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2.12k reviews for:

The Corrections

Jonathan Franzen

3.74 AVERAGE


another Franzen miss. unlikable characters; no more trying to get thru books that bore or repel me.

Not the best book to be reading on a happy vacation in Florida with your parents but I cruised through this sucker in just over two weeks. Highly addictive, gross, funny, and dark. I loved it.

Just a tremendous novel.

I liked Freedom (his similar book) a little more, but I found the writing really strong with this, too. I thought the storyline was kind of depressing at some points, which got somewhat distracting, but I liked the book a lot in the end because I feel like Franzen did a good job of surprising me with his characterizations of people that at first seemed like stock-ish characters.

Overly long. Occasionally funny. Often tedious.

Ce qui est arrivé avec ce livre, c'est que j'en ai presque détesté la première moitié. & puis, juste au moment où j'allais l'abandonner & le pitcher au bout de mes bras -- exactement à ce moment-là, il m'a prise par les sentiments. & je me suis proprement liquéfiée dans les soixante dernières pages.

(Essaie donc de traduire ça en petites étoiles, goodreads.)

Roman anxiogène & verbeux, The Corrections s'attache à un couple âgé du Midwest américain, Enid & Alfred, & à leurs trois enfants, maintenant adultes, indépendants & tout à fait disposés à devenir irrémédiablement dysfonctionnels. En fait, tout le monde dans le livre (au moins dans les deux cent quelques premières pages) donne l'impression d'être incapable de vivre de façon satisfaisante : Enid a ses tendances d'entasseuse compulsive ; Alfred, sa démence parkinson-ienne ; & Gary & Chip, les deux garçons devenus monsieurs, se débattent tous les deux avec des situations de vie impossibles (quoique diamétralement opposées). C'est seulement quand je suis arrivée à la section où on suit Denise, la seule fille & la plus jeune des trois enfants, que j'ai pu respirer un peu : sans être exactement équilibrée (...faudrait quand même pas trop en demander à Franzen), Denise s'écarte du moule caricatural d'où sortent les quatre autres. Elle est chef dans un restaurant & sa vie est loin d'être un long fleuve tranquille, mais ses travers sont crédibles & ses mauvaises décisions, compréhensibles. & elle a du talent & de la volonté & elle est extrêmement compétente dans ce qu'elle a choisi de faire &, je sais pas pourquoi, c'est tellement inusité pour un personnage de femme dans un gros roman américain que ça m'a vraiment très joliment prise par surprise.

& dès qu'on passe à la section de Denise, dès ce moment là, c'est comme si le livre se donnait la permission de ne pas ensevelir l'émotion sous des paragraphes & des paragraphes de mots acérés mais lourds, tellement lourds que le récit en devient opaque. Après Denise, la satire s'adoucit. Les personnages prennent une grande respiration. Les phrases s'allègent. & la fin est poignante.

Ceci dit, j'ai trouvé que l'intrigue secondaire qui se déroule à Vilnius, en Lituanie, était trop petite & mesquine pour mériter d'exister. (Genre : les pauvres pays de l'ex-URSS, tous trop stupides pour ne pas sombrer dans la déchéance la plus totale! que c'est drôle!) & le roman veut toujours démontrer quelque chose -- sur l'état du monde, sur le capitalisme, sur le low-level misery de la classe moyenne américaine. Parfois, c'est bon. D'autres fois, c'est juste épuisant.

Ça reste une histoire où, à chaque fois, les personnages semblent prendre, parmi l'ensemble des options proposées, la pire des décisions possibles. Si ça ne vous dérange pas, correct ; moi, après quarante pages, je me mets à hyperventiler. (Ce qui explique aussi tout le temps que j'ai mis à finir le roman.) Alors ça me ramène aux trois étoiles de goodreads, comme chaque fois que je ne sais pas trop comment qualifier une lecture : du bon & du mauvais & une bonne beurrée d'angoisse existentielle. & une petite larme à la fin, quand même.

What can I say about this book ? Well I can say that, in reading some of my friends reviews, it has brought about reactions as varied as they are "word vomit" I read somewhere (and even though I likie that phrase I would not use it here). Did I LOVE this book ? No I did not, were there parts that I LOVED ? You betcha ! I will even admit to skipping a page here and there. Over all though I thought it was an ok read..... I read alot of people saying that the characters were flat and 1 dimensional. I did not get that. There were drab characters who did not have much of a life , but in the end I think they found their places. In the end this book is at once a tragedy, a comedy and a farce. Moreso I think it is a tale of loves lost and gained, of a mother who pines for her children as only a mother really can. Of a family who somehow lost it's way and is trying like mad to find it again, come hell or high water, even if it kills someone along the way. Now, am I saying that I will rush out and buy another Franzen Novel ? Probably not, but this one will be with me for awhile.
emotional funny mysterious reflective sad slow-paced
Plot or Character Driven: Character
Strong character development: Complicated
Loveable characters: No
Diverse cast of characters: Complicated
Flaws of characters a main focus: Yes
emotional medium-paced
Plot or Character Driven: Character
Strong character development: Yes
Loveable characters: No
Diverse cast of characters: Yes
Flaws of characters a main focus: Yes

Parents ruin their children's lives.

I finished this one in England and left it on the lending-library bookshelf... traded it for Oryx and Crake.