spoiler : Victor Hugo est contre la peine de mort. J’ai honnêtement trouvé mieux écrit et plus intéressant la pièce de théâtre dans la préface de cette édition et la préface de 1832 que le texte d’Hugo en lui même.
Au début, cette histoire m'a frustrée car j'aurais préféré en savoir plus sur comment ils en étaient arrivés à ce fonctionnement, comment ils avaient réalisé leurs outils sans polluer, comment ils arrivaient à cette utopie. Je voulais un guide, des solutions, des explications. Surtout dans cette période de fascisation du monde. Puis le robot (Omphale) est apparu et je me suis apaisée. J'ai compris. Leurs conversations sont pleines de philosophie, de tendresse, de vulnérabilité et de bienveillance. Leurs paroles sont belles et rassurantes tout en posant des questions existentielles sur notre existence ou notre recherche de but. Le fait que même dans une utopie l'humain soit incapable de simplement "vivre" sans être "utile" me fascine et m'inquiète.
the writing is a bit matter of factly so I had to adjust at first, but it become more poetic as the story unfolded.
it’s the story of humanity, the urge to love and to be loved, the mundane love in a couple, changing for better or worse and missing people we once loved and sometimes still do.