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nessylou's review against another edition
adventurous
emotional
informative
mysterious
reflective
tense
slow-paced
- Plot- or character-driven? A mix
- Strong character development? No
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? It's complicated
4.75
wallaibillai's review against another edition
adventurous
emotional
hopeful
inspiring
medium-paced
- Plot- or character-driven? A mix
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? Yes
4.5
lorgmorg's review
adventurous
medium-paced
- Plot- or character-driven? A mix
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? Yes
3.0
A CLASSIC kind of read with adventure and landscape and trials and fatal flaws— sheesh, what an epic book. Shout out to Jahil, the stallion. Kiss-Kiss
leasaurusrex's review against another edition
4.0
Une lecture qui me laisse partagée.
Partagée parce que la langue est belle, la plume emporte complètement, les paysages sont à couper le souffle, l'histoire intense, et la description des rites traditionnels vraiment intéressante. Le récit est riche. Riche de beaucoup d'informations sur ce pays méconnu qu'est l'Afghanistan, riche de la beauté des montagnes et de la steppe, et de la force impitoyable de la nature. Riche de traditions séculaires qui voient soudainement apparaître de petites touches de modernité, ces petites touches qui aident à situer l'époque, même si on n'en a pas besoin pour se perdre totalement dans les pages.
La lecture m'a complètement emmenée avec elle, et pendant quelques heures j'ai vécu ailleurs et j'ai pu difficilement lâcher les pages d'un roman qui m'auront portée jusqu'à la dernière d'entre elles.
Mais partagée parce que le roman est aussi incroyablement dur. Des scènes presque insoutenables, des hommes dont l'orgueil mène aux pires comportements, de l'inégalité à chaque instant et jamais remise en cause, mais au contraire à chaque fois aggravée. Aucun des personnages n'a réussi à me convaincre entièrement. Aucun. De temps en temps, l'espoir renaît, grâce à la merveille de la vulnérabilité, mais il y a quelque chose dans le sang de ces hommes qui repousse toute douceur et qui se laisse impitoyablement mener par un sens de l'honneur qu'il m'est difficile de partager. Et je dis bien ces hommes car de femmes il n'en est quasiment pas question, et les seules qui trouvent leur place dans ce roman ne plaident vraiment pas en la faveur de la cause féminine...
Ceci dit, à chaque fois que je tombe sur un roman qui me rend aussi perplexe, je suis assurée d'en conserver le souvenir des mois, voire des années après. Et est-ce que ce n'est pas là la marque d'un vrai bon livre, d'être difficilement oubliable et oublié ?
Partagée parce que la langue est belle, la plume emporte complètement, les paysages sont à couper le souffle, l'histoire intense, et la description des rites traditionnels vraiment intéressante. Le récit est riche. Riche de beaucoup d'informations sur ce pays méconnu qu'est l'Afghanistan, riche de la beauté des montagnes et de la steppe, et de la force impitoyable de la nature. Riche de traditions séculaires qui voient soudainement apparaître de petites touches de modernité, ces petites touches qui aident à situer l'époque, même si on n'en a pas besoin pour se perdre totalement dans les pages.
La lecture m'a complètement emmenée avec elle, et pendant quelques heures j'ai vécu ailleurs et j'ai pu difficilement lâcher les pages d'un roman qui m'auront portée jusqu'à la dernière d'entre elles.
Mais partagée parce que le roman est aussi incroyablement dur. Des scènes presque insoutenables, des hommes dont l'orgueil mène aux pires comportements, de l'inégalité à chaque instant et jamais remise en cause, mais au contraire à chaque fois aggravée. Aucun des personnages n'a réussi à me convaincre entièrement. Aucun. De temps en temps, l'espoir renaît, grâce à la merveille de la vulnérabilité, mais il y a quelque chose dans le sang de ces hommes qui repousse toute douceur et qui se laisse impitoyablement mener par un sens de l'honneur qu'il m'est difficile de partager. Et je dis bien ces hommes car de femmes il n'en est quasiment pas question, et les seules qui trouvent leur place dans ce roman ne plaident vraiment pas en la faveur de la cause féminine...
Ceci dit, à chaque fois que je tombe sur un roman qui me rend aussi perplexe, je suis assurée d'en conserver le souvenir des mois, voire des années après. Et est-ce que ce n'est pas là la marque d'un vrai bon livre, d'être difficilement oubliable et oublié ?
nanoushkah's review against another edition
3.0
Un roman d’aventure qui explore la relation conflictuelle entre un père et son fils, où l’incroyable talent de conteur de Kessel parvient à restituer l'âme de l’Afghanistan des années 60 et à magnifier l'âpre et parfois même détestable âme de ses personnages, ici des cavaliers.
