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3.59 AVERAGE
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Lecture agréable. Stendhal a réussi à me rendre tous ses personnages intéressants. Ils sont profonds, complexes, surprenants. Chaque variation émotionnelle est précisément analysée en peu de phrases, et il laisse évoluer lentement les sentiments enfouis jusqu'à l'explosion.
Je dois confesser une chose. Je n'ai pas d'admiration pour le parcours de Sorel, beaucoup de ses actes me débectent moralement, mais je suis saoulé de le voir toujours résumé à son ambitieux et son hypocrisie. Il n'est que le fruit de son époque. Tout le livre est là pour illustrer que ce siècle est gangréné par les magouilles et l'hypocrisie de la cave au grenier. Aucun milieu n'est épargné. Aussi bien la bourgeoisie provinciale que parisienne, l'aristocratie, les milieux d'affaires, et même la sainte église. L'ascenseur social est bloqué. La promotion au mérite est impossible. Alors, je préfère mille fois son hypocrisie à celle des autres. Ce qui se cache derrière la sienne me semble bien plus compréhensible, même si elle sera toujours plus vilipendée parce qu'il a la malheur de n'être pas bien né. Comme si le vice devait rester le privilège des riches.
Je me rends compte que dans tout mon verbiage colérique, j'ai oublié d'épargner Mme de Rénal et Mathilde. Oui, Sorel a été ingrat avec elles. Je serais incapable de dire s'il les a vraiment aimé un jour ou s'il n'a vu en elles que des instruments de son ambition. D'ailleurs, j'ai toujours trouvé ses ambitions floues. La seule qui me semble claire, c'est qu'il cherchait à fuir, sa famille, sa province, sa pauvreté... et finalement sa vie. Mathilde et Mme de Rénal auront beaucoup souffert à cause de lui mais il aura été pour elles un passionnant déclencheur de rébellion, comme un bras d'honneur aux hommes qui muselaient leurs vies. Il était l'antidote et le poison. Le rouge et le noir.
Le seul reproche que je pourrais finalement adressé à Stendhal, c'est celui de ne pas avoir assez laissé parler la voix intérieure de ses personnages. Il a malicieusement mis à jour leurs psychologies mais dans les dernières pages, notamment lors du procès, Sorel laisse échapper une vision très politique, et jamais avant ce moment, je n'ai vu ses pensées s'exprimer aussi clairement. En était-il incapable avant ? Peut-être.
Je dois confesser une chose. Je n'ai pas d'admiration pour le parcours de Sorel, beaucoup de ses actes me débectent moralement, mais je suis saoulé de le voir toujours résumé à son ambitieux et son hypocrisie. Il n'est que le fruit de son époque. Tout le livre est là pour illustrer que ce siècle est gangréné par les magouilles et l'hypocrisie de la cave au grenier. Aucun milieu n'est épargné. Aussi bien la bourgeoisie provinciale que parisienne, l'aristocratie, les milieux d'affaires, et même la sainte église. L'ascenseur social est bloqué. La promotion au mérite est impossible. Alors, je préfère mille fois son hypocrisie à celle des autres. Ce qui se cache derrière la sienne me semble bien plus compréhensible, même si elle sera toujours plus vilipendée parce qu'il a la malheur de n'être pas bien né. Comme si le vice devait rester le privilège des riches.
Je me rends compte que dans tout mon verbiage colérique, j'ai oublié d'épargner Mme de Rénal et Mathilde. Oui, Sorel a été ingrat avec elles. Je serais incapable de dire s'il les a vraiment aimé un jour ou s'il n'a vu en elles que des instruments de son ambition. D'ailleurs, j'ai toujours trouvé ses ambitions floues. La seule qui me semble claire, c'est qu'il cherchait à fuir, sa famille, sa province, sa pauvreté... et finalement sa vie. Mathilde et Mme de Rénal auront beaucoup souffert à cause de lui mais il aura été pour elles un passionnant déclencheur de rébellion, comme un bras d'honneur aux hommes qui muselaient leurs vies. Il était l'antidote et le poison. Le rouge et le noir.
