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leir's review
3.0
Tamaki prese il libro dallo scaffale. Nel colophon era indicato l’anno della prima edizione —
druidy's review against another edition
4.0
Déroutante serait l’adjectif qui qualifierait le mieux, selon moi, cette lecture.
Une lecture difficile à classer et qui ne ressemble en rien à ce que j’ai pu lire jusqu’à présent, à tel point que j’ai mis plusieurs jours pour pouvoir rassembler mes idées et aborder logiquement le déroulement événements mentionnés dans ce livre.
On suit au fil des pages une jeune romancière (Tamaki Suzuki) qui pour les besoins de son nouveau roman, plonge dans l’univers d’un autre écrivain (Mikio Midorikawa) à travers son œuvre littéraire la plus vendue (Innocent), pour écrire une fiction largement inspirée de la vie de ce dernier.
Tout au long de sa quête, le personnage de la romancière se heurte à des zones d’ombre dans la vie de Midorikawa (dont l’identité de l’énigmatique O.) qu’elle tente d’éclaircir en allant sur le terrain et en interrogeant les proches de l’écrivain (épouse, enfants, maitresses, muse, …) qui ont la particularité de ne pas toujours dire la vérité et d’en cacher certaines.
Les lecteurs et lectrices avides de complexité se voient rajouter une bonne couche à travers les multiples passages décrivant la vie amoureuse, mais néanmoins mouvementée, de Tamaki.
Si l’enchevêtrement de l’intrigue peut parfois dérouter, il est à mon sens plus que légitime car il permet de s’introduire (wink wink) dans la tête du personnage de l’écrivaine, de parfois s’y identifier et de se sentir concerné.e par l’issue de son entreprise.
Dans le respect le plus strict du female gaze, ce roman nous jette carrément dans les méandres de la pensée de son personnage féminin qu’on suit à l’aveuglette et qu’on apprécie sans juger.
Autre particularité d’Intrusion ; ses personnages que personnellement j’organise -sans aucune hiérarchie- en personnages « actifs » qui évoluent en même temps qu’on avance dans la lecture, et en personnages « passifs » qui ont vécu mais dont « la présence » est indispensable aussi bien pour l’intrigue que pour satisfaire ma curiosité malsaine (Midorikawa et O.).
Si les labyrinthes ne vous font pas peur, foncez !
https://leblogdedruidy.blogspot.com/2021/06/chronique-du-livre-intrusion-de-natsuo.html
Une lecture difficile à classer et qui ne ressemble en rien à ce que j’ai pu lire jusqu’à présent, à tel point que j’ai mis plusieurs jours pour pouvoir rassembler mes idées et aborder logiquement le déroulement événements mentionnés dans ce livre.
On suit au fil des pages une jeune romancière (Tamaki Suzuki) qui pour les besoins de son nouveau roman, plonge dans l’univers d’un autre écrivain (Mikio Midorikawa) à travers son œuvre littéraire la plus vendue (Innocent), pour écrire une fiction largement inspirée de la vie de ce dernier.
Tout au long de sa quête, le personnage de la romancière se heurte à des zones d’ombre dans la vie de Midorikawa (dont l’identité de l’énigmatique O.) qu’elle tente d’éclaircir en allant sur le terrain et en interrogeant les proches de l’écrivain (épouse, enfants, maitresses, muse, …) qui ont la particularité de ne pas toujours dire la vérité et d’en cacher certaines.
Les lecteurs et lectrices avides de complexité se voient rajouter une bonne couche à travers les multiples passages décrivant la vie amoureuse, mais néanmoins mouvementée, de Tamaki.
Si l’enchevêtrement de l’intrigue peut parfois dérouter, il est à mon sens plus que légitime car il permet de s’introduire (wink wink) dans la tête du personnage de l’écrivaine, de parfois s’y identifier et de se sentir concerné.e par l’issue de son entreprise.
Dans le respect le plus strict du female gaze, ce roman nous jette carrément dans les méandres de la pensée de son personnage féminin qu’on suit à l’aveuglette et qu’on apprécie sans juger.
Autre particularité d’Intrusion ; ses personnages que personnellement j’organise -sans aucune hiérarchie- en personnages « actifs » qui évoluent en même temps qu’on avance dans la lecture, et en personnages « passifs » qui ont vécu mais dont « la présence » est indispensable aussi bien pour l’intrigue que pour satisfaire ma curiosité malsaine (Midorikawa et O.).
Si les labyrinthes ne vous font pas peur, foncez !
https://leblogdedruidy.blogspot.com/2021/06/chronique-du-livre-intrusion-de-natsuo.html
spacestationtrustfund's review against another edition
2.0
Je suis depuis longtemps un « superfan » auto-identifié de Mme Kirino et de ses romans, donc je suis triste de dire que ce roman-ci n'est pas l'un de ses meilleurs livres. Son style unique existe à cet égard, avec les points de vue multicouches, alternant les protagonistes à travers des lettres, des morceaux de romans, des interviews, et ainsi de suite, ce qui est pour moi la partie la plus fascinante de ce roman. Je dois me demander si une partie du sentiment « inachevé » du roman était intentionnelle, compte tenu du sujet. Également possible est-il le fait que la traduction soit mal faite.