Avec un personnage féminin mieux travaillé (et dont le traitement me semble en tout cas discutable) il y avait matière à chef-d'œuvre. Je précise aussi qu'il y a des scènes de dressage et de combats d'animaux très difficiles.
(Et tendresse infinie pour Jehol, le meilleur personnage <3)
Avec un personnage féminin mieux travaillé (et dont le traitement me semble en tout cas discutable) il y avait matière à chef-d'œuvre. Je précise aussi qu'il y a des scènes de dressage et de combats d'animaux très difficiles.
(Et tendresse infinie pour Jehol, le meilleur personnage <3)
hayesstw's review
4.0
I pick up a 50-year-old book to read for the first time. It is set in Afghanistan, but it is Afghanistan before the US invasion, before the Soviet invasion, before the 1978 Communist coup, before the 1973 Republican coup. It was an almost unimaginably different world. And yet it is in my lifetime.
And when the book was first published, in 1970, who could have imagined the changes that would take place in Afghanistan over the next 50 years?
The plot centres on buzkashi, a game played on horseback, which was then popular in northern Afghanistan, when the king (who was to be overthrown in the 1973 coup) decides to hold a national tournament in Kabul, the capital. It gives interesting descriptions of the people, cultures and scenery of Afghanistan, and especially those of the Hindu Kush, the mountain range that divides the steppes of northern Afghanistan from the rest of the country.
It includes descriptions of the Buddha statues of the Bamyan Valley, which were destroyed by the Taliban in 2001. Could [a:Joseph Kessel|49757|Joseph Kessel|https://images.gr-assets.com/authors/1298509696p2/49757.jpg] even have imagined their destruction when he wrote the book?
But the strongest impression the book made on me was of an utterly alien culture.
In South Africa one of the values people pay at least lip-service to is ubuntu, basic humanity, and compassion for other people. The Afghan culture depicted in the book is the exact opposite of ubuntu, shown in the lives and behaviour of the main characters. The northern Afghan culture, as depicted by Kessel at least, is based on honour, and honour as a zero-sum game, in which my honour can only be achieved by bringing someone else into dishonour. And perhaps that culture is epitomised by the Taliban's destruction of the statues. The Buddha taught something like ubuntu, compassion for all sentient beings, and those values are the exact opposite of the kind of values depicted in the book.
And when the book was first published, in 1970, who could have imagined the changes that would take place in Afghanistan over the next 50 years?
The plot centres on buzkashi, a game played on horseback, which was then popular in northern Afghanistan, when the king (who was to be overthrown in the 1973 coup) decides to hold a national tournament in Kabul, the capital. It gives interesting descriptions of the people, cultures and scenery of Afghanistan, and especially those of the Hindu Kush, the mountain range that divides the steppes of northern Afghanistan from the rest of the country.
It includes descriptions of the Buddha statues of the Bamyan Valley, which were destroyed by the Taliban in 2001. Could [a:Joseph Kessel|49757|Joseph Kessel|https://images.gr-assets.com/authors/1298509696p2/49757.jpg] even have imagined their destruction when he wrote the book?
But the strongest impression the book made on me was of an utterly alien culture.
In South Africa one of the values people pay at least lip-service to is ubuntu, basic humanity, and compassion for other people. The Afghan culture depicted in the book is the exact opposite of ubuntu, shown in the lives and behaviour of the main characters. The northern Afghan culture, as depicted by Kessel at least, is based on honour, and honour as a zero-sum game, in which my honour can only be achieved by bringing someone else into dishonour. And perhaps that culture is epitomised by the Taliban's destruction of the statues. The Buddha taught something like ubuntu, compassion for all sentient beings, and those values are the exact opposite of the kind of values depicted in the book.
maritixu's review
adventurous
emotional
slow-paced
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? No
- Flaws of characters a main focus? Yes
4.75
brynhammond's review
4.0
I have strong reservations. If I remember rightly I did as a young teenager when I first read and loved this; I wondered then whether I was adult enough, but I'm adult now and I still can't follow him through much of the second half of the plot. At times I thought this was plain bad. Yet the magic was there for me again, with a revisit: the evocation, heightened by a lovely old-fashioned translation from Patrick O'Brian; an inclination for perverse psychology, that just became a bit laboured later on. Tursen and his son Uroz are not people to like; Uroz is fairly insane, in ugly ways; they are eaten up by 'the fiend of pride' and neither can for the life of him display emotion. Nevertheless I threw myself into Uroz, back then, and my eyes wet for Tursen, now.
One note. Whatever the position of women was in 50s Afghanistan (I wouldn't know) I detect that the author adds his own sexism. It comes with a caution that way.
One note. Whatever the position of women was in 50s Afghanistan (I wouldn't know) I detect that the author adds his own sexism. It comes with a caution that way.
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