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3.81 AVERAGE
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dark
mysterious
fast-paced
dark
mysterious
tense
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Complicated
I first learned of this book from listening to Re: Dracula, and I listened to it as an audio drama first before actually reading it.
Carmilla predates Dracula by about 25 years, and I appreciate that if this story wasn't written, Dracula likely wouldn't exist either. That said, I prefer Dracula, though if you're someone who's looking to dip your toe into horror whole still being able to sleep at night, Carmilla would make for a decent place to start.
I, unfortunately, wasn't scared in the slightest with this book, and I found that it left too many loose ends. The jump to vampire seemed to come out of nowhere, and was cut off as quickly as it arrived. To be fair, this was also within the last 30 pages, so no wonder it disappeared fast. I appreciate that the story is told from the perspective of Laura, a young lady who is befriended by the beautiful Carmilla, and quickly becomes her victim. I also liked that this story set up the tropes we now know are affiliated with vampires: fangs, castles, sucking blood, shape-shifting, and shanks to the heart, to name a few.
I've read arguments as well that the relationship between Laura and Carmilla is sexual in nature. I'm not sure I'd agree with that, especially since Laura didn't strike me as feeling sexually attracted to Carmilla. Carmilla perhaps, but even then I'm not 100% convinced. I would, however, agree that Carmilla is lustful in her nature, but even then it's only for blood.
Overall, I'm glad I read this. Carmilla walked so Dracula can run, and I appreciate that. Anyone interested in the Gothic should have a go with this book. It's a short read, and can be finished in a weekend.
Carmilla predates Dracula by about 25 years, and I appreciate that if this story wasn't written, Dracula likely wouldn't exist either. That said, I prefer Dracula, though if you're someone who's looking to dip your toe into horror whole still being able to sleep at night, Carmilla would make for a decent place to start.
I, unfortunately, wasn't scared in the slightest with this book, and I found that it left too many loose ends. The jump to vampire seemed to come out of nowhere, and was cut off as quickly as it arrived. To be fair, this was also within the last 30 pages, so no wonder it disappeared fast. I appreciate that the story is told from the perspective of Laura, a young lady who is befriended by the beautiful Carmilla, and quickly becomes her victim. I also liked that this story set up the tropes we now know are affiliated with vampires: fangs, castles, sucking blood, shape-shifting, and shanks to the heart, to name a few.
I've read arguments as well that the relationship between Laura and Carmilla is sexual in nature. I'm not sure I'd agree with that, especially since Laura didn't strike me as feeling sexually attracted to Carmilla. Carmilla perhaps, but even then I'm not 100% convinced. I would, however, agree that Carmilla is lustful in her nature, but even then it's only for blood.
Overall, I'm glad I read this. Carmilla walked so Dracula can run, and I appreciate that. Anyone interested in the Gothic should have a go with this book. It's a short read, and can be finished in a weekend.
dark
mysterious
fast-paced
Carmilla was a beautiful birthday present and I thoroughly enjoyed it. As old as it is it is a fast read and the only thing I thought was missing was more Carmilla herself at the end
dark
mysterious
medium-paced
Plot or Character Driven:
Plot
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
No
dark
mysterious
dark
emotional
mysterious
sad
medium-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
No
fast-paced
dark
mysterious
fast-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Loveable characters:
Yes
Roman court et très méconnu, Carmilla est pourtant étonnamment novateur pour son époque, mettant en scène une vampire féminine qui séduit des femmes pour en faire ses proies, le tout dans une atmosphère gothique à souhait. Cependant, le récit ne se contente pas d’être une simple histoire de séduction vampirique : il plonge aussi le lecteur dans une atmosphère d’effroi subtile et persistante. L’horreur n’est jamais directement exposée, mais se glisse insidieusement, à travers les cauchemars, les présences invisibles, et la menace constante d’un danger qui rôde dans l’ombre. Cette tension sourde entre fascination et terreur crée un équilibre parfait qui maintient le lecteur en haleine
La plume de Sheridan Le Fanu, d’une habileté remarquable, laisse deviner aisément où Bram Stoker a puisé une partie de son inspiration pour Dracula. L'auteur nous offre un récit fascinant, à la fois pour son originalité et pour la richesse de sa vision du vampirisme, que l’on prend plaisir à comparer aux représentations ultérieures.