Le seul reproche que je pourrais finalement adressé à Stendhal, c'est celui de ne pas avoir assez laissé parler la voix intérieure de ses personnages. Il a malicieusement mis à jour leurs psychologies mais dans les dernières pages, notamment lors du procès, Sorel laisse échapper une vision très politique, et jamais avant ce moment, je n'ai vu ses pensées s'exprimer aussi clairement. En était-il incapable avant ? Peut-être.
J'ai tenu 30 pages, c'est incompréhensible
challenging
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
What a slog. Really hated all the characters — I get that this was a critique of society, but everyone was unpleasant to read about, wishy washy, and so much of this book is just people sitting in drawing rooms, talking in circles.
adventurous
dark
reflective
medium-paced
Plot or Character Driven:
Plot
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
Yes
Flaws of characters a main focus:
Yes
"Como la señora de Rênal nunca leía novelas, todos los matices de su felicidad eran algo nuevo para ella".
No sé si es que está sobrevaloradísimo o si es que yo no he sabido apreciar todo su calado, pero se me ha hecho bola.
Es evidente que el ritmo de los clásicos del siglo XIX dista mucho del actual, pero no creo que esa sea la causa de que éste en concreto se me haya hecho tan lento, creo que tiene más que ver con lo poco que me importaba casi todo lo que estaba sucediendo: pasiones y reacciones que escapan a toda lógica y entendimiento, rozando en muchos casos lo ridículo; el ascenso social de un protagonista que me generaba cero empatía, al igual que todos los demás, en cualquiera de sus habituales dobles caras; el retrato sociopolítico de la Francia post-napoleónica, del que habría disfrutado más de haberme interesado realmente o de conocerlo con más profundidad. Todo ello a través de una prosa fría y expositiva que, más que acercarme, me alejaba, y que pasaba de puntillas por algunos momentos interesantes mientras se detenía demasiado en otros devenires, a mi parecer, repetitivos e insustanciales.
Lo más interesante del libro diría que es el reflejo de la situación política y su rastro ideológico en la sociedad, sus valores, hipocresías y bailes de máscaras. Si bien, también es de valorar ese acercamiento a lo que posteriormente denominaremos "novelas psicológicas" y la fluidez con la que el narrador pasa del interior al exterior de los personajes. Supongo que todo ello, así como la universalidad de la historia, es lo que la ha convertido en novela cumbre de la literatura, no sólo francesa. Pero definitivamente o no es para mí o no era mi momento, porque no he conseguido disfrutarla.
No sé si es que está sobrevaloradísimo o si es que yo no he sabido apreciar todo su calado, pero se me ha hecho bola.
Es evidente que el ritmo de los clásicos del siglo XIX dista mucho del actual, pero no creo que esa sea la causa de que éste en concreto se me haya hecho tan lento, creo que tiene más que ver con lo poco que me importaba casi todo lo que estaba sucediendo: pasiones y reacciones que escapan a toda lógica y entendimiento, rozando en muchos casos lo ridículo; el ascenso social de un protagonista que me generaba cero empatía, al igual que todos los demás, en cualquiera de sus habituales dobles caras; el retrato sociopolítico de la Francia post-napoleónica, del que habría disfrutado más de haberme interesado realmente o de conocerlo con más profundidad. Todo ello a través de una prosa fría y expositiva que, más que acercarme, me alejaba, y que pasaba de puntillas por algunos momentos interesantes mientras se detenía demasiado en otros devenires, a mi parecer, repetitivos e insustanciales.
Lo más interesante del libro diría que es el reflejo de la situación política y su rastro ideológico en la sociedad, sus valores, hipocresías y bailes de máscaras. Si bien, también es de valorar ese acercamiento a lo que posteriormente denominaremos "novelas psicológicas" y la fluidez con la que el narrador pasa del interior al exterior de los personajes. Supongo que todo ello, así como la universalidad de la historia, es lo que la ha convertido en novela cumbre de la literatura, no sólo francesa. Pero definitivamente o no es para mí o no era mi momento, porque no he conseguido disfrutarla.
adventurous
dark
emotional
reflective
tense
fast-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
Stendhall's the Red and the Black paints an intricate portrait of the social castes in 19th century France, from the Provençal's, to the petty bourgeois and the financial and social elite which controlled the upper echelons of French society.
