. Et leur relation, leur lien, va devenir votre nouvelle raison de vivre.
J'ai adoré suivre Darius. Vraiment. La plume était extraordinaire. Et puis, il y a tout le reste. L'histoire, les thèmes, la manière de les aborder. Tant de pansements posé sur mon cœur pour le réparer. Ce livre m'a semblé profondément doux et puissant. Et même si ces deux mots ne coïncident pas, il les a équilibré à la perfection, l'auteur a créé ce roman en peignant une perfection, une représentation de la dépression qui m'a réparé, une œuvre qui m'a fait un bien fou. Mais ce qui a achevé de faire couler mes larmes, fut sans nul doute la postface. Elles étaient prêtes, en tournant la dernière page de l'histoire. Car on sait que ce ne sera plus pareil. Et elles sont sorties à toute allure en lisant les mots de l'auteur, le comment il vit sa propre dépression.
J'ai désormais juste envie de remercier l'auteur. D'avoir créé ceci. Pour les thèmes, sublimement abordés comme ils le méritaient. Pour les personnages, si bien construits et réels. Pour la plume, envoûtante et merveilleuse. Pour le bien que ça a pu faire à tant de personnes. J'ai adoré ce livre pour tout ça. Et puis pour les relations, certains passages, mes fois rires. Merci monsieur Adib Khorram pour cela. Merci.
La première chose à savoir est que j'ai pleuré. La seconde chose à savoir est que ce livre m'a apaisée, reconstruite et m'a fait du bien. J'ai ris durant ma lecture, ris à gorge déployée. J'ai beaucoup souris aussi. Ce livre m'a fait un bien incroyable. Si je devais le comparer à un autre, même si le fais très rarement, ce serait sans hésitation avec Aristote et Dante. Car il me l'a rappelé dans certaines phrases. Car il m'a fait tant de bien et que j'ai sombré pour des passages. À cause des thèmes, parfois, souvent. À cause de ce lien unique et magnifique liant les personnages.
Ce livre est sublime. La plume est magnifique bien que parfois sinique. On suit Darius, Darioush pour sa famille en Iran, adolescent en dépression. Pas qu'il lui soit arrivé quelque chose de grave, il est juste né comme ça. On suit Darius qui va se rendre en Iran, sur la terre de ses origines et ses ancêtres car son grand père va mourir. Or Darius parle plus Klingon que Farsi et ne connaît au final pas grand chose à cette culture qui est en partie la sienne. Darius existe perdu entre ses deux cultures, ne pensant pas trouver sa place. Et il va rencontrer Sohrab. Et leur relation, leur lien, va devenir votre nouvelle raison de vivre.
J'ai adoré suivre Darius. Vraiment. La plume était extraordinaire. Et puis, il y a tout le reste. L'histoire, les thèmes, la manière de les aborder. Tant de pansements posé sur mon cœur pour le réparer. Ce livre m'a semblé profondément doux et puissant. Et même si ces deux mots ne coïncident pas, il les a équilibré à la perfection, l'auteur a créé ce roman en peignant une perfection, une représentation de la dépression qui m'a réparé, une œuvre qui m'a fait un bien fou. Mais ce qui a achevé de faire couler mes larmes, fut sans nul doute la postface. Elles étaient prêtes, en tournant la dernière page de l'histoire. Car on sait que ce ne sera plus pareil. Et elles sont sorties à toute allure en lisant les mots de l'auteur, le comment il vit sa propre dépression.
J'ai désormais juste envie de remercier l'auteur. D'avoir créé ceci. Pour les thèmes, sublimement abordés comme ils le méritaient. Pour les personnages, si bien construits et réels. Pour la plume, envoûtante et merveilleuse. Pour le bien que ça a pu faire à tant de personnes. J'ai adoré ce livre pour tout ça. Et puis pour les relations, certains passages, mes fois rires. Merci monsieur Adib Khorram pour cela. Merci.