Take a photo of a barcode or cover
3.13 AVERAGE
3.13 AVERAGE
Very readable, but the plot didn't fully pull me in.
DNF at 50 pages. I forced my way through his first book, The Committed Men, and also gave it a 1-star rating. But that was a year or two ago and I'm 30 now and life is too short to skim-read your way through nonsensical, self-indulgent, drug-fuelled 1970s New Wave claptrap just because some baby boomers think it's a classic. Use it for kindling.
adventurous
challenging
dark
slow-paced
Plot or Character Driven:
Character
Strong character development:
No
Loveable characters:
No
Diverse cast of characters:
Complicated
Flaws of characters a main focus:
Yes
I just love MJohnHarrison's bizarre prose at this stage of his writing career. I wouldn’t even say it was “good” prose, it’s just that it’s so his prose and no one else’s. It’s weird enough to be occasionally opaque but it’s mostly rhythmic and full of sometimes pointless but wonderful imagery. Also, the story is sad like a nail through the foot when walking barefoot on a warm and peaceful rainy day over a soft grassy field. Oh, also, the edition I read is LOADED with scanner-autocorrect errors, which only add to the lovely writing style.
An interesting plot idea lost on unnecessarily complex language. Took me three times as long to read because i had to read most of it at least twice to understand it and it took so long to get anywhere it kept sending me to sleep.
This was published in 1975 and, though ostensibly set in the far future, feels pretty much like ’75 but with spaceships and extraterrestrial colonies. Nothing wrong with that, I say! Subversive, diseased, often impenetrable, and giving the illusion of a convoluted plot where, in truth, the plot is simplistic and virtually irrelevant, this reads like a drug-fuelled spanking of space opera conventions. Taken as such, it works, and is pretty astonishing. As entertainment, though, THE CENTAURI DEVICE can be tough going. This is no Star Wars. You read it and you want to wash your hands.
Ce livre nous raconte donc les aventures de Truck, pilote de vaisseau spatial, qui se trouve être au coeur des magouilles entre deux grands empires multiplanétaires, tous deux terriens, qui s’opposent sur Terre et dans l’espace pour une domination on ne peut plus virtuelle de l’espace. Truck, en tant que looser magnifique, va passer son temps à fuire, en perdant au fur et à mesure de plus en plus d’illusions, d’amis, et d’espoirs.
Attention, maintenant, aux spoilers. C’est un roman étrange, dont j’ai pensé longtemps qu’il était une sinistre bouse pour penser maintenant qu’il s’y cache certaines perles, comme par exemple les deux empires, glorifiant d’un côté la sécurité par le pouvoir d’achat, et de l’autre un socialisme éclairé, qu’on ne peut que voir à la lumière de la guerre froide, juste après laquelle ce roman a été écrit (dans les années 70). D’autres bonnes idées concernent par exemple les ouvreurs, qui croient que Dieu est dans leur réponse, ou les vaisseaux des anarchistes, que Manchu a rendu avec une magnificience inégalable (voir la couverture). D’un autre côté, truck est un vrai looser, une espèce d’ancien junkie avec lequel on ne peut pas s’identifier, qui traîne sa carcasse pour fuir les balles à réaction des deux camps, et qui va finir par se révéler, dans une fin magnifique. Je ne saurais pourtant vous conseiller de le lire, tant l’histoire est molle, l’ambiance pourrie (à rapprocher, par exemple, du [book:festin nu] de [author:Burroughs]), et les personnages translucides. Finallement, ce livre n’est peut-être rien d’autre qu’un voyage, au sens le plus junkie du terme.
Attention, maintenant, aux spoilers. C’est un roman étrange, dont j’ai pensé longtemps qu’il était une sinistre bouse pour penser maintenant qu’il s’y cache certaines perles, comme par exemple les deux empires, glorifiant d’un côté la sécurité par le pouvoir d’achat, et de l’autre un socialisme éclairé, qu’on ne peut que voir à la lumière de la guerre froide, juste après laquelle ce roman a été écrit (dans les années 70). D’autres bonnes idées concernent par exemple les ouvreurs, qui croient que Dieu est dans leur réponse, ou les vaisseaux des anarchistes, que Manchu a rendu avec une magnificience inégalable (voir la couverture). D’un autre côté, truck est un vrai looser, une espèce d’ancien junkie avec lequel on ne peut pas s’identifier, qui traîne sa carcasse pour fuir les balles à réaction des deux camps, et qui va finir par se révéler, dans une fin magnifique. Je ne saurais pourtant vous conseiller de le lire, tant l’histoire est molle, l’ambiance pourrie (à rapprocher, par exemple, du [book:festin nu] de [author:Burroughs]), et les personnages translucides. Finallement, ce livre n’est peut-être rien d’autre qu’un voyage, au sens le plus junkie du terme.
This is an interesting book, because it's about a man who thinks of himself as a failure who gets his hands on a device... that is made by a race of failures. An entire species that thinks it fucked things up enough that it committed suicide. No-one knows why. Or how.
The writing's hard to get through, but that's kind of the point. It's not an easy book. It's a book that hates you and doesn't want you to read it.
The writing's hard to get through, but that's kind of the point. It's not an easy book. It's a book that hates you and doesn't want you to read it.