Nothing is left out of the characters motivations and interests dictated by their socioeconomic position; he accomplishes this by psychologically investigating through the eyes of the adept and ambitious Julien Sorel, who has a gift for reading books as well as people which allowed him to rise quickly in society.
Without giving more away, this book absolutely entranced me from the first page. I have studied the French revolution in the past, but never with such exact intricacy and found myself reliant on the astute footnotes of the translators which allowed me to read this book with more nuance. After finishing I feel compelled to read up on the Napoleonic Era of French history once more to better understand the text. Even with my precarious understanding of the time period, the depth of the characters and the dramatic Romanticism of the plot were more than enough to hold my interest. I found myself hanging onto every last word. As I progressed throughout the book I was better able to predict the feelings of the characters from their fleeting glances and carefully constructed sentences; this is more of a testament to Stendhal's careful writing than to my understanding of 19th century French social dynamics.
Julien Sorel as a main character reminded me a lot of Light Yagami from Death Note: smart, ambitious, and self-assured. Both of these young men suffered from a strong yet shallow sense of justice and used the tools at their disposal to terrorize and deceive everyone around them.Ultimately, in both cases their ambitions and naivete led to their inevitable downfall.
To comment more on this specific edition. The inclusion of critical essays, maps and timetables gave me the resources to reassess the text with a more informed historical and scholarly context. Being 23 myself at the time of reading this book I felt a bit of a connection to Julien, I think its easy for young people to believe that they capable of absolutely anything once they achieve their first major successes of adulthood. Unchecked ambition rarely lasts.
Nothing is left out of the characters motivations and interests dictated by their socioeconomic position; he accomplishes this by psychologically investigating through the eyes of the adept and ambitious Julien Sorel, who has a gift for reading books as well as people which allowed him to rise quickly in society.
Without giving more away, this book absolutely entranced me from the first page. I have studied the French revolution in the past, but never with such exact intricacy and found myself reliant on the astute footnotes of the translators which allowed me to read this book with more nuance. After finishing I feel compelled to read up on the Napoleonic Era of French history once more to better understand the text. Even with my precarious understanding of the time period, the depth of the characters and the dramatic Romanticism of the plot were more than enough to hold my interest. I found myself hanging onto every last word. As I progressed throughout the book I was better able to predict the feelings of the characters from their fleeting glances and carefully constructed sentences; this is more of a testament to Stendhal's careful writing than to my understanding of 19th century French social dynamics.
Julien Sorel as a main character reminded me a lot of Light Yagami from Death Note: smart, ambitious, and self-assured. Both of these young men suffered from a strong yet shallow sense of justice and used the tools at their disposal to terrorize and deceive everyone around them.
To comment more on this specific edition. The inclusion of critical essays, maps and timetables gave me the resources to reassess the text with a more informed historical and scholarly context. Being 23 myself at the time of reading this book I felt a bit of a connection to Julien, I think its easy for young people to believe that they capable of absolutely anything once they achieve their first major successes of adulthood. Unchecked ambition rarely lasts.
From the opening pages--the introduction to the town of Verrière--I fell in love; for personal reasons I cannot disclose in this review, this book is among my favorites. I strongly identify with Julien Sorel, and, like him, find myself imprisoned in the same kind of environment as he. It is as if Stendhal had written this book just for me.
challenging
dark
mysterious
reflective
tense
slow-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
As I crawl through the mud that is this novel, I constantly ask myself "was this worth it?" Frankly, I'm still not sure. I found this to be long winded, calculated and unappealing. I almost dreaded having to listen to this audiobook every morning. I just wanted it to be over. The small patches of brilliant characters and interactions, for me, can't make up for the fact that this was just not my cup of tea. I'm glad to put it behind me and say that I've read. However, it's not something I would recommend to everyone. I'm just going to go and wipe all the mud of this novel from my mud and hope it doesn't spoil other French classics.
challenging
funny
challenging
dark
emotional
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes