Reviews

Uma História Real de Crime & Poesia by David L. Carlson

colekid's review against another edition

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dark mysterious reflective medium-paced

4.75

chamblyman's review against another edition

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5.0

This incredible true story of crime and punishment, family and secrets, explores a troubled father-son relationship, brutal mid-20th-century prison systems, blindness, the life of the mind, and a friendship with notorious killer Nathan Leopold! The richly detailed drawings enhance both the gritty realism as well as the symbolic and philosophical touches in the narrative. Shocking, truthful, and redemptive; fans of Maus, Persepolis, and Epileptic should gobble this up.

leasaurusrex's review against another edition

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5.0

Les romans graphiques cachent souvent des pépites, encore plus quand elles sortent un peu du cadre avec un style particulier.

J’étais tombée amoureuse des dessins et de l’histoire racontée par Emil Ferris dans Moi ce que j’aime, c’est les monstres, qui prend également place à Chicago, et qui raconte aussi le pouvoir des secrets, de la rédemption et de l’Art.

Dans un style bien différent, Landis Blair nous propose son trait hachuré et noir pour nous faire découvrir l’histoire de Charlie Rizzo, ce gamin américain, orphelin de mère et confié à son père aveugle à l’âge de dix ans. Déraciné de la Californie où il a vécu pendant six ans, Charlie découvre une nouvelle vie aux côtés de son papa.
Après les douceurs de l’enfance survient la crise d’adolescence et la vie de Charlie se retrouve bouleversée par le mensonge de son père, qui l’amène à commettre un délit.

À travers un dessin sombre, mais qui peut laisser passer beaucoup de lumière, et un scénario simple et pourtant complexe, Landis Blair et David L. Carson retracent une vie haute en couleurs, pour nous parler d’éducation, de littérature, de handicap et d’adaptation, de rédemption et de transmission.

C’est vraiment un superbe roman graphique, qui me donne encore plus envie de plonger au cœur de La Divine Comédie de Dante Alighieri, qui m’a toujours tentée mais qui m’a également toujours fait peur.

nadybl's review against another edition

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dark emotional inspiring reflective medium-paced

5.0

fancypython's review against another edition

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5.0

Amazing true story combined with amazing art.

jolson's review against another edition

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4.0

Very neat book. Love how Dante is mixed throughout.

glopgloppy's review against another edition

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dark reflective medium-paced

4.0

cboddie's review against another edition

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Didn't finish at 60%. Not bad, just not for me.

alessandrajj's review

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5.0

Impecável.

sassenak's review against another edition

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5.0

J’ai tout de suite été attirée par ce pavé graphique édité par Sonatine qui se lance là dans le 9ème art. Il faut dire que le dessin noir et blanc, souvent sombre, hâchuré, ne passe pas inaperçu ! C’est un style que j’apprécie particulièrement car je le trouve très adapté à créer des ambiances particulières et puissantes. Ici, il s’agit de l’histoire vraie de Matt Rizzo et de son fils, le tout ancré dans une époque pas si lointaine mais un peu oubliée ces dernières années : le Chicago mafieux des années 1920 à 1970. Mais en plus de cette toile de fond, avec des relents de Grande Dépression, on découvre aussi un fait divers marquant de l’époque mais à présent peu connu, particulièrement en France : l’assassinat d’un jeune garçon par deux jeunes hommes de bonne famille. Et bien sûr, pour ne rien oublier, on plonge aussi dans le milieu carcéral des années 1930-1940. Tout ça plante un décor varié et particulièrement intéressant mais ça ne s’arrête pas là ! Il y a aussi la relation père-fils, obligés de s’apprivoiser, les conditions de vie des aveugles et leurs sentiments quand on se retrouve confronté soudainement à un monde sans lumière, la poésie et le pouvoir de l’imagination. Avec ce magnifique programme bien mené, pas étonnant que ce roman graphique soit un pavé mais qui se lit bien (hormis quelques passages tirés de L’enfer de Dante qui reste toujours une œuvre un peu ardue à mon goût). Le graphisme fait merveille car il participe lui aussi à la poésie de l’ensemble et suggère subtilement les sentiments ressentis par les personnages et le découpage est très réussi, avec les chapitres permettant des respirations entre les scènes et les évocations de l’œuvre de Matt Rizzo que celui-ci explique à Charlie. Cela donne un très bel hommage d’un fils à son père, sur fond historique, et cela rappelle que la bande dessinée montre amplement qu’elle mérite le nom d’art !