Dès les premières pages, j’ai été happée par cette atmosphère étrange et envoûtante, où charme et danger se mêlent habilement. Carmilla incarne à la perfection cette séduction pernicieuse : fascinante, hypnotique, sensuelle, mais toujours enveloppée d’une ombre inquiétante que Laura, malgré son attirance, perçoit avec une lucidité troublante.
Dans la narration, les paysages embrumés, les attaques nocturnes, les rumeurs macabres composent un univers lugubre mais terriblement séduisant, à l’image d’un papillon de nuit attiré par la flamme.
J’aurais aimé qu’un chapitre nous entraîne davantage dans l’esprit de Carmilla, qu’on touche à ses souvenirs, son passé, ses secrets.
La fin, un peu abrupte, m’a laissée sur une impression d’inachevé, mais cela n’a en rien diminué le charme du récit qui m’a tenue tout du long de la lecture !
Un récit que je conseille aussi bien aux fans du genre qu’aux curieux qui veulent s’y plonger.
•••Citations préférées•••
- « Mais les rêves traversent les pierres des murs, éclairent des chambres enténébrées ou enténébrent des chambres éclairées ; et leurs personnages, narguant tous les serruriers du monde, font leurs entrées ou leurs sorties comme il leur plaît. »
- « La nuit avait tissé autour du château un manteau de ténèbres épaisses, et le silence semblait s’y être installé pour l’éternité. »
-« Il y avait dans ses yeux un éclat étrange, hypnotique, qui captivait et terrifiait à la fois. »
- « Elle glissait silencieusement à travers les couloirs sombres, comme une ombre venue d’un autre monde. »
Et la citation qui résume à elle seule tout le livre :
- « L’angoisse montait doucement, mêlée à une fascination presque irrésistible. »
La plume de Sheridan Le Fanu, d’une habileté remarquable, laisse deviner aisément où Bram Stoker a puisé une partie de son inspiration pour Dracula. L'auteur nous offre un récit fascinant, à la fois pour son originalité et pour la richesse de sa vision du vampirisme, que l’on prend plaisir à comparer aux représentations ultérieures.
Dès les premières pages, j’ai été happée par cette atmosphère étrange et envoûtante, où charme et danger se mêlent habilement. Carmilla incarne à la perfection cette séduction pernicieuse : fascinante, hypnotique, sensuelle, mais toujours enveloppée d’une ombre inquiétante que Laura, malgré son attirance, perçoit avec une lucidité troublante.
Dans la narration, les paysages embrumés, les attaques nocturnes, les rumeurs macabres composent un univers lugubre mais terriblement séduisant, à l’image d’un papillon de nuit attiré par la flamme.
J’aurais aimé qu’un chapitre nous entraîne davantage dans l’esprit de Carmilla, qu’on touche à ses souvenirs, son passé, ses secrets.
La fin, un peu abrupte, m’a laissée sur une impression d’inachevé, mais cela n’a en rien diminué le charme du récit qui m’a tenue tout du long de la lecture !
Un récit que je conseille aussi bien aux fans du genre qu’aux curieux qui veulent s’y plonger.
•••Citations préférées•••
- « Mais les rêves traversent les pierres des murs, éclairent des chambres enténébrées ou enténébrent des chambres éclairées ; et leurs personnages, narguant tous les serruriers du monde, font leurs entrées ou leurs sorties comme il leur plaît. »
- « La nuit avait tissé autour du château un manteau de ténèbres épaisses, et le silence semblait s’y être installé pour l’éternité. »
-« Il y avait dans ses yeux un éclat étrange, hypnotique, qui captivait et terrifiait à la fois. »
- « Elle glissait silencieusement à travers les couloirs sombres, comme une ombre venue d’un autre monde. »
Et la citation qui résume à elle seule tout le livre :
- « L’angoisse montait doucement, mêlée à une fascination presque irrésistible. »
Predating Bram Stoker's Dracula, Le Fanu's Carmilla rejects the male dominance within the gothic literature representing a sapphic vampire Carmilla/Mircalla. The eerie nature of the Schloss evolves in the later chapters creating the perfect atmosphere for a sapphic love story. Bestowing Carmilla with the power of determining her own victims, Le Fanu creates an anti-Dracula in a way. Emotionally charged Carmilla has sublime beauty that enchants the hearts of her spectators. Reading this at the end of the summer was a great idea.