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First of all, Anne Rice was diabolical for this book! I don't know that I want to finish the series, because that one book was a huge commitment. However, the writing style and story telling were impeccable!
Que ce livre a mal vieilli...
Je dois admettre qu'au début j'étais tout simplement fascinée. Ayant beaucoup aimé la lecture de la saga des vampires (les trois premiers tomes du moins), je m'étais dis que la saga des sorcières serait pourquoi pas aussi dérangeante. Et bien, pour dérangeante, elle l'est !
Il faut avouer que Anne Rice a fait ses recherches. On est directement plongés dans l'univers des sorcières que ce soit celles de 1989 à celles de 1600. Les récits imbriqués dans les récits sont très bien menés et les 600 premières pages sont fascinantes. Même les longueurs ne sont pas si longues à ce stade. Mais lorsqu'arrive les 300 dernières pages, c'est là où cela commence à être long même si chaque longueur a ses explications et sont nécessaires.
Pourtant, le livre a très mal vieilli d'un point de vue morale
Pour le reste, les descriptions sont glaçantes que ce soit la maison de First Street sortie tout droit des plus grandes films d'horreur ou encore la famille Mayfair au complet qui est corrompue jusque dans la mort. Les cas d'incestes sont assez stupéfiants et c'est réellement à se demander comment la famille a fait pour survivre avec des individus sans maladies physiques (bien qu'il y est surement beaucoup de maladie mentale.
Finalement, ces sorcières m'ont fait beaucoup de peine parce que j'ai eu en sous texte l'impression qu'il s'agissait de cela : d'histoires de femmes qui, descendance après descendance, étaient des victimes d'une entité masculine qui les dominait et qui a tout orchestré. On peut dire qu'on passe par toutes les émotions dans ce livre et notamment le dégoût et l'effroi sont les premiers qui me viennent. Sur ce point, Anne Rice réussit parfaitement son pari. Les personnalités des sorcières même retranscrits par des tiers sont particulièrement bien exécutés et je me suis beaucoup attachée à certaines d'entre elles (Déborah, Stella, Antha et Deirdre bien sûr). Les longueurs de la relation Rowan/Michael étaient en revanche terribles même si j'ai beaucoup aimé le côté prédestiné de leurs relations et la personnalité de Rowan qui est très complexe.
Je ne pense malheureusement que je ne lirai pas le deuxième de cette série parce que je crois que les sorcières Mayfair quand bien même sont-elles dégoulinantes de classe et d'horreur, m'ont moins emballées que les vampires gothiques, tragiques et mégalomanes.
Je dois admettre qu'au début j'étais tout simplement fascinée. Ayant beaucoup aimé la lecture de la saga des vampires (les trois premiers tomes du moins), je m'étais dis que la saga des sorcières serait pourquoi pas aussi dérangeante. Et bien, pour dérangeante, elle l'est !
Il faut avouer que Anne Rice a fait ses recherches. On est directement plongés dans l'univers des sorcières que ce soit celles de 1989 à celles de 1600. Les récits imbriqués dans les récits sont très bien menés et les 600 premières pages sont fascinantes. Même les longueurs ne sont pas si longues à ce stade. Mais lorsqu'arrive les 300 dernières pages, c'est là où cela commence à être long même si chaque longueur a ses explications et sont nécessaires.
Pourtant, le livre a très mal vieilli d'un point de vue morale
Spoiler
et je dois admettre que de savoir notamment à la fin qu'un noir est en charge d'aider Michael alors qu'on est en 1989 aurait pu être tourné différemment. Si le racisme existe bel et bien, cela donne réellement des idées que l'esclavage dans cette famille qui en a une longue histoire n'est pas terminé et cela aurait pu être corrigé sachant que tout le personnage de Rowan et Michael par extension sont dans une idée de progrès et veulent avancer (même si le passé les rattrapes et que passé et futur sont imbriqués). J'ai trouvé dommage qu'il n'y est pas d'évolution sur ce point à la fin du récit. Il en va de même pour la banalisation du viol et Rowan qui appelle Lasher pour qu'il la viole. On peut se poser la question de si elle est vraiment consentante car clairement sous son influence mais tout de même... les descriptions de ces scènes à deux reprises sont assez insupportables à lire et me font pensé à du trauma porn... ce qui correspond également à l'époque où est sorti ce livre.Pour le reste, les descriptions sont glaçantes que ce soit la maison de First Street sortie tout droit des plus grandes films d'horreur ou encore la famille Mayfair au complet qui est corrompue jusque dans la mort. Les cas d'incestes sont assez stupéfiants et c'est réellement à se demander comment la famille a fait pour survivre avec des individus sans maladies physiques (bien qu'il y est surement beaucoup de maladie mentale.
Finalement, ces sorcières m'ont fait beaucoup de peine parce que j'ai eu en sous texte l'impression qu'il s'agissait de cela : d'histoires de femmes qui, descendance après descendance, étaient des victimes d'une entité masculine qui les dominait et qui a tout orchestré. On peut dire qu'on passe par toutes les émotions dans ce livre et notamment le dégoût et l'effroi sont les premiers qui me viennent. Sur ce point, Anne Rice réussit parfaitement son pari. Les personnalités des sorcières même retranscrits par des tiers sont particulièrement bien exécutés et je me suis beaucoup attachée à certaines d'entre elles (Déborah, Stella, Antha et Deirdre bien sûr). Les longueurs de la relation Rowan/Michael étaient en revanche terribles même si j'ai beaucoup aimé le côté prédestiné de leurs relations et la personnalité de Rowan qui est très complexe.
Je ne pense malheureusement que je ne lirai pas le deuxième de cette série parce que je crois que les sorcières Mayfair quand bien même sont-elles dégoulinantes de classe et d'horreur, m'ont moins emballées que les vampires gothiques, tragiques et mégalomanes.
Whoa. I tried, I gave it a good 32% or 333 pages if you will. I couldn't do it. It started out strong and promising, but when I got to the histories written by the Talamasca, they lost me. Maybe it's because I'm trying to read this on night shift at work, but I doubt it.
Oh well.
Oh well.
dark
mysterious
slow-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
No
Flaws of characters a main focus:
Yes
A labyrinthine, sensuous generational saga of the Mayfairs that drips with occult atmosphere—occasionally overstuffed, but hypnotic when it settles.
dark
mysterious
medium-paced
I couldn't put this book down, but as it got to the end it was like really? Is this how this book is going to end. A bit of a let down.
dark
emotional
mysterious
sad
tense
slow-paced
I think all the ideas and Mayfair family lore were so interesting and made it a fun book to read. But for me, it was a bit too sprawling and all over the place to continue reading. I found the chapters on the family lore more interesting than the actual plot itself. I think most of my frustration with the story was how inconsistent the main characters seemed. Where I understood that the point was that all the narrators were unreliable as they only acknowledge what they happen to know, think, or understand, but Rowan’s character went too much between calculating and reactional. Although I enjoyed some of the drama, it became too over the top to really enjoy without feeling tried and confused by the sheer amount going on.
challenging
dark
mysterious
slow-paced
Plot or Character Driven:
A mix
Strong character development:
Yes
Loveable characters:
Complicated
Diverse cast of characters:
Complicated
Flaws of characters a main focus:
Yes